• Passer à la navigation principale
  • Passer au contenu principal

Petites Soeurs des Pauvres

Congrégation des petites soeurs

 Prier  Faire un don  Publications & Ressources

dimanche 11 mai 2025

Saint Mayeul
  • Accueil
    • Tous les articles
    • Prochains événements
    • Archives
    • Dossiers
  • Qui sommes-nous ?
    • Spiritualité
      • Saint Jean Eudes
      • Saint Jean de Dieu
    • Vie fraternelle
    • Apostolat
      • Saint Joseph
      • Quête
    • Nos valeurs
      • Vivre l’esprit de famille
      • Respecter la dignité
      • Accompagner la vie
      • En Eglise
    • Portraits
      • Père Ernest Lelièvre
      • Françoise Teilhard de Chardin
      • Caroline Sheppard
  • Sainte Jeanne Jugan
    • Biographie
    • Héritage spirituel
    • Rayonnement
      • Prix Montyon
      • Canonisation
      • La Vallée des saints
    • Sur ses pas
      • Pèlerinage
      • Visite guidée estivale
      • Marche avec Jeanne Jugan
    • Confier les intentions à Sainte Jeanne Jugan
  • Vocation
    • Venez et voyez
      • A Ma Maison
      • A La Tour
      • A l’étranger
      • Contact jeunes
    • Les étapes
      • Foire aux questions
      • Postulat
      • Noviciat
      • Vœux temporaires
      • Vœux perpétuels
    • Témoignages
    • Propositions pour les jeunes
  • Une place pour vous
    • Résidents
    • Bénévoles
    • Association Jeanne Jugan
    • Petites Sœurs des Pauvres
    • Salariés
    • Donateurs
  • Où sommes-nous ?
    • Maison-Mère et Noviciat
    • France-Belgique
      • Province de Montpellier
      • Province de Paris – Bruxelles
      • Province de Rennes
    • Europe
      • Province de Dublin-Londres
      • Province de Barcelone-Séville
      • Province de Madrid
      • Province de Rome
    • Amérique
      • Province de Baltimore-Brooklyn
      • Province de Chicago
      • Province de Colombie
      • Province de Chili-Argentine-Perou
    • Asie
      • Province de l’Inde
      • Province d’Extrême-Orient
    • Océanie
    • Afrique

Saint Félix de Valois

Né dans une famille princière, il partit à la croisade avec le roi de France Louis VII. Au retour, il se fit ermite dans la forêt de Cerfroi dans le nord de la France et c’est là que sa vie changea du tout au tout. Il reçut la visite de saint Jean de Matha, le fondateur des Trinitaires, Ordre dont le but était de racheter les chrétiens captifs. Jusque là, tout est authentique, mais les Trinitaires parisiens obtinrent du pape l’amélioration de l’existence d’un saint Félix de Valois, aidés en cela par Louis XIV, et les détails ne manquèrent pas pour en célébrer la sainteté. Une sainteté réelle sans doute, mais Paul VI rétablit la vérité en 1970, quant aux faits et gestes de saint Félix. Le culte des deux fondateurs est maintenu pour les Eglises locales et non plus pour l’Eglise universelle.

Le fidèle doit se montrer non seulement par son offrande, mais encore par la transformation de sa vie. Il doit briller non seulement par ce qu’il a reçu de Dieu, mais encore par ce qu’il apporte lui-même.

(Saint Jean Chrysostome – Homélies sur saint Matthieu)

La Vierge Marie en sa présentation

Cet épisode de la vie de la Vierge Marie ne se trouve pas dans les quatre évangiles, mais dans un livre apocryphe, le « protévangile de Jacques ». La piété populaire et la spiritualité mariale en furent marquées, car elle soulignait bien la disponibilité de la Vierge Marie à l’égard de la volonté divine. Tant en Orient qu’en Occident, cette fête connut un grand succès. Marie est bien prédestinée à devenir le temple vivant de la divinité. La scène est toute simple, selon cet évangile apocryphe : Anne et Joachim voulurent remercier Dieu de la naissance de cette enfant. Ils la lui consacrèrent. Lorsqu’elle eut trois ans, Marie fut conduite au Temple, un prêtre l’accueille par des paroles qui ressemblent au Magnificat et l’enfant s’assied sur les marches de l’autel. « Tout le peuple d’Israël l’aima. » Cette fête est attestée dès le 6e siècle.

Approche, ô toi vue par nos yeux comme un petit enfant, mais perçue par notre esprit comme l’atelier de Dieu. Approche et purifie le seuil du sanctuaire. Car ce n’est pas le temple qui te sanctifie et te purifie, mais c’est toi qui purifies entièrement le temple.

(Saint Germain de Constantinople – Homélie pour la présentation)

Plantée dans la Maison de Dieu et nourrie de l’Esprit, semblable à un olivier fertile, elle devient la demeure de toutes les vertus. Détachant son cœur de toutes les convoitises de cette vie et de la chair, elle conserve son âme vierge autant que son corps, comme il convient à celle qui allait concevoir Dieu en son sein.

(Saint Jean Damascène – De la foi orthodoxe)

Sainte Cécile

Nous savons peu de chose sur cette grande figure de l’hagiographie féminine. L’histoire nous assure qu’elle appartenait à une grande famille romaine : les « Cecilii », qu’elle était chrétienne, qu’elle aidait les premiers papes de ses deniers et que, lorsque son époux se convertit, ils donnèrent à l’Eglise un terrain devenu cimetière : les catacombes de Saint Callixte où elle eut le privilège d’être enterrée au milieu des papes. Au 9e siècle, ses reliques furent transférées dans une église romaine proche du Tibre : Sainte-Cécile du Trastevere. Hors de là, ce ne sont qu’embellissements d’une poétique admiration. La Cécile légendaire, promue vierge et martyre, a suppléé la Cécile historique, dame romaine opulente et donatrice secourable qui « chantait dans son cœur la gloire de Dieu ». Ce qui, en passant, est une belle référence pour tous ceux qui, chanteurs et chanteuses, veulent se mettre sous son patronage.

Si cette vie était la seule, ce serait avec raison que nous craindrions de la perdre. Mais il y en a une autre, qui n’est jamais perdue, et que le Fils de Dieu nous a fait connaître.

(Légende de sainte Cécile)

O sainte bien-aimée, je contemple ravie,
Le sillon lumineux qui demeure après toi.
Je crois entendre encor ta douce mélodie.
Oui, ton céleste chant arrive jusqu’à moi.

(Sainte Thérèse de Lisieux – Poésie en l’honneur de sainte Cécile)

Saint Clément de Rome

Disciple de saint Paul qui en parle dans sa lettre aux Philippiens (4, 3), il est l’un des premiers successeurs de saint Pierre sur le siège de Rome. Mais on sait peu de choses de son pontificat en ce temps de l’Eglise naissante. Sa lettre aux Corinthiens est le premier document où l’on voit l’Eglise de Rome intervenir dans une autre Eglise pour qu’y vive la charité, document inappréciable par la fraîcheur du texte si proche des rédactions des évangélistes. Selon la tradition, non vérifiée, il aurait été exilé en Crimée, à Cherson, où il aurait subi le martyre par noyade. Ses reliques furent ramenées à Rome par les saints Cyrille et Méthode au 9e siècle.

Qu’il demeure donc entier, le corps que nous formons en Jésus-Christ ! Que chacun respecte en son prochain le charisme qu’il a reçu. Que le fort prenne souci du faible, que le faible respecte le fort. Que le riche secoure le pauvre, que le pauvre rende grâce à Dieu de lui avoir donné quelqu’un qui subvienne à ses besoins. Que le sage manifeste sa sagesse non par des paroles, mais par de bonnes œuvres. Que l’humble ne se rende pas témoignage à lui-même, mais qu’il laisse ce soin à d’autres. Que celui qui est chaste dans sa chair ne s’en glorifie pas, sachant que c’est à un autre qu’il doit sa continence.(…) Puisque c’est de Dieu que nous tenons tous ces bienfaits, nous devons lui rendre grâce de tout.

Epître de Clément de Rome, 38, Les Pères apostoliques, Cerf, Foi vivante, 1991, p. 98-99.

Saint Pierre Dumoulin-Borie

Né le 20 février 1808 à Beynat, en Corrèze, il entre au petit séminaire de Servières, mais ses parents écartent ses projets : ni missionnaire, ni trappiste, ni médecin hors de France. Prêtre en France, d’accord. Pierre entre au grand séminaire de Tulle, mais il ne change pas d’avis : « Je dois vous prévenir que je suivrai ma vocation partout où elle m’appellera, fût-ce même aux Missions Etrangères. » Ce sera chose faite le 6 octobre 1829. Lors des émeutes de 1830, à Paris, il faillit se faire lyncher entouré par la foule qui le prenait pour un Suisse, mais son accent le sauva. Ordonné prêtre à Bayeux le 21 novembre 1830, il embarque au Havre sur « La France » et se retrouve à Macao le 18 juillet 1831. Débarqué à Saïgon par des contrebandiers chinois, il rejoignit le Sud-Tonkin. Bientôt poursuivi par la persécution, il n’en continue pas moins de remplir sa tâche pastorale dans la région qui lui est confiée. Arrêté en 1838, il apprend dans sa prison qu’il vient d’être nommé évêque. Le bourreau qui devait le décapiter avait bu pour se donner courage au moment d’exécuter un homme qu’il aimait et estimait. Complètement ivre, il dut s’y reprendre à sept fois. Exhumés secrètement onze mois plus tard, ses restes reposent aujourd’hui dans la salle des martyrs du séminaire des Missions Etrangères de Paris.

Le sang des martyrs est semence de vie parce qu’il se mêle au sang rédempteur du Christ qui s’est offert pour nous. A leur tour, ils ont donné leur vie pour la vérité, et le témoignage de leur fidélité nous incite à notre tour à vivre tout au Christ.

(Lectionnaire Emmaüs)

Sainte Catherine d'Alexandrie

Patronne des jeunes filles et des philosophes. L’une des plus célèbres martyres des premiers siècles. La plus jolie et la plus savante des jeunes filles de tout l’Empire, mystiquement fiancée à la Sagesse éternelle qui lui fait écarter avec succès les objections apportées contre la foi par les philosophes chargés de la convaincre de l’inanité du christianisme. Une sainte dont la légende a dévorée l’existence historique, recouverte de broderies fabuleuses. Car elle est surtout connue par cette légende qui la fait mourir déchiquetée par quatre roues armées de pointes et de scies. Très populaire au Moyen Age, elle fut l’une des « voix » de sainte Jeanne d’Arc. Son culte reste très vivant au monastère situé au pied du mont Sinaï où des anges l’ont portée.

Je suis la descendante de l’illustre roi Costos. On m’appelle Catherine. J’ai étudié les langues, exploré toute la science des philosophes et des poètes. Mais j’ai compris : ce ne sont que vanités ! Alors j’ai suivi mon Seigneur Jésus Christ. Je n’épouserai que mon Dieu !

(La Passion de sainte Catherine)
  • « Aller à la page précédente
  • Page 1
  • Pages provisoires omises …
  • Page 6
  • Page 7
  • Page 8
  • Page 9
  • Page 10
  • Pages provisoires omises …
  • Page 63
  • Aller à la page suivante »
  • Qui sommes-nous ?
  • Nos valeurs
  • Sainte Jeanne Jugan
  • Une place pour vous
  • Où sommes-nous ?
  • © Copyright 2025
  • Petites Soeurs des pauvres
  • Mentions Légales
  • Contact