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Petites Soeurs des Pauvres

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lundi 12 mai 2025

Saint Germain de Constantinople
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Saint Paulin d'Aquilée

On ignore s’il était d’origine allemande ou italienne. Il passait pour être l’un des hommes les plus savants de son époque, écrivant aussi bien en prose qu’en vers. Alcuin le considérait comme son maître et l’empereur Charlemagne l’appela à sa cour pour en faire l’un de ses conseillers en matière religieuse. C’est lui qui le fit nommer évêque d’Aquilée, dans le Frioul italien. Selon ses contemporains, il fut « la lumière de la chrétienté » sans pour autant négliger le soin de son propre diocèse. Il fut l’un des grands défenseurs du « Filioque » ajouté dans le texte latin du Concile de Nicée. Il évangélisa les Avars et les Slovènes.

Le Verbe très saint du Père, tout-puissant et absolument parfait, se répand en toutes choses. Il déploie partout sa puissance. Il éclaire toutes choses, visibles et invisibles. Il les contient en lui et les rassemble en lui. Il n’en laisse aucune en dehors de sa puissance, mais il donne vie et protection à toutes choses, en tout lieu, à chacune en particulier et à toutes ensemble.

(Saint Athanase, dans le Livre des heures de ce jour)

Sainte Marguerite Bourgeoys

Fille d’un commerçant champenois de Troyes, elle partit avec les émigrés français qui allaient dans la Nouvelle-France, à Ville-Marie, au Québec et qui devint la ville de Montréal. Elle fut la première institutrice laïque du Canada français. Puis elle fonda un ordre de religieuses, la Congrégation de Notre-Dame, pour l’éducation des jeunes filles. Ces religieuses n’avaient ni voeux perpétuels ni clôture. Il leur fallut attendre vingt ans l’approbation de l’évêque. Elle souffrit d’être en avance sur son temps, intelligente en voulant faire du neuf. Elle fut même calomniée par plusieurs de ses soeurs qui troublèrent gravement le nouvel Institut. Elle consacra les sept dernières années de sa vie à la prière.

Au milieu de mon abattement, je n’ai jamais perdu confiance en la bonté de ma céleste Mère ni en la divine miséricorde. Quand bien même je me verrais avec un pied en enfer, j’espérerais encore en Jésus et Marie.

(Sainte Marguerite Bourgeoys – Réplique à une soeur)

Sans s’arrêter à la couleur de la peau ni aux origines raciales et sociales des petits Indiens, elle leur vouait le même amour qu’aux enfants des colons. Plus tard, Marguerite comptera des filles d’Iroquois parmi ses religieuses.

(Pie XII, lors de la béatification – 1950)

Saint Hilaire de Poitiers

Evêque et docteur de l’Eglise. Né dans une famille païenne d’Aquitaine noble et riche, ce jeune homme était doué pour les études, mais la question du sens de la vie le tourmentait. Où se trouve le bonheur pour l’homme ? A quoi sert d’exister si l’on doit mourir ? Y a-t-il un dieu ? Déçu dans ses lectures, il découvre un jour ce passage de la Bible : « Je suis celui qui est » et s’enthousiasme. Mais la mort reste une idée insupportable. Il trouvera le plein rassasiement de sa faim spirituelle dans l’évangile de saint Jean, l’évangile de l’Incarnation et de la Résurrection. A trente ans, il demande le baptême. Son envergure le désigne à l’attention des fidèles. Il est élu évêque de Poitiers, rencontre saint Athanase d’Alexandrie, alors en exil en Gaule à cause de l’hérésie arienne. Combattant à son tour cette hérésie, il est exilé en Phrygie et découvre la théologie grecque. De retour en Gaule, il fera triompher à la fois l’orthodoxie et la paix religieuse. En accueillant saint Martin pour fonder le monastère de Ligugé, il favorisa l’instauration du monachisme en Gaule. Dans son magistral « Traité de la Trinité », il a le premier fait entrer dans la langue latine les subtilités et les délicatesse de la langue grecque. De tous les Pères latins, il est celui dont la pensée est la plus proche des Pères grecs.

Je t’en prie, conserve intacte la ferveur de ma foi et jusqu’à mon dernier souffle donne-moi de conformer ma voix à ma conviction profonde. Oui, que je garde toujours ce que j’ai affirmé dans le symbole proclamé lors de ma nouvelle naissance, lorsque j’ai été baptisé dans le Père, le Fils et l’Esprit Saint !

(Saint Hilaire – Traité de la Trinité III, 57)

Comme je cherchais en quoi consistait le bonheur humain, je ne le découvris qu’en deux états : le repos et l’opulence. Mon esprit conçut une vive ardeur à connaître ce Dieu à qui il se devait totalement, en la bonté et la richesse duquel il puisse reposer.

(Saint Hilaire – Traité de la Trinité I, 1)

Saint Félix de Nole

Sans doute d’origine syrienne, même s’il naquit à Naples. Durant la persécution de l’empereur Valérien, il fut fait prisonnier. Libéré à la mort de l’empereur, il se retira, plein de simplicité, refusant d’être choisi comme évêque de Nole. On retient de lui « qu’il subsista, le reste de sa vie, au moyen d’un petit jardin et de trois mesures de terre prises à louage, qu’il cultivait de ses propres mains et dont il partageait le produit avec les pauvres ».

Nul, s’il possède la charité, ne hait. On connaît l’arbre à ses fruits : ainsi ceux qui font profession d’être du Christ se feront reconnaître à leurs œuvres. Car maintenant l’œuvre qui nous est demandée n’est pas une simple profession de foi, mais d’être trouvé jusqu’à la fin dans la pratique de la foi.

(Saint Ignace d’Antioche)

Saint Rémi

Nous avons choisi ici la date du calendrier des saints de France. L’Eglise universelle le célèbre le 1er octobre. Issu d’une grande famille gallo-romaine de la région de Laon, il avait pour mère sainte Céline. A 22 ans, il est choisi comme évêque de Reims et son activité missionnaire s’étend jusqu’à la Belgique. Il fonde les diocèses de Thérouanne, Laon et Arras, crée tout un réseau d’assistance pour les pauvres et joue un rôle de médiateur auprès des Barbares. Quand le chef franc Clovis prend le pouvoir, saint Rémi lui envoie un message : « Soulage tes concitoyens, secours les affligés, protège les veuves, nourris les orphelins. » La reine sainte Clotilde, tout naturellement, se tournera vers saint Rémi et vers un autre évêque contemporain, saint Vaast, pour acheminer le roi vers la foi. Après le baptême de Reims, saint Rémi restera jusqu’à sa mort l’un des conseillers écoutés du roi et sera l’un des artisans, en Gaule, du retour à la vérité catholique des Burgondes après le bataille de Dijon et des Wisigoths à Vouillé, deux populations contaminées par l’arianisme.

Secourez les malheureux, protégez les veuves, nourrissez les orphelins… Que votre tribunal reste ouvert à tous et que personne n’en sorte triste ! Toutes les richesses de vos ancêtres, vous les emploierez à la libération des captifs et au rachat des esclaves. Admis en votre palais, que nul ne s’y sente étranger ! Plaisantez avec les jeunes, délibérez avec les vieillards !

(Lettre de saint Rémi au roi Clovis – 482)

Saints Honorat de Lérins et Venance

Originaires d’une famille noble gallo-romaine, Honorat et son frère Venance reçurent le baptême dès leur jeunesse. Saisis par le désir de perfection, ils cherchèrent à gagner l’Orient, patrie des moines. Ils s’embarquent alors pour la Grèce avec un troisième compagnon, épris lui aussi de vie monastique. En Grèce, Venance tombe malade et meurt. Honorat regagne l’Occident avec son compagnon, mais l’appel de la solitude ne les a pas fait se quitter. L’évêque de Fréjus, Léonce, leur fait don d’une île de l’archipel de Lérins, au large de Cannes, alors déserte. Les deux solitaires en chassent démons et serpents et, grâce aux disciples venus du continent, l’île se peuple de moines organisés en une communauté cénobitique fort souple, sous la direction d’Honorat. Ce monastère deviendra l’un des grands centres spirituels de la région. Actuellement, le monastère est encore habité par des moines cisterciens. La Règle de saint Honorat, qui insiste sur la stabilité du moine, servira de modèle à d’autres et fera l’admiration de Jean Cassien. En 426, saint Honorat quitte son île pour devenir évêque d’Arles. Dans ce diocèse déchiré par les divisions, il rétablit la concorde et rend à l’Eglise d’Arles rigueur, vigueur et sainteté.

Qui joignit à ce point les caresses à la sévérité ? Qui invita comme lui à une discipline mêlée d’allégresse ? Qui corrigea-t-il sans faire le bonheur de celui qu’il corrigeait ? La joie de cet homme eut-elle jamais un relent de laisser-aller ?

(Saint Hilaire d’Arles parlant de saint Honorat)

Vivez de telle sorte que la fin de la vie, – on l’appelle la mort –, ne vous effraie pas. Le trépas serait-il une peine lorsqu’il ne conduit pas aux supplices de l’enfer ?

(Saint Honorat à ses moines)
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