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Petites Soeurs des Pauvres

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vendredi 9 mai 2025

Saint Pacôme
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Ste Elisabeth de la Trinité

Cette berrichonne passera sa vie à Dijon où son père militaire avait été envoyé en garnison. Elle est très vive, passionnée, coléreuse. Elle a sept ans quand meurt son père. C’est un drame pour elle et elle veut se convertir, soutenue par sa mère qui l’aide à lutter contre son caractère difficile. Dans la bonne société dijonnaise, c’est une charmante jeune fille, premier prix de piano, recherchée par les bonnes familles pour un de leurs garçons. Mais elle a choisi une autre orientation pour sa vie. Elle veut vivre « en oraison continuelle », puisque Dieu est présent en son cœur. Malgré sa mère, très possessive, elle peut entrer au Carmel de Dijon « pour se livrer à la vie des Trois, à l’union à Dieu ». Cinq ans d’union intime avec le Dieu-Trinité qui lui confère paix, joie et gaieté malgré la grave maladie qui l’accable bientôt et l’emportera à 26 ans dans l’amour éternel qu’elle a cherché.

Le 16 octobre 2016, le Pape François l’a proclamée sainte.

Pacifiez mon âme, faites-en votre ciel, votre demeure aimée et le lieu de votre repos. Que je ne vous y laisse jamais seul, mais que je sois là tout entière, tout éveillée en foi, tout adorante, toute livrée à votre action créatrice.

(Prière de Soeur Elisabeth, trouvée au moment de sa mort)

Saint Nectaire d'Egine

Evêque de la Pentapole (Lybie) et fondateur du couvent de la Sainte Trinité à Egine. Il est l’un des saints les plus populaires de l’Eglise de Grèce. Instituteur dans l’île de Chios, il embrassa la vie monastique, compléta ses études à Athènes, et devint secrétaire patriarcal d’Alexandrie au Caire. Calomnié, il se retrouva bientôt isolé. Il ne voulut pas, pour autant, se retirer solitaire au mont Athos, sacrifiant son amour de la retraite au salut de son prochain. Evêque en exil, il redevient simple prédicateur en Eubée et sa personnalité, forte, humble et rayonnante, attire les âmes généreuses. Nommé directeur de l’école ecclésiastique de Rizarios, il donna rapidement à cette institution une haute qualité intellectuelle, morale et spirituelle, rédigeant d’ailleurs lui-même un grand nombre d’ouvrages et de brochures de théologie, d’histoire de l’Eglise et de patristique (Pères de l’Eglise), pour répandre la Parole de Dieu dans le peuple.

Là encore il supporta avec patience et dans la paix les calomnies et les accusations injustes prenant pour modèle la Divine Passion de son Maître, le Christ Seigneur.

Que ton Eglise de la terre soit pour nous l’annonce de la Jérusalem céleste. Accorde-nous d’être, ici-bas, le temple de ta grâce et d’entrer un jour dans la demeure de ta gloire.

(Liturgie de l’Eglise romaine)

Saint Léon Le Grand

Il devint pape à une époque troublée. C’était la lente agonie de l’empire romain sous les coups des invasions des Francs, des Wisigoths, des Vandales, des Huns, des Burgondes. Pour l’Eglise, c’est le risque d’éclatement en de nombreuses hérésies.

En particulier les monophysites qui acceptaient la divinité du Christ mais refusaient qu’il soit vraiment homme ; les nestoriens qui acceptaient que Jésus soit vrai homme, mais pas vraiment le Verbe de Dieu. Il apporta son soutien à Flavien, le patriarche de Constantinople, par une lettre dogmatique « le tome à Flavien », qui sera la base de la définition du concile christologique de Chalcédoine (451) quelques années plus tard : le Christ Jésus réunit en sa seule personne toute la nature divine et toute la nature humaine. En 452, il sauve Rome des hordes d’Attila, mais ne peut empêcher le sac de Rome par les Vandales en 455. Dans cet Occident démoralisé, il reste le seul et vrai recours moral.

Le Christ aime l’enfance par laquelle il a débuté, en son âme comme en son corps, modèle de douceur. C’est vers elle qu’il ramène les adultes, c’est vers elle qu’il ramène les vieillards. Ce n’est pas aux amusements de l’enfance ni à ses tâtonnements maladroits que nous devons retourner. Il faut lui demander le rapide apaisement des colères, le prompt retour au calme, l’indifférence aux honneurs, l’amour de l’union mutuelle.

(Saint Léon – Sermon pour l’Epiphanie)

Reconnais, ô chrétien, ta dignité. Tu participes à la nature divine, ne retourne donc pas à ton ancienne souillure par une manière de vivre indigne de ta race…Tu as été transféré dans le royaume de lumière qui est celui de Dieu.

(Saint Léon)

Saint Martin de Tours

Que les Eglises d’Orient appellent aussi « saint Martin le Miséricordieux ». Il est né en Pannonie, l’actuelle Hongrie, sur les frontières de l’empire romain où son père était en garnison. A 15 ans, il est soldat, car la loi romaine obligeait les fils de soldats à s’enrôler dans l’armée. Il est muté en Gaule et c’est là, qu’à Amiens, il rencontre le pauvre grelottant à qui il donne son manteau et dont il apprend durant la nuit que c’est le Christ qui lui a fait cette demande. Il hésitait à devenir chrétien, il s’y décide enfin. Il quitte l’armée pour rejoindre saint Hilaire à Poitiers. Avec lui, il fonde le premier monastère des Gaules, à Ligugé, en Poitou. C’est là qu’il sera enlevé par les habitants de Tours qui en font leur évêque. Mais l’ancien soldat devenu chrétien ne s’enfermera pas dans sa cité. Il évangélisera, parcourant les campagnes jusqu’à sa mort, à Candes, sur les bords de Loire. En France, près de 500 localités et bourgades portent son nom.

Seigneur, si je puis être encore utile à ton peuple, malgré mes 80 ans, je ne refuse pas le travail. Toutefois que ta volonté soit faite… Laissez-moi regarder le ciel plutôt que la terre. Je ne dois plus tarder pour orienter mon âme vers la voie qui conduit au Seigneur.

(Saint Martin au moment de sa mort)

Saint Josaphat

Né en Volhynie, il est encore adolescent à l’époque de l’Union de Brest (1596) où une partie de l’Eglise d’Ukraine se rattache à Rome et constitue l’Eglise gréco-catholique ou Eglise ruthène. A vingt ans, il entre au monastère de la Sainte Trinité à Vilnius, alors dans le royaume polono-lituanien, dans un monastère de l’ordre basilien. A trente ans, il en devient l’un des supérieurs. Déchiré en lui-même par cette séparation entre catholiques romains et orthodoxes, il se dévoue à la cause de l’unité, polémique avec les orthodoxes tout en gardant une grande douceur. Nommé évêque de Polock en 1617, il se trouve dans une région où les antagonismes sont exacerbés plus encore par des considérations politiques et culturelles que par des points de vue religieux. Au cours d’une émeute provoquée par des intégristes orthodoxes, alors qu’il accomplissait une visite pastorale à Vitebsk, il est lynché et jeté dans le fleuve, martyr pour son attachement à l’Eglise romaine. Ses reliques se trouvent dans la basilique Saint-Pierre du Vatican.

Vous me haïssez à mort. Par contre, je vous porte en mon cœur et serais content de mourir pour vous.

(Saint Josaphat à ses ennemis)

Saint Brice

On dit qu’il fut recueilli et protégé par saint Martin, mais que Brice quitta le monastère « pour vivre avec de beaux chevaux dans ses écuries et de jolies esclaves dans sa maison ».
A la mort de saint Martin, il changea sa manière d’agir. Il lui succéda sur le siège épiscopal de Tours, donnant toute sa vie à l’Eglise durant quarante ans. Calomnié, accusé d’avoir rendu mère une de ses religieuses, il dut même aller se défendre devant le pape. Mais ses ouailles reconnurent l’innocence de sa vertu et le firent revenir pour qu’il soit à nouveau leur évêque. Ils le canonisèrent dès sa mort.

Si nous frappons une pierre contre une autre, des étincelles jaillissent. A plus forte raison quand nos âmes s’unissent dans la prière. On peut prier à la maison, mais on ne peut pas y prier comme à l’église où s’adresse à Dieu un chant unanime, où règnent l’unité et l’union de l’amour.

(Saint Joseph de Volokolamsk)
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