• Passer à la navigation principale
  • Passer au contenu principal

Petites Soeurs des Pauvres

Congrégation des petites soeurs

 Prier  Faire un don  Publications & Ressources

vendredi 9 mai 2025

Saint Pacôme
  • Accueil
    • Tous les articles
    • Prochains événements
    • Archives
    • Dossiers
  • Qui sommes-nous ?
    • Spiritualité
      • Saint Jean Eudes
      • Saint Jean de Dieu
    • Vie fraternelle
    • Apostolat
      • Saint Joseph
      • Quête
    • Nos valeurs
      • Vivre l’esprit de famille
      • Respecter la dignité
      • Accompagner la vie
      • En Eglise
    • Portraits
      • Père Ernest Lelièvre
      • Françoise Teilhard de Chardin
      • Caroline Sheppard
  • Sainte Jeanne Jugan
    • Biographie
    • Héritage spirituel
    • Rayonnement
      • Prix Montyon
      • Canonisation
      • La Vallée des saints
    • Sur ses pas
      • Pèlerinage
      • Visite guidée estivale
      • Marche avec Jeanne Jugan
    • Confier les intentions à Sainte Jeanne Jugan
  • Vocation
    • Venez et voyez
      • A Ma Maison
      • A La Tour
      • A l’étranger
      • Contact jeunes
    • Les étapes
      • Foire aux questions
      • Postulat
      • Noviciat
      • Vœux temporaires
      • Vœux perpétuels
    • Témoignages
    • Propositions pour les jeunes
  • Une place pour vous
    • Résidents
    • Bénévoles
    • Association Jeanne Jugan
    • Petites Sœurs des Pauvres
    • Salariés
    • Donateurs
  • Où sommes-nous ?
    • Maison-Mère et Noviciat
    • France-Belgique
      • Province de Montpellier
      • Province de Paris – Bruxelles
      • Province de Rennes
    • Europe
      • Province de Dublin-Londres
      • Province de Barcelone-Séville
      • Province de Madrid
      • Province de Rome
    • Amérique
      • Province de Baltimore-Brooklyn
      • Province de Chicago
      • Province de Colombie
      • Province de Chili-Argentine-Perou
    • Asie
      • Province de l’Inde
      • Province d’Extrême-Orient
    • Océanie
    • Afrique

Saint Gédéon

Né dans une famille pauvre d’un village près de Volos en Grèce, il fut placé par ses parents chez un de ses oncles qui tenait un bazar. C’est là qu’il fut enlevé par un musulman pour être employé dans son harem. Le jeune garçon devint musulman sous le nom d’Ibrahim. Torturé par les reproches de sa conscience, il s’enfuit, et ses parents le cachèrent en Crète d’où il s’embarqua trois ans plus tard pour la sainte montagne de l’Athos. Mais il voulut expier publiquement sa faute et il obtint de ses supérieurs de s’engager sur la voie du martyre volontaire. Il revint à la demeure de son ancien maître musulman et lui reprocha de l’avoir forcé à trahir sa foi. Arrêté, il fut pris pour un fou. Bastonné, il fut libéré et retourna à l’Athos. Un an plus tard, il revint en Thessalie et confessa encore le Christ. Arrêté, il fut condamné à avoir les membres tranchés à la hache. Il fut d’abord promené nu sur un âne dans un spectacle grotesque pour l’humilier. Puis étendu, on lui trancha, un à un, les quatre membres sans qu’il prononce un seul gémissement. Il resta ainsi jusqu’au soir, vivant encore, et fut jeté dans la fosse d’aisance du palais où il trouva la mort. Les chrétiens rachetèrent son corps pour le vénérer.

Au soir de la vie – même d’une vie d’infidélité – comme au matin, Jésus ne cesse pas de nous faire entendre ce même appel, impérieux et miséricordieux : « Suis-moi ! » … Seigneur, je ne peux pas dire que je t’ai suivi. Je t’ai souvent perdu de vue… Lève-toi encore. Recommence… Seigneur, tu me fais encore, peut-être pour la dernière fois, la grâce de m’appeler ? … Oui, mon enfant. Veux-tu venir ? … Seigneur je viens !

(Un moine de l’Eglise d’Orient – Jésus, simples regards sur le Sauveur)

Saint Silvestre

Il fut le premier pape de la paix constantinienne. Il est souvent accusé d’avoir été trop effacé dans ses interventions, ne venant ni au concile d’Arles (314), ni au concile de Nicée (325), mais il les confirma par ses légats. Ces réticences avaient peut-être pour raison qu’ils n’étaient pas convoqués par le Pape lui-même, mais par l’empereur Constantin. Il fut très respectueux de l’autonomie des Eglises orientales. Il entreprit de grands travaux dans la Rome impériale. C’est sous son pontificat que Constantin fait édifier la basilique Saint-Jean de Latran, la basilique de Sainte-Croix de Jérusalem, la basilique de Saint-Paul-hors-les-Murs, la basilique de Saint-Laurent. Saint Silvestre intervient pour le mobilier liturgique, les ornements. Il aménagea les catacombes. Il eut la tâche d’organiser l’Eglise dans une société enfin pacifiée. Il est un fait indéniable : il reste l’un des premiers confesseurs non martyrs dont le culte fut établi très tôt à Rome.

Quand se tourne la page d’une année de notre vie : « Lumière de sainteté, tu éclaires les fidèles par la lumière de ton enseignement. Tu fais adorer l’unité de nature en trois Personnes. Tu chasses les ténèbres de l’erreur. Tu apprends à confesser le Fils avec le Père et l’Esprit. Tu nous fais proclamer : Chantons au Seigneur, il a fait éclater sa Gloire ! »

(Liturgie byzantine pour la fête de saint Sylvestre)

Saint Sabas

Né en Cappadoce, il entra tout jeune dans un monastère de cette région. A 18 ans, le voilà parti pour Jérusalem. Il rêve de solitude et pour cela s’en va rejoindre saint Euthyme qui l’envoie faire un stage de vie communautaire à la laure de saint Théoctiste, près de la Mer Morte : « La vie solitaire n’est pas faite pour cette jeunesse » pense saint Euthyme. Dix ans durant, Sabas apprend à être moine. Puis il s’établit dans une grotte, seul devant Dieu durant la semaine, avec ses frères pour la liturgie du dimanche. Mais de nombreux moines le rejoignent car « la sainteté attire les disciples comme le miel attirent les ours ». Il doit fonder la Grande Laure. A 55 ans, le patriarche de Jérusalem le nomme archimandrite des ermites de Palestine. Les controverses théologiques divisent ses moines. Lui-même soutient le concile de Chalcédoine. Il se fait le promoteur d’un monachisme modéré, obtient de l’empereur l’abolition des impôts sur les artisans et fait indemniser les pauvres paysans. Ses reliques qui, lors des invasions arabes, avaient été conduites à Venise, ont été rendues par Paul VI aux moines du couvent de Mar Saba (saint Sabas) en 1965.

Parle si tu penses bien faire ainsi, mais avant de parler demande-toi ce que vaut ta parole si elle n’est pas l’écho de ta vie. C’est elle qui donne un sens à ta parole, c’est elle qui lui donne sa force, c’est elle seule qui peut convaincre et entraîner. Ta vie, dans son silence, attire plus qu’un flot de paroles.

(Dans Jean Sterckman – Le message des Pères))

Sainte Sylvie

Sylvette ou Sylvaine. Grande dame romaine qui consacra sa vie à son fils, le pape Grégoire le Grand, si attentive qu’elle se préoccupait même jusqu’aux détails des menus de ses repas en achetant à son intention les meilleurs fruits et légumes frais sur les marchés romains, afin qu’il soit en bonne santé.

En allant sur la place ou au bain, invitez donc quelques désoeuvrés à vous accompagner. Vos actions terrestres servent à vous unir aux autres. Vous alliez à Dieu ? Essayez de ne pas y arriver seul. Que celui qui, dans son cœur, a déjà entendu l’appel de l’Amour divin en tire pour son prochain une parole d’encouragement.

(Saint Grégoire le Grand)

Saint Léonard

Ermite au diocèse de Limoges, son culte se répandit en particulier dans les pays anglo-saxons et en Ile-de-France car son sanctuaire était sur le chemin des pèlerinages de Saint-Jacques de Compostelle.

Les échoppes se multiplièrent comme les auberges. Il en naquit une petite ville : Saint-Léonard-de-Noblat (Vienne). Le Moyen Age éprouva le besoin de lui donner quelques détails pour lui « faire une vie » : il aurait été filleul de Clovis et saint Rémi en fit un clerc de l’Eglise. Il aurait aidé par sa prière la reine d’Aquitaine lors de la naissance difficile de son petit prince, et ce serait la raison de la création de ce monastère. Invoqué par les prisonniers, très populaire parmi les croisés, il était considéré comme « le premier saint de la couronne de France ».

Libérateur des prisonniers, Léonard compatissant, délivre-moi de l’éternelle prison.

(Prière du 15e siècle)

Saint Willibrord

Originaire de l’Est de l’Angleterre, il fut confié par sa famille au monastère de Ripon, dirigé alors par saint Wilfrid d’York. A vingt ans, il gagne en Irlande le monastère de « l’île des saints ». En 690, on l’envoie évangéliser la Frise avec onze moines anglo-saxons. Il acquiert l’amitié du père de l’empereur Charlemagne, Pépin le Bref, qu’il convertit et qui, à partir de ce jour, le soutiendra sans faillir. Fidèle à l’obéissance de l’Eglise, Willibrord se rend à Rome demander au pape Serge 1er un mandat officiel pour prêcher l’Evangile. Nommé évêque d’Utrecht, il fonde l’abbaye d’Echternach, au Luxembourg, et c’est à partir de là qu’il accomplit des missions en Frise et au Danemark. Il revient à Echternach où il est enterré et vénéré par un pèlerinage dont la danse et la procession sont célèbres depuis le 14ème siècle et encore de nos jours.

Les païens danois lui disent : « On ne doit ni tuer un animal, ni puiser imprudemment de l’eau à la fontaine sacrée. » – « Je vais baptiser trois enfants dans votre pseudo source sacrée. J’espère exorciser ainsi vos vaines superstitions. »

(Vie de saint Willibrord)
  • « Aller à la page précédente
  • Page 1
  • Pages provisoires omises …
  • Page 3
  • Page 4
  • Page 5
  • Page 6
  • Page 7
  • Pages provisoires omises …
  • Page 63
  • Aller à la page suivante »
  • Qui sommes-nous ?
  • Nos valeurs
  • Sainte Jeanne Jugan
  • Une place pour vous
  • Où sommes-nous ?
  • © Copyright 2025
  • Petites Soeurs des pauvres
  • Mentions Légales
  • Contact