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Petites Soeurs des Pauvres

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mardi 13 mai 2025

Sainte Agnès de Poitiers
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Notre Dame des Sept Douleurs

Au pied de la croix de son fils agonisant, la Mère de Dieu et toujours Vierge Marie connut le glaive de douleurs que lui avait annoncé le vieillard Siméon dans le Temple au jour de la Présentation de Jésus.

On a tué le fils et la mère, les transperçant de dure mort. On trouvera la mère et le fils, embrassés sur une même croix.

(Poème attribué à Jacopone de Todi, auteur du « Stabat Mater »)

Saints Cyprien et Corneille, pape

Saint Cyprien s’était fait chrétien à quarante-six ans. Jusque là, il avait été rhéteur et avocat et ses moeurs étaient celles d’un païen célibataire. Après sa conversion, il trouva son bonheur en donnant ses biens aux pauvres, tant et si bien que les chrétiens de Carthage le choisirent deux ans après comme évêque. Progressivement, il devint, par son influence, chef de l’Eglise d’Afrique. A la demande de ses fidèles, il se cacha durant la persécution de Dèce et fut épargné. Lorsqu’éclata ensuite la persécution de Valérien, il fut envoyé en exil par un proconsul qui lui était favorable. Mais le successeur l’étant moins, le fit chercher, le ramena à Carthage où il fut décapité. Vis-à-vis des chrétiens qui avaient apostasié pour éviter la mort, saint Cyprien était plein de miséricorde, professant que la miséricorde divine est plus grande que le plus grand des péchés. Le pape saint Corneille s’appuya sur lui lors de la querelle des « lapsi », des chrétiens apostats. Après saint Augustin, il est l’un des plus grands témoins de la doctrine de l’Eglise latine des premiers siècles.

La tunique du Christ, tissée d’une seule pièce et sans couture, ne peut être divisée par ceux qui la possèdent. Indivise, d’un seul morceau, d’un seul tissu, elle figure la concorde et la cohésion de notre peuple, à nous qui avons revêtu le Christ. Par le mystère de ce vêtement et par son symbole, le Christ a rendu manifeste l’unité de l’Eglise.

(Saint Cyprien – Sur l’unité de l’Eglise)

Sainte Hildegarde de Bingen

Elle était d’une famille noble germanique. Très jeune, on la confie au couvent de Disbodenberg, un monastère double, sur les bords du Rhin, où moines et moniales chantent la louange divine en des bâtiments mitoyens. Devenue abbesse, elle s’en va fonder une autre communauté à Bingen, puis une à Eibingen. Elle voyage, va où on l’appelle, prêche dans les cathédrales et les couvents, correspond avec toutes les têtes couronnées, les pontifes de son temps, saint Bernard et bien d’autres. Elle plaide pour une réforme radicale de l’Eglise. Depuis sa petite enfance, elle est favorisée de visions exceptionnelles. Par obéissance, elle les couchera sur le papier. Ses récits apocalyptiques (au sens littéral de dévoilement des fins dernières) donnent de l’univers une vision étonnante de modernité où la science actuelle peut se reconnaître (création continue, énergie cachée dans la matière, magnétisme) mais qui peut aussi apaiser la soif actuelle de nos contemporains tentés par le « Nouvel Age » : « Le monde ne reste jamais dans un seul état », écrit-elle. L’essentiel de sa pensée réside dans le combat entre le Christ et le prince de ce monde, au coeur d’un cosmos conçu comme une symphonie invisible. Dante lui emprunta sa vision de la Trinité.

Cette multitude des anges a une raison d’être qui est liée à Dieu plus qu’à l’homme et elle n’apparaît aux hommes que rarement. Certains anges, cependant, qui sont au service des hommes, se révèlent par des signes, quand il plaît à Dieu.

(Sainte Hildegarde – Le livre des œuvres divines)

Saint Ignace de Loyola

Né en Espagne d’une famille noble, benjamin de treize enfants, Ignace est d’abord page à la cour, puis chevalier rêvant d’exploits. En 1521, les Français assiègent Pampelune. Ignace s’illustre parmi les défenseurs de la ville quand un boulet de canon lui broie la jambe et brise sa carrière. Il rentre au château familial sur un brancard. Ayant épuisé les récits de chevalerie, il entame la vie des saints. C’est la conversion, totale, brutale. Dès qu’il peut marcher, il se rend dans une grotte à Manrèse, non loin de l’abbaye bénédictine de Montserrat. Il y découvrira sa vocation propre : non la contemplation, mais le service de Dieu parmi les hommes. C’est là qu’il rédige ses « Exercices spirituels » où il consigne ses expériences spirituelles. Après un pèlerinage en Terre sainte, il commence ses études de théologie à Paris. Il partage sa chambre avec un jeune étudiant, saint François-Xavier, et le contact n’est pas toujours facile. Quelque temps plus tard, le 15 août 1534, l’étudiant attardé de 43 ans et ses jeunes amis étudiants font, à Montmartre, le voeu de pauvreté, de chasteté et d’obéissance et fondent ainsi la « Compagnie de Jésus ». Douze ans plus tard, ils feront profession solennelle à Rome « pour la plus grande gloire de Dieu ». A Paris (9, rue Yvonne Le Tac, dans le 18e arrondissement) existe encore la chapelle des vœux, mais elle est désaffectée.

L’homme est créé pour louer, respecter et servir Dieu notre Seigneur, et par là sauver son âme. Les autres choses, sur la face de la terre, sont créées pour l’homme, pour l’aider à poursuivre la fin pour laquelle il est créé. Il s’ensuit que l’homme doit en user dans la mesure où elles lui sont une aide

(Saint Ignace de Loyola – Exercices spirituels)

Saint Alphonse de Liguori

De famille napolitaine noble, Alphonse était promis à un brillant avenir, du moins son père en avait-il décidé ainsi. L’enfant est doué. A seize ans, il est docteur en droit civil et ecclésiastique. Il devient un avocat de renom et de succès. Il ne perd aucun procès quand il le plaide. Mais, de son côté, le Seigneur plaide tout doucement la cause du Royaume des cieux dans le coeur du jeune homme si bien parti pour réussir dans le monde. Alphonse décide d’abord de se consacrer à Dieu dans le monde et, pour cela, renonce à un beau mariage. Désormais on le trouve assidu aux pieds du Saint-Sacrement et des statues de la Vierge Marie. Il fréquente les malades incurables et les condamnés à mort. A vingt-sept ans, il perd un procès, pourtant juste, à cause des pressions exercées sur les juges par des puissants fortunés. Désespérant de la justice humaine, il démissionne, devient prêtre et se consacre aux « lazzaroni », ces pauvres des bas-fonds de Naples et des campagnes. Il a choisi son camp, celui des pauvres rejetés. Pour eux, il fonde la congrégation des Rédemptoristes sous le patronage de saint François de Sales. Toute sa vie, il se battra contre le rigorisme et fera triompher dans l’Eglise une pastorale de miséricorde et de liberté. Devenu malgré lui évêque, brisé par la maladie, il revient mourir parmi les siens.

C’est ma conviction qu’on réussit toujours mieux par la douceur que par la sévérité.

(Saint Alphonse)

Les âmes trop sûres d’elles-mêmes font trembler.

(Saint Alphonse)

Saint Pierre Julien Eymard

Fils d’un boutiquier de village dans la région de Grenoble, il fut d’abord prêtre séculier. En 1839, il entre chez les Pères maristes dont il quitte la congrégation en 1856, à la suite des apparitions qu’il reçut de la Vierge Marie, le chargeant de fonder un institut sacerdotal voué à l’adoration perpétuelle du Saint Sacrement. Ses dernières années furent remplies de souffrances venant de ses religieux qui n’avaient plus confiance en lui.

Donnez-moi la croix, Seigneur, pourvu que vous me donniez aussi votre amour et votre grâce.

(Saint Pierre Julien)
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