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Petites Soeurs des Pauvres

Congrégation des petites soeurs

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vendredi 9 mai 2025

Saint Pacôme
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Saint Charbel Makhlouf

Il naquit dans un village de la montagne du Liban, d’une famille pauvre, et fut baptisé dans l’Eglise maronite. Orphelin très jeune, sa famille s’oppose à sa vocation religieuse. Il fugue et se réfugie au monastère Saint-Maroun d’Innaya. Après 20 années monastiques, il se retira solitaire dans un ermitage proche et passa les vingt-trois dernières années de sa vie absorbé en Dieu, s’adonnant à la pénitence et à la prière, mais aussi recevant les fidèles qui cherchaient Dieu auprès de lui. Il sut équilibrer sa vie entre l’ascèse, le travail et la pauvreté, la centrant sur l’adoration et la communion eucharistique. Sa vie était si perdue en Dieu qu’il faisait des miracles sans s’en rendre compte. Comme ce soir, par exemple, où, distrait, il versa de l’eau dans sa lampe à huile. Elle ne s’éteignit pas, mais au contraire brûla toute la nuit. Son tombeau devint aussitôt un lieu de pèlerinage et de guérisons sans nombre. Il est un des saints les plus populaires du Liban.

Quant aux cèdres du Liban, plantés par le Seigneur et dans lesquels les oiseaux font leur nid – les hérons établissant le leur au sommet -, ces cèdres qui sont les vertus, donnent à la demeure contenant la chambre nuptiale toute sa stabilité. Dans ces vertus, les âmes font leur nid.

(Saint Grégoire de Nysse – Commentaire du Cantique des Cantiques)

Saints et Saintes Emmanuelle, Emmanuel, Manuela, Manuel

Aujourd’hui nous célébrons la naissance à Bethléem de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ, Fils de Dieu, conçu selon la chair par l’action de l’Esprit Saint, dans le sein de la toujours Vierge Marie. « Emmanuel », « Dieu avec nous », tel est le nom prophétique qu’avait reçu Jésus de la part d’Isaïe (Is 7, 14). C’est pourquoi l’on fête aujourd’hui tous ceux qui portent le nom d’Emmanuelle, Emmanuel, Manuela, Manuel.

O naissance supérieure à la nature et survenue à la faveur de la nature, naissance supérieure à tout par la grandeur du miracle qui le réalise et réparant tout par la vertu de son mystère. Mes frères, qui nous contera cette naissance ?

(Saint Bernard – Sermon pour la vigile de Noël)

En ce jour, le Seigneur a lancé sa grâce.
La nuit a retenti de sa louange.
Voici le jour que le Seigneur a fait,
Jour de joie, jour de triomphe.

(Prière de saint François d’Assise)

Saint Etienne

Etienne, qui porte un nom grec (stephanos, le couronné), apparaît parmi les disciples des apôtres dans la première communauté chrétienne de Jérusalem. Quand des disputes (ce sont les premières mais, hélas pas les dernières dans l’histoire de l’Eglise) s’élèvent au sujet des veuves hellénistes et des veuves juives, on pense tout de suite à lui et il devient le premier des sept diacres chargés du service des tables. Il s’en acquitte à merveille sans pour autant se trouver exclu du service de la Parole. Ce n’est pas en effet pour son service de charité qu’il est arrêté mais bien pour avoir, devant des représentants de la synagogue des Affranchis, proclamé avec sagesse l’Evangile de Jésus, le Christ. On le conduit devant le sanhédrin. Il parle. On l’écoute longuement sans l’interrompre. Toute la prédication des apôtres défile dans son discours qui se termine par une vision divine : « Je vois les cieux ouverts et le Fils de l’Homme debout à la droite de Dieu. » C’en est trop. On se saisit de lui, on l’entraîne, on le lapide sous les yeux d’un certain Saul. Etienne meurt comme son Maître, pardonnant et s’abandonnant entre les mains du Père. Il est le premier martyr et, de ce grain tombé en terre, le premier fruit sera la conversion de Saul sur le chemin de Damas, pour qui le ciel s’est ouvert aussi. Paul en fut aveuglé parce qu’il n’avait pas encore reçu la grâce du baptême.

Pierres rougies de ton sang
sont beauté de ta couronne.
Tu fus le premier traceur,
Par un chemin de pierres,
De la route du ciel.
Tu fus le premier grain broyé
A entrer dans les greniers du Christ.

(Prose liturgique du diocèse de Chartres)

Saint Jean

Un homme avait deux fils, comme lui pêcheurs sur le lac de Tibériade. Jacques et Jean, les fils de Zébédée, ne manquaient pas de personnalité : on les appelait « fils du tonnerre ». Grande était leur soif spirituelle. C’est pourquoi ils s’attachèrent à l’enseignement de Jean le Baptiste : « Celui qui vient derrière moi est plus grand que moi. » Aussi, quand le Baptiste dit un matin, en leur montrant Jésus de Nazareth : « Voici l’agneau de Dieu », Jean suivit cet homme. Jacques dut hésiter encore. Lorsque quelques jours après, Jésus dit aux deux frères qui maillaient leurs filets : « Venez avec moi », Jacques et Jean suivirent le Maître. Jean était jeune. Il avait un grand amour du Christ. Il pensait que celui du Christ était plus grand encore. Alors il s’appela « le disciple que Jésus aimait ». Il fera partie du petit groupe des fidèles d’entre les fidèles. Il est sur le mont Thabor lors de la Transfiguration, à la Cène, tout contre Jésus, et au Calvaire, le seul parmi les apôtres, au pied de la croix. C’est là que Jésus lui confie Marie, sa mère. Selon la tradition de l’Eglise catholique, c’est toute l’Eglise qui est confiée à la Mère de Dieu. Au matin de Pâques, il court et précède Pierre au tombeau : « Il voit, il croit. » Une tradition ancienne veut que Jean ait vécu ensuite à Ephèse avec Marie, qu’il y ait écrit le quatrième évangile, qu’un séjour à Patmos ait été l’occasion d’une révélation qui devint l’Apocalypse, qu’enfin, lorsqu’il fut vieux, il n’ait su que rabâcher l’essentiel de ce que le Christ lui avait enseigné et donné de découvrir : « Dieu est amour. Aimez-vous les uns les autres. »

Il faut avoir l’audace de dire que, de toutes les Ecritures, les évangiles sont les prémices, et, parmi eux, les prémices sont l’évangile de Jean, dont nul ne peut saisir le sens s’il n’a reposé sur la poitrine de Jésus, et n’a reçu de Jésus Marie comme mère. Pour devenir un autre Jean, il faut s’entendre appelé par Jésus comme étant Jésus lui-même : « Voici ton fils. »

(Origène – Commentaires de Jean)

Les Saints Innocents

C’étaient de tout petits enfants, ils avaient à peine 2 ans pour les plus âgés : l’âge de la crèche, pas même de la maternelle. Pour leurs pères et leurs mères, ils étaient des merveilles, des enfançons qu’on élève encore contre sa joue et que l’on fait bénir par le premier prophète qui passe. Voulant atteindre le roi d’Israël, ce sont les petits qu’Hérode fait tuer, les premiers accueillis par le Dieu d’Amour qui vient sauver les hommes. Ils sont incapables de parler. Mais aux yeux du Christ, c’est l’existence et non l’âge qui offre la liberté d’entrer dans l’Eglise.

Nous ne devons pas nous troubler lorsque se produisent des événements étrangers aux divines promesses. Dieu réalise toujours ses plans par des moyens qui semblent paradoxaux. De la sorte, il manifeste sa puissance.

(Saint Jean Chrysostome – Homélie sur les Saints Innocents)

Saint Thomas Beckett

Il était né à Londres d’une famille normande. Il fit de bonnes études à Londres et à Paris et le roi Henri II Plantagenêt choisit ce brillant sujet comme chancelier. Enchanté de son administration, il le fait nommer archevêque de Cantorbéry, pensant ainsi résoudre les difficultés qu’il connaît avec les évêques de son royaume. Thomas change du tout au tout. De fastueux, il devient ascétique ; de servile, il se trouve bientôt en conflit avec le roi, qui veut imposer sa loi par-dessus celle de l’Eglise romaine. Il invite les pauvres à sa table et prend l’habit de moine. La querelle s’envenime au point qu’il doit s’enfuir en France. Il rejoint alors l’abbaye cistercienne de Pontigny, en Bourgogne. Il regagne Cantorbéry en novembre 1170, et c’est là que, dans sa cathédrale, peu avant Noël, quatre familiers du roi vont l’abattre devant l’autel après qu’il eut refusé de lever les excommunications qu’il avait portées contre les évêques trop dociles à l’égard du roi.

N’est-ce pas dans la foi et la doctrine de Pierre que l’édifice de l’Eglise est fondé, jusqu’à ce que nous parvenions tous en Christ jusqu’à l’état de l’homme parfait, dans l’unité de la foi et la vraie connaissance du Fils de Dieu ?

(Saint Thomas Beckett à l’évêque Gilbert)
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