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Petites Soeurs des Pauvres

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vendredi 9 mai 2025

Saint Pacôme
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Saint Jérôme Emilien

Ce militaire vénitien, aventureux et bon vivant, aux dépenses faciles, mena une jeunesse batailleuse et dévergondée. Il fut fait prisonnier par les armées de l’empereur germanique et comme il eut le temps de réfléchir et de méditer sur sa vie, il se convertit. Délivré miraculeusement par l’intercession de la Vierge Marie, il décida de consacrer sa vie aux miséreux, aux malades, aux enfants abandonnés et aux prostituées repenties dont il pensait qu’elles pouvaient renouer avec une vie nouvelle. Il fonda une congrégation à Somasca, en Lombardie, et pour cette raison on les appela les « Somasques ». Il vécut intensément sa vocation et mourut de la peste en soignant les pestiférés.

Dieu n’accomplit pas son œuvre en ceux qui ne veulent pas mettre en lui toute leur foi et toute leur espérance.

(Paroles de saint Jérôme Emilien)

Ce que Dieu vous demande, c’est d’accueillir les pauvres et non moi, Jérôme Emilien.

Soigner un malade de telle sorte qu’il ne regrette jamais l’absence de sa mère à son chevet.

(Paroles de saint Jérôme Emilien)

Sainte Marie, Mère de Dieu

Huit jours après la Nativité du Seigneur et Sauveur Jésus Christ, nous célébrons sa Mère, celle qui lui a donné son être humain, son corps et son âme par l’Esprit Saint qui vient sur elle, la plaçant dans l’orbite de la paternité divine. C’est pourquoi le concile d’Ephèse, en 431, la proclama la « Theotokos », la Mère de Dieu, puisque son fils est Dieu.

Marie est « Mère de Dieu » : voilà son premier titre de gloire, celui qui englobe tous les autres. On n’en saurait imaginer de plus sublime. Tous les autres ne seraient rien par rapport à celui-ci, même si leur nombre dépassait celui des étoiles du ciel et des grains de sable de la mer.

(Luther – Commentaire du Magnificat)

Saints Basile de Césarée et Grégoire de Nazianze

Ils sont tous deux nés en Cappadoce : Basile dans une famille de dix enfants (qui deviendront presque tous des saints), Grégoire dans le foyer d’un juif converti qui deviendra évêque. Ils se rencontrent à Athènes, lors de leurs études, et désormais ils se lient d’une grande amitié. La même foi et le même désir de perfection animent les deux étudiants. De retour en Cappadoce, ils font des projets monastiques, mais l’Eglise a besoin d’évêques dynamiques en cette période troublée par les hérésies. Basile devient évêque de Césarée, Grégoire, évêque de Nazianze, le siège épiscopal de son père, puis de Constantinople. La forte personnalité de Basile en fait un évêque de premier plan qui défend la foi trinitaire. Il rédige également des règles monastiques qui sont encore en vigueur dans les monastères « basiliens ». Saint Grégoire est plus fragile. Chassé de Constantinople, il finira solitaire, composant d’admirables poèmes que la liturgie utilise encore.

C’est une belle chose que la contemplation et c’est une belle chose que l’action. La première nous élève ici-bas et nous conduit vers le Saint des Saints, par retour de notre esprit vers ce pour quoi il est fait. La seconde accueille le Christ, le sert et prouve, sur pièces, la charité.

(Saint Grégoire de Nazianze – Discours XIV, 4)

Celui qui dépouille quelqu’un de ses vêtements est un pillard. Celui qui laisse les pauvres tout nus alors qu’il peut les vêtir, peut-on l’appeler autrement ? A l’affamé appartient le pain que tu conserves, à l’homme nu appartient le manteau que tu serres dans tes coffres, au clochard la chaussure qui pourrit chez toi, au miséreux l’argent que tu recèles. De la sorte, tu opprimes beaucoup de gens que tu pouvais aider.

(Saint Basile – Homélie contre la richesse)

Sainte Geneviève

Elle est née à Nanterre vers 420. Alors qu’elle a sept ans, l’évêque saint Germain d’Auxerre, de passage, la remarque et la consacre à Dieu. C’est dans le monde qu’elle mènera sa vie consacrée. En 451, les Huns menacent Paris. Geneviève persuade les Parisiens affolés que les Barbares n’attaqueront pas la ville et qu’il est inutile de fuir. En effet Paris est épargné. Puis ce sont les Francs qui viennent l’assiéger. Geneviève s’échappe par la Seine et va quérir du ravitaillement jusqu’à Troyes. Plus tard, elle jouit de la confiance des rois francs et obtient d’eux la grâce des condamnés. Elle se lia d’amitié avec sainte Clotilde. Sa réputation est telle qu’elle se répand jusqu’en Syrie où saint Syméon le Stylite, du haut de sa colonne, se recommande à ses prières. Elle passera sa vie à secourir les pauvres et guérir les malades.

Sainte Angèle de Foligno

Née à Foligno, en Ombrie, dans une famille riche, elle est mariée toute jeune par ses parents et elle connaît alors une vie mondaine et frivole qui lui fait abandonner la pratique des sacrements. Subitement convertie, elle voudrait bien se confesser, mais elle n’ose avouer toutes ses fautes au confesseur. Elle s’en va communier et reste tourmentée par cette communion sacrilège. C’est à ce moment-là qu’elle reçoit la vision de saint François d’Assise, mort vingt ans avant sa propre naissance. Elle multiplie alors les austérités, médite de longues heures, distribue aux pauvres ce qu’elle possède et passe pour folle aux yeux des siens. Et puis elle perd coup sur coup sa mère, son époux, ses fils. Elle se livre alors à la pauvreté absolue. Des visions du Christ crucifié lui font atteindre les sommets de la mystique dans des crises violentes qui effraient ses amis. Les Frères mineurs, disciples de saint François, se méfient d’elle d’autant qu’elle prend part aux controverses qui opposent, dans l’Ordre, les partisans d’une pauvreté mitigée et ceux d’une application stricte de l’idéal franciscain primitif. Les dernières années de sa vie seront plus paisibles, favorisées de grâces extraordinaires : « Elle semblait jouir du bonheur céleste. »

Il est bon et fort accepté de Dieu qu’avec la ferveur de la grâce divine, tu pries, veilles, travailles et fasses autres bonnes œuvres. Il est tout aussi très agréable à Dieu et très accepté de Lui que, sans la grâce, tu n’en pries pas moins, ne veilles pas moins et ne fasses pas moins autres bonnes œuvres. Fais sans la grâce les mêmes choses que tu fais avec la grâce.

(Sainte Angèle de Foligno – Lettre traduite par le P. Doncoeur)

Cette charité, efforcez-vous de l’acquérir ! Ne jugez personne, même s’il vous arrive de voir quelqu’un pécher mortellement. Ne jugez pas les pécheurs, vous ne connaissez pas le jugement de Dieu.

(Angèle de Foligno – Ses dernières paroles)

Saint Jean Népomucène Neumann

Saint Jean Népomucène Neumann naquit en Bohême d’une mère tchèque et d’un père bavarois. Bilingue dès le berceau, il apprendra le français, l’anglais, l’italien, l’espagnol, le grec moderne, le gaélique, dans sa passion d’annoncer l’Evangile à tous les Européens émigrés en Amérique. Ses études terminées, il s’arrache à sa famille et, malgré son évêque, le jeune séminariste se retrouve à New York où il est ordonné prêtre. Il entre dans la congrégation des Rédemptoristes fondée par saint Alphonse de Liguori. Curé à Baltimore, il est nommé évêque de Philadelphie en 1852. Il se dépense jusqu’à en mourir, bâtissant quatre-vingt églises, des orphelinats et une centaine d’écoles en huit ans d’épiscopat. Il tombe mort dans la rue. Il avait 48 ans. Ce Tchèque, apôtre des émigrés d’Europe Centrale aux Etats-Unis, est le premier Américain du Nord à avoir été canonisé.

Dans sa mort subite, Dieu l’a surpris, veillant à son ouvrage. Il fut par excellence le pasteur vigilant. Il veillait sur ses prêtres, les instruisant par son exemple plus encore que par sa parole. Il veillait sur les fidèles comme le bon berger qui donne chaque instant de sa vie pour son troupeau.

(Homélie de ses funérailles, janvier 1860)
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