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Petites Soeurs des Pauvres

Congrégation des petites soeurs

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mercredi 14 mai 2025

Saint Matthias
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Sainte Thérèse-Bénédicte de la Croix

Martyre à Oswiecin (Auschwitz) en Pologne. Née dans le judaïsme, Edith Stein était professeur d’université à Wroclaw (Breslau) et elle se tourna progressivement vers le Christ, malgré les difficultés nées de l’incompréhension de sa famille. Au temps de l’invasion nazie et de la persécution anti-juive, elle devint carmélite à Cologne traduisant dans sa vie les « sept demeures » de sainte Thérèse d’Avila et s’unissant, par la Croix, aux souffrances de son peuple. Réfugiée aux Pays-Bas, elle y fut arrêtée au carmel d’Echt, et elle meurt à Auschwitz huit jours plus tard. Elle avait partagé la persécution de son peuple, portant le don de soi jusqu’au martyre pour le Christ. »

Verbe de Dieu, tu nous apprends à pardonner au bourreau qui torture, à tendre l’autre joue à qui nous frappe, à donner sans mesure à qui demande. Verbe de Dieu béni sois-tu ! Vrai Fils de Dieu, tu nous apprends à ne jamais avoir peur de nos peurs, à répondre aux menaces par des chansons, à nous battre avec ceux que l’on opprime. Vrai Fils de Dieu, louange à Toi !

(Louange pour la fête de sainte Thérèse-Bénédicte)

Saint Laurent

Diacre de l’Eglise de Rome, auprès du pape saint Sixte II, il a pour fonction d’être le gardien des biens de l’Eglise. Lorsqu’en 257, l’empereur Valérien prend un édit de persécution interdisant le culte chrétien, même dans les cimetières, il est arrêté en même temps que le pape et les autres diacres. Ils sont immédiatement mis à mort, mais lui est épargné dans l’espoir qu’il va livrer les trésors de l’Eglise. Voyant le pape marcher à la mort, Laurent pleure. Est-il donc indigne de donner sa vie pour le Christ ? Saint Sixte le rassure, il ne tardera pas à le suivre. Sommé de livrer les trésors, il rassemble les pauvres, les infirmes, les boiteux, les aveugles : « Voilà les trésors de l’Eglise. » Il est condamné à être brûlé vif sur le gril. Il a encore le sens de l’humour et un courage extraordinaire : « C’est bien grillé de ce côté, tu peux retourner », dira-t-il au bourreau. Il fut l’un des martyrs les plus célèbres de la chrétienté. Au Moyen Age, avec saint Pierre et saint Paul, il était le patron de la Ville éternelle où 34 églises s’élevaient en son honneur. 84 communes françaises portent son nom.

Par son intercession, faites qu’incendiés de l’Esprit Saint, nous surmontions les flammes des passions et soyons consumés par le vrai feu de sainteté.

(Liturgie de Tolède pour la fête de saint Laurent)

Sainte Claire d'Assise

Il n’est pas possible de séparer l’histoire de sainte Claire de celle de saint François d’Assise. Née à Assise, elle a 11 à 12 ans de moins que lui. Elle est de famille noble et lui fils de marchand. Au moment de la « commune » d’Assise vers 1200, soulèvement violent contre le pouvoir féodal auquel participe saint François, les parents de Claire quittent la ville par sécurité et se réfugient à Pérouse, la ville rivale. Ils ne reviendront à Assise que 5 à 6 ans plus tard. Claire ne commence à connaître saint François que vers 1210, quand celui-ci, déjà converti à la vie évangélique, se met à prêcher dans Assise. Elle est séduite par lui et par cette vie pauvre toute donnée au Christ. Elle cherche donc à rencontrer François par l’intermédiaire de son cousin Rufin qui fait partie du groupe des frères. Ensemble, ils mettent au point son changement de vie. Le soir des Rameaux 1212, elle quitte la demeure paternelle et rejoint saint François à la Portioncule. Elle a 18 ans et se consacre à Dieu pour toujours. L’opposition de sa famille n’y pourra rien. Rapidement d’autres jeunes filles se joignent à Claire, dont sa soeur Agnès, sa maman Ortolana et son autre soeur Béatrice. La vie des « Pauvres Dames » prospère rapidement et d’autres monastères doivent être fondés. Le Pape Innocent III leur accorde « le privilège de pauvreté ». Mais après la mort de saint François, les papes interviendront pour aménager la vie matérielle des Clarisses et leur permettre une relative sécurité. Claire refuse de toutes ses forces. Elle veut la pauvreté totale et la simplicité franciscaine. En 1252, le pape Innocent IV rend visite aux Soeurs, accepte leur Règle de vie et la bulle d’approbation arrive le 9 août 1253. Claire meurt le 11 août tenant la bulle dans ses mains dans la paix et la joie.

Ce que tu tiens, tiens-le. Ce que tu fais, fais-le et ne le lâche pas. Mais d’une course rapide, d’un pas léger, sans entraves aux pieds, pour que tes pas ne ramassent pas la poussière, sûre, joyeuse et alerte, marche prudemment sur le chemin de la béatitude.

(Sainte Claire à sainte Agnès de Prague)

Notre-Dame de Guadalupe

Juan Diego Cuauhtlatoazin n’était qu’un pauvre indien aztèque qui vivait à vingt kilomètres au nord de Tenochtitlan, actuellement Mexico. Il se convertit entre 0524 et 1525 et fut baptisé par le frère franciscain Toribia de Benaventé appelé par les indiens »Motolina »,  » le pauvre ». Juan perdit sa femme en 1529. Chaque samedi et chaque dimanche il se rendait avant l’aube à la messe et aux classes d’instruction religieuse et c’est au cours d’une de ces marches vers Tenochtitlan qu’il rencontre la Vierge Marie, au lieu-dit maintenant « Capilla del Cerrito ». La première eut lieu en décembre 1531. La Vierge lui adressa la parole dans sa langue. Il avait alors 57 ans et à partir de ce jour, il laissa tout pour vivre au lieu même des apparitions et propager sa dévotion à ses concitoyens. Il mourut le 30 mais 1548. Jan Paul II le déclara bienheureux le 6 mai 1990 dans la basilique de Guadalupe. Toute l’Amérique Latine, du Mexique en Argentine, l’honore et la prie comme leur protectrice.

Je ne suis rien, je suis une petite ficelle, une minuscule échelle, une feuille.

(Juan Diego en réponse à la présence de la Vierge Marie)

Saint Maximilien Kolbe

Il naît à Lodz en Pologne. Il entre à 16 ans chez les Franciscains conventuels de Lvov. En 1917, alors qu’il est encore étudiant, il fonde avec quelques frères « la Milice de l’Immaculée », mouvement marial au service de l’Eglise et du monde. Prêtre en 1918, il enseigne la philosophie et l’histoire. Dès 1922, il fonde un mensuel pour diffuser la pensée de la Milice et un peu plus tard, il crée un centre de vie religieuse et apostolique appelé « la Cité de l’Immaculée ». Au début de la deuxième guerre mondiale, il se trouve au Japon où il fonde encore une autre « Cité ». Maximilien est très soucieux de la diffusion de la pensée religieuse par les moyens modernes, les medias. A cause de la guerre, il est ramené comme prisonnier en Allemagne. Libéré, puis de nouveau arrêté en février 1941, il est déporté au camp d’Auschwitz en mai. A la suite d’une évasion, dix prisonniers sont condamnés à mourir de faim, de soif et de manque d’air, enfermés dans un bunker de 3 m sur 3 m. Parmi eux, un père de famille. Maximilien s’offre de mourir à sa place. On lui demande : « Qui es-tu ? » – « Prêtre catholique ». Il meurt dans ce bunker, le dernier, après avoir aidé ses compagnons dans la patience, la paix et le réconfort. Le père de famille sera présent au jour de la canonisation du P. Kolbe à Rome.

Que notre amour se manifeste particulièrement quand il s’agit d’accomplir des choses qui ne nous sont pas agréables. Pour progresser dans l’amour de Dieu, en effet, nous ne connaissons pas de livre plus beau et plus vrai que Jésus-Christ crucifié

(Saint Maximilien Kolbe – Lettre à un ami)

L'Assomption de la Mère de Dieu

ou la Dormition de la Mère de Dieu. « Tous, d’un même coeur, étaient assidus à la prière, avec quelques femmes, dont Marie, mère de Jésus, et avec ses frères. » (Actes 1, 4). Telle est la dernière mention explicite dans le Nouveau Testament, de Marie, dont on sait qu’après la mort de Jésus, le disciple Jean l’a prise chez lui. Que devient-elle alors ? Une tradition la fait vivre quelque temps avec Jean à Ephèse. Mais c’est sans doute à Jérusalem qu’elle termine son séjour terrestre. D’après des récits apocryphes remontant au 5ème siècle, les apôtres furent mystérieusement avertis de se retrouver à Jérusalem. Ils purent alors entourer la Mère de Dieu lors de ses derniers instants et de sa Dormition. Trois jours après sa mort, les anges enlevèrent le corps ressuscité de Marie vers le ciel. L’événement marial de ce jour correspond à la fois à la mort, à la résurrection et à l’Ascension du Christ. Au 6ème siècle, l’empereur byzantin étend à l’ensemble de l’Eglise byzantine une fête mariale le 15 août et lui donne le nom de Dormition de la Mère de Dieu. Cette fête se répand ensuite dans l’Eglise universelle. En Occident, elle prend le nom d’Assomption. Les deux dénominations ne font que mettre l’accent sur deux aspects du même mystère.

Marie, qui ne connaît que la louange de Dieu parce qu’elle accepte de lui donner toute sa vie. Marie qui intercède pour les hommes, mais ne jamais se lamente. Marie qui reste silencieuse jusqu’au pied de la croix. C’est ainsi que nous devons l’honorer aujourd’hui, sans attendre d’elle d’autres paroles que celles qu’elle nous a données dans l’Evangile de son Fils.

(Lectionnaire Emmaüs)
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