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Petites Soeurs des Pauvres

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lundi 12 mai 2025

Saint Germain de Constantinople
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Sainte Bernadette

Vierge. Elle est née à Lourdes le 4 janvier 1844, dans une famille de meuniers que l’arrivée des moulins à vapeur a jetée dans la pauvreté. Ayant survécu à l’épidémie de choléra, elle demeure de santé très précaire mais elle avait un heureux caractère ; elle était simple et droite. Pour apprendre à lire et à écrire, elle est accueillie, en janvier 1858, dans la classe des petites filles pauvres de l’Hospice de Lourdes dirigé par les Sœurs de la Charité de Nevers. Entre le 11 février et le 16 juillet 1858, elle est favorisée de 18 apparitions de la Vierge Marie qui lui révèlera son nom en patois bigourdan :  » Je suis l’Immaculée Conception « . Désirant réaliser sa vie religieuse, elle choisit la Congrégation des Sœurs de la Charité de Nevers qu’elle connaissait déjà. Elle arrive à Nevers, à la Maison Mère de la Congrégation en juillet 1866. Tour à tour aide infirmière, Responsable de l’infirmerie, sacristine, mais souvent malade elle-même, elle vécut treize ans dans une vie humble et cachée, au service des autres. Son courage et sa bonne humeur étaient appréciés de toutes ses Sœurs. Ses traits d’humour étaient coutumiers. Le 16 avril 1879, dans l’infirmerie devenue aujourd’hui un oratoire, elle rend le dernier soupir.

Jamais une enfant dévouée à Marie ne pourra périr. O ma bonne Mère, ayez pitié de moi. Je me donne tout entière à vous afin que vous me donniez à votre très cher Fils, que je veux aimer de tout mon cœur. Ma Bonne Mère, donnez-moi un cœur tout brûlant pour Jésus.

(Sainte Bernadette)

Sainte Mère de Dieu, priez pour moi, pauvre pécheresse, pauvre pécheresse, pauvre pécheresse…

(Les derniers mots de Sainte Bernadette)

Saint Mesrop

Confesseur. Neveu du catholicos saint Houssik, il fit de brillantes études dans les lettres syriaques et helléniques. Secrétaire du roi, il interrompit sa carrière administrative pour devenir moine et prêtre. Il constata que beaucoup des fidèles chrétiens avaient un christianisme superficiel, ne lisant pas les Saintes Ecritures, la langue arménienne n’étant pas alors une langue écrite. Il perfectionna un alphabet et commença aussitôt la traduction de l’Ecriture Sainte et celle des Pères de l’Eglise de Cappadoce. L’un de ses disciples, Koriun, fit de même pour la langue géorgienne. Il multiplia les voyages apostoliques, ouvrant des écoles et fondant des monastères aux nombreux calligraphes. Il travaillait à préserver l’identité culturelle de son peuple et il est l’un des plus grands docteurs de cette Eglise. L’Eglise apostolique arménienne en fait mémoire le 5 juillet.

La première de toutes les belles choses, c’est tu ne l’ignores pas, d’acquérir sans cesse Dieu et de devenir de plus en plus à Dieu par la familiarité avec lui et l’élévation vers lui.

(Saint Grégoire de Nazianze)

Saint Eucher

Evêque et confesseur. Depuis sept ans, il vivait heureux à l’abbaye de Jumièges en Normandie, quand ses concitoyens obtinrent de Charles Martel qu’il leur fût donné comme évêque. Il fit mine de ne rien savoir et ne bougea point. Charles Martel lui écrivit qu’il le ferait transporter à Orléans par ses soldats, s’il tardait à se mettre en route. Eucher dut s’incliner et quitta Jumièges les larmes aux yeux. Tout alla bien jusqu’à la bataille de Poitiers (732). Estimant que ses soldats avaient sauvé l’Eglise de l’Islam, Charles décida de s’indemniser en s’emparant des vases d’or servant au culte. Tous les évêques se turent, tant ils avaient peur et seul Eucher protesta. Destitué et exilé à Cologne, cette riche Eglise, déjà trop taxée, le reçut en héros, logé dans un palais et invité à présider les grandes cérémonies liturgiques. Charles Martel se fâcha devant ce centre d’opposition. Il envoya le gouverneur de Liège pour séquestrer saint Eucher. Robert de Liège se laissa convaincre par saint Eucher qui lui demanda de redevenir moine à Saint-Trond comme jadis à Jumièges dont il avait toujours le « vague-à-l’âme ».

Devance toujours et en tous lieux de ta céleste lumière les fils suppliants des Francs. Qu’ils voient ce qu’il faut faire pour établir ton Règne en ce monde. Que pour une telle tâche, leur charité et leur courage aillent en s’affermissant.

(Ancienne prière, dite des Francs)

Saint Pierre Damien

Confesseur et Docteur de l’Eglise. Il est originaire de Ravenne. Dernier enfant d’une famille pauvre, orphelin très jeune, souvent maltraité, il connut la faim dans son enfance. Tout en gardant les porcs, il étudie et cet écrivain-né est aidé par son frère Damien qui lui donne la possibilité de faire de brillantes études, ce pourquoi il prendra son nom. Très doué, il est d’abord enseignant, rhéteur riche et prestigieux. La rencontre de deux ermites l’amène dans un petit ermitage fondé selon l’idéal de saint Romuald. Il s’y voue à la prière, à l’ascèse, à l’étude des Saintes Ecritures, à la contemplation, à la prédication aussi. Son monastère lui demande d’être un maître en exégèse en même temps qu’il est un maître de la vie spirituelle. Nommé prieur à Font-Avellane, il est en relation avec les grands monastères de son époque, comme Cluny ou le Mont-Cassin. L’Eglise connaît une période difficile où bien des clercs, prêtres et moines, mènent une vie débauchée, en tous cas relâchée. En 1057, il est nommé cardinal-évêque d’Ostie et chargé de mission à Milan, Cluny, Francfort …
Il soutient les papes dans leur action réformatrice, mais Léon IX est obligé de le tenir à l’écart à cause de bien des évêques. Plus tard, les papes suivant lui donneront d’importantes missions officielles de conciliation et de réforme. Ses écrits spirituels, ouvrages, lettres et sermons ont fait de lui un docteur de l’Eglise.

Que l’espérance te conduise vers la joie ! que la charité enflamme ton enthousiasme ! et que dans cette ivresse, ton âme oublie qu’elle souffre, pour s’épanouir en se dirigeant vers ce qu’elle contemple au-dedans d’elle-même.

(Saint Pierre Damien, lettre à un malade)

La tentation, ce n’est pas un mal. C’est une épreuve méritoire et la place où nous pouvons répondre de notre amour pour Dieu .

(Saint Pierre Damien – Dominus vobiscum)

Bienheureuse Isabelle de France

Vierge. Ce n’est pas une princesse de légende. Nous avons d’elle le portrait vivant qu’a écrit l’une de ses dames d’honneur, Agnès d’Harcourt, qui deviendra par la suite abbesse de Longchamp. Dès son plus jeune âge, cette soeur du roi saint Louis fut attirée par les choses célestes. Elle était gracieuse et belle, en sa jeunesse, mais de santé chétive. Près de sa mère, elle tint son rang au palais royal, mais passait beaucoup de temps avec les pauvres. Elle réussit à ne point se laisser marier à Conrad, le fils de l’empereur Frédéric II, malgré les instances du pape. Après la mort de Blanche de Castille, elle résolut de vivre à l’écart du monde et passa le reste de sa vie dans une petite maisonnette, près du couvent de Longchamp qu’elle avait bâti à Paris pour les clarisses et qu’elle consacra à « l’Humilité de Notre-Dame ». Elle y mena une vie d’austérité et de prière, sans prononcer pour autant des voeux de religion.

Toi qui l’aimes comme une Mère, cherche à égaler son humilité, sa pureté, sa pauvreté, son obéissance. Imite-la dans son amour de Dieu et du prochain et dans ses autres vertus.

(Michel de Saint-Augustin – 17ème siècle)

Saint Polycarpe

Evêque et martyr. Dans sa jeunesse, il connut l’apôtre saint Jean dont il est devenu le disciple. Evêque de Smyrne, il transmettra la tradition johannique au jeune Irénée, le futur évêque de Lyon. Lorsqu’éclate la persécution commandée par Marc-Aurèle, l’empereur philosophe, saint Polycarpe est très âgé. Il est plein de noblesse devant le proconsul : « Voilà bientôt quatre-vingt-six ans que je sers le Christ, et il ne m’a fait aucun mal. Comment pourrais-je outrager mon roi et mon sauveur ? » Il est alors brûlé vif, « comme un pain dans le four » selon son expression.

Seigneur Dieu tout puissant, Père de Jésus Christ ton enfant bien-aimé, de qui nous avons reçu connaissance de ton nom, Toi, le Dieu des anges, des puissances et de toute la création, ainsi que de la race des justes qui vivent en ta présence, je Te bénis de m’avoir jugé digne de ce jour et de cette heure afin de me faire prendre part au nombre de tes témoins, et de participer au calice de ton Christ pour la résurrection de la vie éternelle de l’âme et du corps.

(Paroles de saint Polycarpe au moment de sa mort)
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