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Petites Soeurs des Pauvres

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vendredi 9 mai 2025

Saint Pacôme
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Saint Gildas

Ce noble breton voit le jour en Ecosse vers la fin du 5ème siècle, l’année où les Bretons romanisés battent les Saxons envahisseurs. D’après nombre d’hagiographes, il aurait étudié dans un monastère du pays de Galles, sous la direction d’un disciple de saint Germain l’Auxerrois. Ordonné prêtre en 518, cet apôtre, surnommé « le sage », convertit d’abord ses compatriotes par une éloquence sacrée aussi simple qu’efficace. Avec le même succès, il passe en Irlande (saint Colomban d’ailleurs lui rendra hommage) pour aboutir en Armorique, la petite Bretagne continentale. D’abord installé dans l’île d’Houat, il va vivre en ermite dans la presqu’île de Rhuys qui ferme, au sud, le golfe du Morbihan. Il y fondera une abbaye qui porte aujourd’hui son nom et où on l’honore toujours. Abélard, le savant théologien du Moyen Age, en sera l’abbé au XIIème s. Troublé par l’effondrement de la civilisation romaine sous les coups successifs des envahisseurs saxons, il écrit : »De la ruine de la Bretagne » ouvrage qui connaîtra un grand succès durant tout le haut Moyen Age.

Par le Christ, je vous en conjure, mes fils, ne vous disputez pas ma dépouille. Dès que j’aurai rendu l’esprit, enlevez-moi, déposez-moi sur un esquif, mettez sous mes épaules la pierre sur laquelles j’ai reposé ma tête durant ma vie. Que nul d’entre vous ne demeure sur le bateau, mais poussez-le à la mer pour qu’il aille où Dieu voudra.

(Saint Gildas à ses frères, au moment de mourir.)

Sainte Bathilde

ou Bertille. Célébrée dans les Eglises d’Orient et d’Occident. D’origine anglo-saxonne, elle avait été prise encore enfant, par des corsaires et revendue comme esclave à Erkinoald. Quand le roi
Clovis II, fils du roi Dagobert, fut en âge de se marier, il remarqua cette admirable jeune fille dont la beauté et la douceur l’attiraient. Erkinoald la lui céda et elle devint reine. Elle eût trois fils. Mais son mari, usé par la débauche, mourut à vingt-trois ans. Devenue régente, elle donna toute sa mesure, conseillée par saint Eloi et d’autres évêques. Elle supprima l’esclavage, rendit l’impôt plus équitable et favorisa la vie monastique. Les aléas des conquêtes conduisirent le « maire du palais royal » à l’évincer. Mais Ebroïn l’estimait tout en la trouvant encombrante. Il l’obligea à s’enfermer dans un couvent, à Chelles près de Paris. Elle avait trente et un ans et y resta jusqu’à sa mort à quarante six ans, pardonnant à ses ennemis, se chargeant des besognes les plus basses et se vouant de préférence au soin des malades. Elle présida de façon décisive à l’éclosion du monachisme dans son royaume.

Chaque groupe porte une dénomination tirée de ses origines ou de son implantation, des pratiques ou des actions qui lui sont propres. Pour nous, la grande affaire et le titre suprême consistaient à être chrétiens et à en porter le nom.

(Saint Basile le Grand, que les Eglises d’Orient fêtent aujourd’hui.)

Saint Jean Bosco

C’était un fils de pauvres paysans piémontais. Adolescent, il joue à l’acrobate pour distraire sainement les garnements de son village. Devenu prêtre à force de sacrifices, il se dévoue aux jeunes ouvriers de Turin abandonnés à eux-mêmes. Il crée pour eux un centre de loisirs, un patronage, puis un centre d’accueil, puis des ateliers. Rien de tout cela n’était planifié à l’avance, mais ce sont les besoins immenses qui le pressent. Jamais il ne refuse d’accueillir un jeune, même si la maison est petite, même si l’argent manque. Plutôt que de refuser, il multipliera les châtaignes comme son maître multipliait les pains en Palestine. Sa confiance absolue en la providence n’est jamais déçue. Ses « enfants » seront bientôt des centaines et tous se feraient couper en morceaux pour Don Bosco. Sa mère, Maman Marguerite, vient s’installer près de lui et jusqu’à sa mort, elle leur cuira la polenta et ravaudera leurs vêtements. Très marqué par la spiritualité de saint François de Sales, Jean Bosco invente une éducation par la douceur, la confiance et l’amour. Pour ses garçons, il fonde l’Oratoire, l’œuvre qui sera à l’origine de la congrégation des prêtres salésiens. Pour les filles, il fonde la congrégation de Marie-Auxiliatrice. Don Bosco mourra, épuisé, en butte à l’hostilité de son évêque qui ne le comprend pas, mais entouré de ses disciples.

Pas d’agitation dans notre cœur, pas de mépris dans nos regards, pas d’injures sur nos lèvres. Ayons de la compassion pour le présent, de l’espérance pour l’avenir ; alors vous serez de vrais pères et vous accomplirez un véritable amendement.

(Un texte de saint Jean Bosco)

Sainte Brigitte de Kildare

En breton, on la nomme Brec’hed ou Berhet. D’origine irlandaise, elle fut convertie par saint Patrick. Elle refusa tous les prétendants qu’attirait sa grande beauté. Elle se retira à quelques kilomètres de Dublin, formant, avec plusieurs de ses compagnes, l’une des premières communautés religieuses féminines en Irlande. Femme d’une très grande générosité et d’une énergie exceptionnelle, elle est considérée comme l’une des saintes patronnes de l’Irlande. Son culte s’est étendu dans le Finistère breton et dans les Côtes d’Armor où deux localités portent son nom : Loperhet (Loc-Berhet) et Confort-Berhet. De nombreuses chapelles lui sont dédiées à Locmariaquer, Noyalo, Merdrignac, etc.

Si tu veux me contempler dans ma divinité infinie, apprends d’abord à me connaître dans mon humanité souffrante, car c’est là la voie la plus rapide pour atteindre l’éternelle béatitude.

(Bienheureux Henri Suso – Le livre de la Sagesse éternelle)

Fête de la présentation du Seigneur

Célébrée dès le 4ème siècle à Jérusalem, cette fête eut d’abord pour objet la rencontre du Seigneur Jésus avec le vieillard Syméon. En proclamant que cet enfant était la lumière du monde et serait un signe de contradiction, le vieillard achevait de manifester que Jésus était le Messie, Sauveur du monde. Au 7ème siècle, cette fête commence à être célébrée à Rome et s’accompagne d’une procession de pénitence qui, commencée à l’aurore, se faisait à la lumière des cierges, pour témoigner que dans la nuit du monde, Jésus était cette lumière tant attendue. La bénédiction des cierges ne date que du 10ème siècle. En Gaule, la fête devint mariale, reprenant la Purification exigée des jeunes mères juives qui se faisait quarante jours après la naissance, d’où la date de la fête qui se rattache encore au mystère de Noël.

O divin Esprit, je veux être devant vous comme une plume légère, afin que votre souffle m’emporte où il veut et que je n’y apporte jamais la moindre résistance.

(Bienheureux François-Marie Libermann – Commentaire de l’évangile selon saint Jean)

Saint Anschaire

Il quitta la Picardie et son abbaye bénédictine de Corbie, qui en ce temps était un centre très vivant de sciences et de sainteté. Il fonda tout d’abord une abbaye en Saxe, à Corwey (Corbie), puis il évangélisa les « hommes du Nord » – les « Normands » -, d’abord au Danemark, puis en Suède, avec les armées franques du roi Clotaire. Au nord-ouest de Stockholm, dans l’île de Björke, et dans la région du Russland, il fonda un monastère d’où il évangélisa les Varègues, ces Normands de l’Est qui descendaient le Dniepr jusqu’à la mer Noire et qui furent les « Rus », les premiers chrétiens de Kiev, un siècle avant la conversion du prince Vladimir. Il revint au nord de la Germanie et se vit confier l’évêché de Brême, où se termina son pèlerinage terrestre. Il est également vénéré dans les Eglises d’Orient et le synaxaire orthodoxe dit de lui : « Il n’entreprenait rien sans avoir consulté Dieu. »

Si j’avais le don des miracles, le premier que je ferais serait de changer ma mauvaise nature en celle d’un honnête homme.

(Saint Anschaire, en réponse à l’un de ses disciples qui admirait ses miracles)
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