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Petites Soeurs des Pauvres

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lundi 12 mai 2025

Saint Germain de Constantinople
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Saint Gontran

Confesseur. Petit-fils de Clovis et roi de Bourgogne, il connut cette époque féroce et cruelle où la reine Frédégonde fit assassiner sa soeur, son beau-frère, son mari et l’évêque Prétextat. Clotaire II fit périr Brunehaut, reine d’Austrasie, en l’attachant à un cheval au galop. Lui-même, saint Gontran fit bien quelques écarts dans la fidélité conjugale, répudia sa femme, en vint à tuer son médecin, crimes qu’il ajoutait à bien d’autres. Et puis, il se convertit, pleura ses péchés pendant le reste de sa vie, racheta ses fautes par ses grandes libéralités envers les pauvres, qui le surnommèrent « le bon roi Gontran ». Vers la fin de sa vie, il entra au monastère Saint Marcel de Châlon sur Saône. Peu après sa mort, il fut proclamé saint par son peuple.

Il a daigné venir à nous pour se manifester dans la forme d’esclave. Qu’il ait pris chair est le chemin qu’il a choisi. La fatigue du chemin n’est rien d’autre que la faiblesse de la chair et Jésus est faible dans la chair. Mais toi, ne te laisse pas aller à la faiblesse. Toi, sois fort dans sa faiblesse à lui. Parce que ce qui est faiblesse de Dieu est plus fort que les hommes et la faiblesse du Christ est notre force.

(Saint Augustin – Sur l’évangile de saint Jean)

Saints Barachise et Jonas

Martyrs en Perse. Ils étaient frères selon la chair, ils le furent dans le témoignage qu’ils rendirent durant leurs tortures, ils le restèrent par le sang qu’ils versèrent pour le Sauveur Jésus, l’espérance des chrétiens. Une tradition authentique nous rapporte qu’ils étaient toujours joyeux. Comme ils ne craignaient pas la mort, ils se moquèrent tellement du juge qui voulait leur faire adorer le soleil, que l’assistance s’en amusa, pleine de gaieté, et qu’on dut lever la séance. Ils furent jugés de nuit alors que les gens dormaient, et condamnés à être écrasés sous une pierre.

Accorde-nous de dire ce que nous croyons, selon le devoir qui nous incombe, après avoir appris des prophètes et des apôtres que tu es un seul Dieu le Père et qu’il n’y a qu’un seul Seigneur, Jésus-Christ. Donne-nous de te révérer, toi, Dieu unique mais non solitaire, donne-nous de le proclamer, lui, Dieu véritable et non faux-dieu.

(Saint Hilaire de Poitiers)

Saint Jean Climaque

Il venait de Palestine quand il se rendit au monastère Sainte Catherine du Sinaï. Il avait 16 ans et il y restera 19 ans sous la direction d’un moine vénérable qui lui apprend la vie parfaite. Un jour, ce dernier l’emmène auprès d’abba Jean le Sabaïte, ascète respecté. Celui-ci verse de l’eau dans un bassin et lave les pieds de Jean, et non pas du vénérable vieillard. Interrogé pourquoi, Jean le Sabaïte répond : »J’ai lavé les pieds de l’higoumène du Sinaï. » La prophétie devait se réaliser quelques décennies plus tard. En attendant, son maître étant mort, Jean se retire au désert durant 40 ans. Il ne refuse jamais de donner quelques conseils et quelques enseignements quand on vient le trouver. Des envieux le traitant de bavard, Jean comprend qu’on enseigne plus par les oeuvres que par les paroles. Il rentre alors dans le silence. On devra le supplier de reprendre ses enseignements, ce qu’il fera par miséricorde. Après avoir longuement visité les monastères de l’Egypte, il revient au Sinaï et c’est à ce moment qu’il est élu higoumène du monastère Sainte Catherine. Vers la fin de sa vie, on lui demande de rédiger « L’Echelle Sainte » (en grec « klimax », d’où son nom) qui résume l’expérience spirituelle des trois premiers siècles du monachisme. Ce livre est une véritable somme de la spiritualité monastique, et lui donna dans l’Eglise byzantine la première place parmi les docteurs mystiques. Son échelle devint si populaire que le tsar Ivan le Grand en fit un clocher au Kremlin de Moscou pour rappeler aux hôtes du palais qu’eux aussi ont une destinée surnaturelle.

Quand tu pries, ne recherche pas de mots compliqués, car le bégaiement, simple et sans variété, des enfants a souvent touché leur Père des cieux. Ne cherche pas à beaucoup parler quand tu pries, de peur que ton esprit ne se distraie à chercher les mots. Un seul mot du publicain apaisa Dieu et un seul cri de foi sauva le larron

(Saint Jean Climaque – Echelle, degré 28)

Saint Innocent

Il naquit dans un petit village près d’Irkoutsk en Sibérie. Il se montra très brillant dans ses études et très habile pour les travaux manuels de menuiserie aussi bien que d’horlogerie. Il continua ainsi jusqu’à ses derniers jours à travailler de ses mains. Elevé au sacerdoce peu après son mariage, il lui fut demandé de devenir missionnaire en Alaska. Après un voyage de 14 mois, il entreprit de convertir les Aléouts dont il apprit la langue et pour lesquels il traduisit les textes liturgiques et les Evangiles, composant ainsi la première grammaire de leur langue. Il eut fort à faire devant l’opposition des chamanes. Il construisait lui-même ses églises. Il fonda des écoles, fournissant aux élèves des manuels en russe et en langue tinglit, rédigés par lui. Venu à Moscou pour le Saint Synode, il apprit à ce moment la nouvelle de la mort de son épouse. Il confia ses six enfants à l’Eglise et fut consacré évêque pour le Kamtchatka et l’Alaska. Il parcourut son nouveau diocèse partageant la vie des indigènes dans des tentes en écorces de bouleau. Il apprit le yakoute et continua ses voyages au coeur du désert sibérien malgré le blizzard et la neige. Il obtint d’abord deux évêques pour le seconder. Appelé à devenir métropolite de Moscou et primat de l’Eglise russe, il organisa la Société Russe des Missions, allégea les formalités bureaucratiques de l’Eglise. Bien que devenu, aveugle à cause des journées passées sur la neige, il continua à célébrer de mémoire la Sainte Liturgie, remettant son âme à Dieu quelques instants avant l’office de Pâques.

Ayant reçu cette prédication et cette foi, l’Eglise, bien que dispersée dans le monde entier, les garde avec soin, comme n’habitant qu’une seule maison. Elle y croit d’une manière identique comme n’ayant qu’une seule âme et qu’un même cœur, et elle les prêche, les enseigne et les transmet d’une voix unanime. Car si les langues diffèrent à travers le monde, le contenu de la Tradition est un et identique.

(Saint Irénée)

Sainte Marie l'Egyptienne

Dans le désert proche de Jérusalem se trouvait le tombeau d’une ermite, une solitaire. Autour de ce fait historique s’est constituée une des légendes hagiographiques les plus populaires des premiers siècles. Marie aurait été une courtisane d’Alexandrie. Un groupe de pèlerins venant de Lybie se rendait en Terre Sainte. Elle les accompagnait pour des motifs « professionnels ». Arrivée devant le Saint Sépulcre du Christ, elle ne put y entrer. Bouleversée, elle va se prosterner devant une icône de la Mère de Dieu et la supplie de la faire admettre dans l’église pour y vénérer la croix. La Mère de Dieu obtient à la fois l’entrée de Marie au Saint Sépulcre et sa conversion. Marie gagne alors le désert où elle vivra, pénitente, quarante sept ans, dit-on, avec quelques petits pains seulement de temps à autre.

Quand j’aurai vu le bois de la croix de ton Fils, aussitôt je renoncerai au monde et à tout ce qui est dans le monde et je sortirai tout de suite, pour aller là où tu me diras, toi ma garante, et où tu me conduiras.

(Prière à la Vierge Marie, attribuée à sainte Marie l’Egyptienne)

Saint François de Paule

Confesseur. Considéré par ses parents comme l’enfant d’un miracle accompli par le Poverello, saint François d’Assise, il en reçut le prénom. François Martotelli est né dans la ville de Paola, en Calabre, d’où son nom. Tout jeune, il entre chez les Cordeliers (une branche de la famille franciscaine). Il s’y distingue bien vite par des grâces exceptionnelles, comme de se retrouver en deux endroits en même temps. Après un pèlerinage, il se retire dans une grotte à quelque distance du couvent. D’autres solitaires le rejoignent : ils deviendront en 1460, l’Ordre des Minimes, religieux voués à l’humilité. François continue bonnement ses humbles excentricités : on dit qu’il traversa le détroit de Messine en marchant sur la mer. Sur injonction du pape Sixte IV, il se rend à Plessis-lès-Tours, au chevet du roi de France Louis XI. Après le décès du monarque, le fondateur va rester un quart de siècle à la cour de France. Affectueusement surnommé « le bonhomme » par le peuple qui le vénère, ce simple frère laïc bénit inlassablement cierges et chapelets. Pourtant il gouverne à merveille la vie spirituelle des prêtres, évêques et rois.

Pour l’amour de Dieu, je vous en supplie : observez les commandements. Conformez-vous aux divines volontés, en tout ce qui peut vous arriver, prospérité ou épreuves.

(Lettre à un ami)

Bon Jésus, bon Pasteur, conservez les justes. Justifiez les pécheurs. Ayez pitié de tous les fidèles vivants et morts. Soyez favorable au pauvre malheureux que je suis.

(Saint François de Paule)
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