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Petites Soeurs des Pauvres

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mardi 13 mai 2025

Saint Germain de Constantinople
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Saint Vincent Ferrier

Confesseur. Né à Valence en Espagne, Vincent entre chez les dominicains à 17 ans. En ce temps-là, l’Eglise d’Occident était déchirée par le Grand Schisme : un pape à Avignon, un pape à Rome. Maître en théologie, Vincent soutient d’abord les papes d’Avignon. Mais pour que se fasse l’unité, il adjura Benoît XIII, dernier pape avignonnais, de renoncer à sa charge pour que l’Eglise puisse se rassembler autour d’un nouveau Pape. Prédicateur populaire, il sillonne la France, l’Italie et la Suisse. Les foules le suivent. Il les exhorte à se convertir : le retour du Christ est proche, les calamités du temps (la Grande Peste !) l’annoncent. Vincent est, dans l’imagination populaire, « le prédicateur de la fin du monde ». Il meurt à Vannes, en Bretagne. Partout où il a prêché, les populations, qui le vénéraient déjà de son vivant, l’invoquent après sa mort.

C’est par l’esprit de douceur que vous ferez du bien à vos auditeurs, tandis qu’ils seront peu touchés si vous vous contentez de considérations générales sur les vices et les vertus.

(Saint Vincent – Traité de la vie spirituelle)

Certaines irréfléchis ne savent pas se taire. Lorsque Dieu leur accorde une grâce ou une lumière, ils se hâtent de le publier partout, souvent fort mal. Ces gens ressemblent à une poule qui ne cesse de caqueter : elle trahit l’œuf qu’elle vient de pondre et, sur le champ, on le lui ravit.

(Saint Vincent – Sermon sur la Nativité)

Saint Marcellin

Quand les empereurs romains persécutaient les chrétiens, beaucoup sacrifièrent leur vie ou leur liberté pour la foi. Mais il y en eut, même des prêtres, qui renièrent le Christ, la mort dans l’âme sans doute, mais par peur ou par faiblesse de caractère. Quand revint la paix de l’Eglise, on se posa la question suivante : fallait-il réintégrer dans l’Eglise et dans le sacerdoce ceux qui avaient abjuré leur foi sous la menace ? Les donatistes (du nom de leur meneur, Donat) jugeaient que non. Quand l’Eglise choisit de faire miséricorde, ils firent sécession. Un siècle plus tard, la guerre civile entre catholiques et donatistes durait toujours dans la province d’Afrique. L’empereur Honorius chargea alors le légat impérial Marcellin d’organiser une conférence contradictoire entre les deux partis. C’était un homme très cultivé, et ce fut pour répondre à ses questions que saint Augustin écrivit plusieurs de ses ouvrages dont « De la rémission des péchés ». La conférence de 410 à Carthage, que Marcellin préside avec équité malgré les pressions, condamne les donatistes. Ils ne lui pardonneront pas. Peu après, ils accusèrent le fidèle fonctionnaire romain de complot contre l’empereur. Malgré les interventions de saint Augustin, son ami, qui lui dédie « La Cité de Dieu », le légat sera exécuté à Carthage en 413.

Probité de mœurs, fidélité en amitié, zèle pour la doctrine, sincérité en matière religieuse, chasteté en son ménage, retenue dans l’exercice de la justice, patience envers ses ennemis, affabilité envers ses amis, promptitude à rendre service, retenue dans ses requêtes, amour des bonnes actions et douleur devant les péchés : voilà quelles étaient ses qualités.

(Saint Augustin – Eloge funèbre de saint Marcellin)

Saint Jean-Baptiste de la Salle

Confesseur. Né à Reims dans une famille bourgeoise, il est chanoine à 16 ans au chapitre de la cathédrale. Son avenir est assuré.
Il est jeune séminariste quand il doit prendre en charge ses six frères et soeurs plus jeunes, à la mort de ses parents. A cause de ces responsabilités familiales, il hésite à poursuivre jusqu’au sacerdoce. Poussé par son père spirituel, il accepta de devenir prêtre à 27 ans. L’éducation de la jeunesse le passionne. Il ouvre des écoles gratuites pour les petites filles, puis pour les petits garçons. Pour les éduquer, il fonde une congrégation : les Frères des Ecoles chrétiennes. Pour s’y consacrer, il renonce à sa charge de chanoine qui lui assurait des ressources et distribue aux pauvres sa part d’héritage. Le bon bourgeois rémois partagera désormais la pauvreté de ses frères. Malgré les procès que lui font les maîtres d’écoles pour concurrence illicite, malgré les contradictions à l’intérieur même de son Ordre, saint Jean-Baptiste poursuit son oeuvre, inventant une spiritualité et une pédagogie nouvelles. C’est ainsi que l’apprentissage de la lecture se fait, dans ses écoles, non sur le latin, mais sur le français ! Au milieu des tribulations, l’oeuvre s’étend à travers la France et aujourd’hui encore, à travers le monde. Il meurt un Vendredi Saint, lui dont le coeur, des années durant, avait été transpercé par les trahisons et les calomnies. Le pape Pie XII l’a déclaré « patron de tous les éducateurs chrétiens ».

Priez instamment le Dieu des cœurs que, du vôtre et de celui de vos frères, il n’en fasse qu’un dans celui de Jésus.

(Saint Jean-Baptiste de la Salle – 39ème méditation)

C’est le seul esprit de Jésus Christ qui doit animer toutes nos actions pour les rendre saintes et agréables à Dieu.

(Saint Jean Baptiste de la Salle – Les règles de la bienséance)

Sainte Julie Billiart

Vierge. A 7 ans, elle transmettait déjà le catéchisme à ses camarades. A 16 ans, elle travaillait aux champs pour venir en aide à ses parents.
Paralysée à 22 ans, elle fonda, malgré cela, la Congrégation des Soeurs de Notre-Dame pour l’enseignement et l’éducation des jeunes filles pauvres. Des difficultés avec les autorités diocésaines l’obligèrent à transférer sa communauté d’Amiens à Namur.

Sans religion, il n’y a pas, dans le monde, de vrai bonheur. Eduquez, non de petites dévotes, mais de bonnes chrétiennes.

(Sainte Julie Billiart à ses soeurs)

Souvenez-vous, mes filles, que le mieux est l’ennemi du bien. Si l’on voulait trop exiger de certaines personnes, on gâterait tout. Jamais les outrances ne réussissent.

(Sainte Julie Billiart à ses soeurs)

Saint Acace

Evêque et confesseur. Il était évêque d’Amida en Mésopotamie (Irak).En 419, l’empereur Théodose II l’envoie en ambassade auprès du roi des Perses. Le premier fruit de cette ambassade sera la réunion, par le catholicos nestorien, d’un concile des Eglises perses. En 421, la guerre éclate entre les deux empires. 7 000 Perses sont faits prisonniers par les Byzantins. Ces prisonniers meurent de faim car leur nombre est trop grand. L’évêque Acace vend les vases sacrés de son église pour payer leur rançon et les libère. Beaucoup en deviendront chrétiens. Reconnaissant, le roi de Perse, Bahram V, cesse de persécuter les chrétiens nestoriens de son empire. C’est encore Acace qui lui sera envoyé pour négocier la paix en 422.

Acace rassembla le clergé de son Eglise et lui dit : « Notre Dieu n’a besoin ni de patènes ni de calices. Il ne mange ni ne boit puisqu’il se suffit à lui-même. Donc, puisque notre Eglise, grâce à la générosité de ses fidèles, possède un grand nombre de vases d’or et d’argent, elle doit s’en servir pour libérer et nourrir ceux qui ont été faits prisonniers par nos soldats. » Et il ordonna de faire fondre les vases et en donna la valeur pour le rachat des captifs.

(Patrologie grecque n° 67)

Bienheureux Alexis de Falconieri

Confesseur. L’un des sept marchands florentins qui se libérèrent des servitudes de leur négoce pour vivre au service de l’Eglise, à l’image de la Mère de Dieu, dans la prière et dans l’apostolat. Ils étaient grands amis, ils avaient tous de trente à trente-cinq ans quand ils se retirèrent, silencieux, se construisant des huttes de bois dans la forêt, s’adonnant à la prière et au travail de leurs mains. A tour de rôle, ils prenaient la besace et se faisaient mendiants pour s’assimiler à la classe la plus pauvre et récolter beaucoup d’humiliations de la part de ceux qui se souvenaient de leurs richesses anciennes. Ils n’avaient jamais songé à fonder un ordre de religieux, mais Rome le leur imposa et ce fut leur dévotion à la Sainte Mère de Dieu qui leur fit donner le nom de « servites » ou « serviteurs de Marie. »

Fais-moi chanter l’amour de la Bienheureuse, de la Dame qui se réjouit du Christ. Donne-moi réconfort, Mère du Bel Amour et mets feu et flamme en mon cœur. Confortez-vous en grande allégresse, vous qui avez grande espérance en Dieu. Voici la Madone et son Fils. Ne sommes-nous point en sûreté !

(Laudes italiennes du 13ème siècle)
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