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Petites Soeurs des Pauvres

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mardi 13 mai 2025

Sainte Agnès de Poitiers
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Saint Charles Eugène Mazenod

Né à Aix-en-Provence en 1782, il vit en exil en Italie durant la Révolution française. A son retour, après une période de réflexion, il entre en 1808 au séminaire Saint-Sulpice de Paris. Trois ans après, il est ordonné prêtre et revient à Aix exercer son ministère auprès des pauvres. En 1816, il fonde les Missionnaires de Provence qui deviendront les Oblats de Marie Immaculée. Nommé vicaire général de son oncle, archevêque de Marseille, il lui succède en 1837 et, tout en s’occupant des Oblats, il développe la vie de son diocèse, marqué par les suites de la Révolution et les secousses sociales de l’époque. Il dirige les Oblats vers les missions les plus difficiles comme celles du Grand Nord.

Chaque fois qu’un homme de Dieu annonce la parole et dit ce mot qui semble usé : « Mes frères ! », il annonce en toute vérité que ceux qui font la volonté du Père sont d’authentiques frères de Jésus.

(Lectionnaire Emmaüs)

Sainte Rita

Le culte de sainte Rita est mieux attesté que sa vie. On peut cependant en reconstituer les grandes lignes. Née dans un petit village italien, elle fut l’enfant inespérée de la vieillesse. Toute jeune, elle veut se consacrer à Dieu, contrairement au projet de ses parents. Elle se laisse marier à Fernandino, un homme violent dont elle a deux fils. Elle est une épouse et une mère sans reproche. Mais les querelles de clans sont féroces dans l’Italie du XVème siècle. Fernandino est assassiné après 18 ans de vie conjugale pendant lesquelles la douceur de Rita a peu à peu converti à la paix et à la charité le mari brutal. C’est un déchirement pour Rita, mais plus encore lorsqu’elle voit que ses deux fils, pour venger leur père, sont prêts à assassiner à leur tour. Rita supplie Dieu de les rappeler à lui plutôt que de les laisser devenir assassins. Dieu exauce sa prière. Demeurée seule, Rita s’emploie à réconcilier les clans ennemis, pardonnant aux assassins, avant d’entrer chez les Augustines de Cascia. Elle y vivra une vie mystique intense et recevra les stigmates de la Passion du Christ. A sa mort, les miracles se multiplient sur son tombeau, faisant naître un culte populaire qui se répand rapidement. Sainte Rita a reçu le titre de « sainte des causes désespérées ».

Une très honnête sœur, la dame Rita, dans le cloître de Sainte-Marie-Madeleine de Cascia, y ayant vécu quarante ans comme moniale, vivant avec amour, au service de Dieu… Elle passa sa vie, servant Dieu par des jeûnes et des prières.

(Introduction au recueil de ses miracles)

Saint Didier

Evêque de Vienne à partir de 595, au temps où Brunehaut gouvernait l’Austrasie pour le compte de son petit-fils, roi nominal de 15 ans. Didier, soutenu par le pape saint Grégoire le Grand, s’élevait contre les moeurs et les scandales de la cour. Pour le faire taire, la reine convoqua un concile à Chalon-en-Bourgogne (Chalon-sur-Saône) et y fit comparaître une certaine Justa qui se plaignit d’avoir été violée par saint Didier en présence d’un témoin, domestique de la cour royale. Les évêques de la province de Lyon déposèrent leur collègue, mais trois ans plus tard, la reine troublée par la mort des deux accusateurs, fit revenir Didier qui n’en continua pas moins à admonester la vieille criminelle qui n’arrêtait ni ses débauches ni ses tueries. Pour en finir, elle envoya des soldats qui allèrent tirer saint Didier de sa cathédrale et le tuèrent à coups de pierres. Six ans plus tard, Clotaire II fit attacher Brunehaut par un bras et une jambe derrière un cheval lancé au galop et c’est ainsi qu’à quatre-vingt ans périt la meurtrière de saint Didier. La localité de Saint-Didier-sur-Chalaronne, dans l’Ain, rappelle que ce fut là que saint Didier donna sa vie pour la vérité.

Sa vie est digne de louange ainsi que sa parole brillante. Nous croyons que nous l’avons comme intercesseur auprès de Dieu, parmi les autres pères et confesseurs.

(Saint Théodore Stoudite)

Saint Vincent de Lérins

Vincent était originaire d’une bonne famille gauloise. Il fait de bonnes études tant profanes que théologiques. Mais les choses religieuses ne l’attirent guère. Il avouera lui-même n’être arrivé que fort tard « au port de la religion » après avoir été entraîné longtemps « dans le tourbillon amer et incohérent de la vie du monde ». En ce temps-là, Honorat avait fondé, dans une des îles de Lérins, au large de Cannes, une petite communauté qui devint l’abbaye de Lérins. C’est là que Dieu appelle Vincent, dans « ce lieu écarté (la petite île s’appelle aujourd’hui Saint-Honorat) et, dans ce lieu, la cellule d’un monastère ». Dans cette retraite, la culture acquise dans sa jeunesse trouvera à s’employer. Il rédigera plusieurs écrits : un recueil de morceaux choisis de saint Augustin et surtout, sous le pseudonyme de Peregrinus (l’étranger, le migrant), le « Commonitorium » ou aide-mémoire dont le but est de donner une règle sûre permettant « de distinguer la vraie foi catholique de l’erreur des hérésies ». Ce fut longtemps une des lectures des hommes d’Eglise dans l’Occident. Elle mériterait de l’être encore dans notre monde moderne.

Qu’il en soit de la religion des âmes comme du développement des corps. Ceux-ci se déploient et étendent leurs proportions dans les années, et pourtant ils restent constamment les mêmes… Ces lois du progrès doivent s’appliquer également au dogme chrétien. Les années le consolident, le temps le développe. Il n’admet aucune atteinte à ses caractères spécifiques, aucune variation dans ce qu’il a défini.

(Saint Vincent – Commonitorium)

Sainte Madeleine-Sophie Barat

Son père était un petit vigneron de Bourgogne, à Joigny. Elle reçut sa formation de son frère prêtre qui avait onze ans de plus qu’elle et qui était un homme étrange. Il lui apprit à fond le grec et le latin, ne lui passait rien, la giflant à l’occasion, lui interdisant toute effusion du coeur et toute récréation. A vingt ans, elle arrive à Paris. La grâce de Dieu l’y attendait. Heureusement, elle y rencontre un père jésuite, le père Varin, qui la sauve en devenant son père spirituel. Il rêvait d’un institut voué à l’éducation chrétienne des jeunes filles du « monde », de la noblesse et des bourgeois enrichis. Avec elle, dès l’année suivante, les Dames du Sacré-Coeur comme il les appela, eurent un pensionnat à Amiens, en Picardie. En 1815, l’institut reçut ses constitutions, calquées sur celles des jésuites. En 1850, l’institut possédait soixante-cinq maisons en France et à l’étranger. C’était une grande éducatrice à qui il suffisait de faire le contraire de ce qu’elle avait subi de son frère : « Epanouir et libérer les âmes au lieu de les tyranniser et corseter ».

Ne considérer dans les enfants que les qualités et les titres qui les rendent vraiment grandes et nobles aux yeux de Dieu… des âmes rachetées par le sang de Jésus-Christ et destinées à régner éternellement avec lui.

(Sainte Madeleine-Sophie Barat)

Il y a des sources qui restent inconnues. Elles existent : enlevez un peu de terre et aussitôt vous voyez apparaître une eau limpide.

(Sainte Madeleine-Sophie Barat)

Saint Philippe Neri

Florentin de naissance, il passa les trois-quarts de sa vie à Rome et y devint si populaire et d’une sainteté si universellement reconnue qu’il deviendra, après saint Pierre, un second patron de la Ville Eternelle. Il présente cette étonnante combinaison d’une piété nourrie des Pères du désert avec un ministère actif, spécialement auprès de la jeunesse. Chez lui, la bonne humeur, voire l’hilarité, s’allie à l’évangélisme le plus limpide. S’étant laissé élever à la prêtrise, il y gagna les plus fervents de ses jeunes convertis. La jeune communauté qu’ils formèrent autour de lui tire son nom, « l’Oratoire », des soirées de très pieuses mais très libres et très joyeuses méditations dont il était l’animateur. Ce saint étonnant, qui allie à la culture la plus raffinée une sainteté évangélique et une bonne humeur qui ne se refuse pas à la mystification, enchantera ses compatriotes contemporains puis ravit en France, au siècle suivant, ceux qui fonderont à leur tour l’Oratoire de France : le futur cardinal de Bérulle et le père de Condren. Et si même un sceptique aussi inguérissable que Goethe a pu se sentir un dévot de saint Philippe sans en arriver à en partager la foi, il est tout aussi typique qu’un grand universitaire d’Oxford, J. H. Newman, converti, lui, pour de bon, n’ait pas cru pouvoir se mettre à une autre école que celle de saint Philippe Neri. Pour son action auprès des jeunes et sa gaieté contagieuse, il fut, avec saint François de Sales, l’un des saints préférés de saint Jean Bosco.

Veillez à la pureté du cœur : l’Esprit Saint habite les âmes simples et candides ; c’est lui le maître de la prière qui nous fait demeurer en vraie paix et joie constante, avant-goût du ciel.

(Saint Philippe Neri)

Que la joie dans le Seigneur augmente toujours. Que la joie selon le monde diminue toujours jusqu’à ce qu’elle disparaisse. Je ne dis pas cela parce que, vivant en ce monde, nous ne devrions jamais nous réjouir. Mais afin que, même vivant en ce monde, nous soyons joyeux dans le Seigneur.

(Saint Philippe Neri)
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