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Petites Soeurs des Pauvres

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mardi 13 mai 2025

Sainte Agnès de Poitiers
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Saint Georges

Martyr. Au 4ème siècle, tous les sujets de l’empereur Dioclétien sont instamment invités à offrir des sacrifices aux dieux de l’empire. Cet ordre est tout spécialement appliqué aux militaires, car il est le signe de leur fidélité aux ordres impériaux. A Lydda, en Palestine, un officier, originaire de Cappadoce, refuse. Il est exécuté pour refus d’obéissance. La popularité de son culte sera telle que la piété populaire ne pourra se contenter des maigres données de l’histoire. On le fait couper en morceaux, jeter dans un puits, avaler du plomb fondu, brûler dans un taureau de bronze chauffé à blanc, donner en nourriture à des oiseaux de proie. Chaque fois, saint Georges ressuscite et en profite pour multiplier les miracles. A ces fioritures morbides, s’ajoute, au 11ème siècle, la lutte victorieuse de saint Georges contre un dragon malveillant qui symbolise le démon. Ce dont on est sûr, c’est qu’au 4ème siècle l’empereur Constantin lui fait édifier une église à Constantinople. Cent ans après, on en compte une quarantaine en Egypte. On les voit s’élever en Gaule, à Ravenne, en Germanie. En France, 81 localités se sont placées sous sa protection et portent son nom. On ne compte pas avec précision le millier d’églises dont il est le titulaire. Il est le patron céleste de l’Angleterre et de l’Ethiopie. On a voulu nier son existence. L’absence de précisions ne fait pas disparaître la mémoire de ce martyr de Palestine.

Le fier chevalier devient un symbole, le héros du Bien triomphe, par la force de Dieu, du prince des ténèbres et du mal.

(Jacques de Voragine – La Légende dorée)

Saint Fidèle de Sigmaringen

Confesseur. Marc Roy est né à Sigmaringen, en Souabe (Allemagne). Il étudia d’abord la philosophie et le droit et commença à Colmar une brillante carrière d’avocat. Il l’abandonne à 34 ans pour entrer chez les Capucins de Fribourg-en-Brisgau, se dépouillant de tous ses biens et prenant le nom de Fidèle. En ce temps-là, la Réforme protestante s’étendait dans les pays germaniques. Fidèle se lança dans la controverse, par le ministère de la prédication. Sa parole et son exemple gagnèrent de nombreuses conversions. Même les protestants convaincus étaient séduits par ses paroles et l’appelaient « l’ange de la paix ». Pendant dix ans, il parcourut ainsi l’Allemagne du Sud, l’Autriche et la Suisse. Soucieux de la vie spirituelle des fidèles, il rédigea des « Exercices spirituels » selon l’esprit franciscain. Il fut finalement victime de son zèle apostolique. Au cours d’une mission dans le canton des Grisons en Suisse, il fut mis à mort par un petit groupe de protestants fanatiques.

Allons où la grâce divine nous appelle. La moisson presse !

(Prière de saint Fidèle)

De nos jours, qu’est-ce qui entraîne les chrétiens à rejeter la facilité, à renoncer au confort, à supporter les épreuves, à souffrir une vie pénible ? C’est la foi vive qui agit par la charité.

(Testament de saint Fidèle)

Saint Marc

Second dans l’ordre des évangiles synoptiques, serait-il l’inventeur du genre évangélique ? C’est possible puisque son livre, en mauvais grec, semé de sémitismes, fut composé très tôt à Rome, selon les données orales de saint Pierre. Sans doute au plus tard en 70. L’auteur en serait le jeune Jean, surnommé Marc, fils de Marie chez qui la première communauté chrétienne de Jérusalem se réunissait pour prier (Actes 12, 12). Il accompagne Paul et Barnabé dans leur mission à Chypre. Peu après, il refuse de suivre Paul, en partance pour l’Asie Mineure. Il préfère rentrer à Jérusalem. Sur le moment, saint Paul lui en voudra de ce lâchage : il préféra se séparer de Barnabé plutôt que de reprendre Marc (Actes 15, 39) Mais Marc se rachètera et deviendra le visiteur du vieux prisonnier à Rome. Dans le même temps, saint Pierre le traite comme un fils (1ère lettre de Pierre 5, 13). Certains considèrent que saint Marc aurait été l’évangélisateur de l’Egypte. Ce n’est pas invraisemblable. D’autres affirment que son corps serait désormais à Venise. Après tout, pourquoi pas ? En tous cas, il fut un fidèle secrétaire pour saint Pierre dont il rédigea les « Mémoires », qui sont l’évangile selon saint Marc, à l’intention des Romains.

C’est le Christ du « terrible quotidien » qui nous est montré. Le Messie, solitaire au milieu du groupe humain de ses apôtres et disciples, enseigne inlassablement. Ce « fils de l’homme » qui est « fils de Dieu » ne trompe jamais ses auditeurs. Il sera « le crucifié ».

(Jean Huscenot, sur saint Marc)

Saint Paschase Radbert

Confesseur. Enfant abandonné sous le porche de la cathédrale de Soissons et recueilli par des religieuses, dont la mère abbesse n’était autre qu’une cousine de l’empereur Charlemagne, il fugua pour mener une vie dissolue, puis il revint pour entrer dans la célèbre abbaye de Corbie où « il se nourrit de la philosophie, de la Sagesse chrétienne et de l’Ecriture Sainte » selon ses propres paroles. Il fut en effet un personnage important pour son époque, cherchant à « éclaircir » le mystère de la présence eucharistique de Jésus, ce qui le range parmi les grands témoins de la foi de l’Eglise sur ce mystère. Professeur aux écoles théologiques de Corbie, il leur donna un grand rayonnement et ses moines le choisirent comme abbé. Mais quelque temps après, ses collègues théologiens l’obligèrent à partir et il se réfugia à l’abbaye de Saint-Riquier dans la Somme, ce qui ne le fâcha pas, car il put ainsi davantage se consacrer à ses études. Les moines de Corbie finirent enfin par le rappeler. Il retourna dans son monastère et y vécut le reste de ses jours dans la plus grande humilité.

Ne perds pas ce que la puissance divine t’a accordé… Conserve dans ton cœur le sacrement de la divine Ecriture. Que ta prière brûle toujours comme un encens agréable à Dieu. Prends le glaive de l’Esprit Saint. Que ton cœur soit l’autel où tu pourras, sans craindre Dieu, porter ton corps pour en faire la victime.

(Saint Pierre Chrysologue)

Sainte Zita

Une petite vendeuse de légumes qui s’en allait au marché de Lucques pour ses parents. A douze ans, elle fut placée dans une famille comme servante, et ne la quitta plus. Pour ne pas déranger son service, elle se levait plus tôt afin d’aller entendre la sainte messe, jeûnait pour donner aux pauvres une part de sa nourriture, discrètement et avec délicatesse. Elle supportait avec patience et sourire les jalousies des autres domestiques qui parfois même la dénonçaient avec calomnie. Sa sainteté fut reconnue après sa mort tant étaient grandes les faveurs que le petit peuple obtenait en lui demandant son intercession.

Une servante paresseuse ne peut être pieuse. Quelqu’un de notre condition, qui affecte la piété sans bellement besogner, n’est qu’une hypocrite.

(Sainte Zita)

Seule la charité ne tolère aucun délai. Partage ton pain avec l’affamé, héberge le sans-abri et fais-le de bon cœur. Votre empressement double la valeur de votre bienfait.

(Saint Grégoire de Nazianze – De l’amour des pauvres)

Saint Louis-Marie Grignion de Montfort

Aîné des dix-huit enfants d’un avocat breton, Louis naît à Montfort, près de Rennes. A 19 ans, il entre au séminaire Saint-Sulpice de Paris. Prêtre en 1700, il devient aumônier de l’hôpital de Poitiers. Il partage la table des pauvres malades et regroupe les jeunes filles désireuses de servir les pauvres. Parmi elles, Marie-Louise Trichet, fille d’un haut magistrat qui, lui, ne l’entend pas de cette oreille. Les réformes de Louis-Marie indisposent la bourgeoisie de la ville qui le congédie de l’hôpital. Mais les missions attirent Louis-Marie. Il se rend à Rome pour demander d’être envoyé au loin. Le pape l’envoie… en France comme prédicateur des missions paroissiales. Là encore il déchaîne l’enthousiasme des uns et la colère des autres : « Monsieur de Montfort est fou. » Entièrement voué à la Mère de Dieu, il écrit « L’amour de la sagesse éternelle » et surtout le « Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge ». Il mène les foules à Jésus par Marie. Vient le temps des fondations. Les jeunes filles de l’hôpital de Poitiers deviennent l’oeuvre des « Filles de la Sagesse ». Il rêva aussi d’une petite compagnie de prêtres pour les missions populaires : les Missionnaires de la « Compagnie de Marie » qui ne verront le jour qu’après sa mort.

Je vous livre et consacre mon corps et mon âme, mes biens intérieurs et extérieurs et la valeur même de mes bonnes actions passées, présentes et futures, vous laissant un entier et plein droit de disposer de moi et de tout ce qui m’appartient, sans exception, selon votre bon plaisir, à la plus grande gloire de Dieu, dans le temps et l’éternité.

(Saint Louis-Marie – L’amour de la Sagesse éternelle)
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