• Passer à la navigation principale
  • Passer au contenu principal

Petites Soeurs des Pauvres

Congrégation des petites soeurs

 Prier  Faire un don  Publications & Ressources

mardi 13 mai 2025

Sainte Agnès de Poitiers
  • Accueil
    • Tous les articles
    • Prochains événements
    • Archives
    • Dossiers
  • Qui sommes-nous ?
    • Spiritualité
      • Saint Jean Eudes
      • Saint Jean de Dieu
    • Vie fraternelle
    • Apostolat
      • Saint Joseph
      • Quête
    • Nos valeurs
      • Vivre l’esprit de famille
      • Respecter la dignité
      • Accompagner la vie
      • En Eglise
    • Portraits
      • Père Ernest Lelièvre
      • Françoise Teilhard de Chardin
      • Caroline Sheppard
  • Sainte Jeanne Jugan
    • Biographie
    • Héritage spirituel
    • Rayonnement
      • Prix Montyon
      • Canonisation
      • La Vallée des saints
    • Sur ses pas
      • Pèlerinage
      • Visite guidée estivale
      • Marche avec Jeanne Jugan
    • Confier les intentions à Sainte Jeanne Jugan
  • Vocation
    • Venez et voyez
      • A Ma Maison
      • A La Tour
      • A l’étranger
      • Contact jeunes
    • Les étapes
      • Foire aux questions
      • Postulat
      • Noviciat
      • Vœux temporaires
      • Vœux perpétuels
    • Témoignages
    • Propositions pour les jeunes
  • Une place pour vous
    • Résidents
    • Bénévoles
    • Association Jeanne Jugan
    • Petites Sœurs des Pauvres
    • Salariés
    • Donateurs
  • Où sommes-nous ?
    • Maison-Mère et Noviciat
    • France-Belgique
      • Province de Montpellier
      • Province de Paris – Bruxelles
      • Province de Rennes
    • Europe
      • Province de Dublin-Londres
      • Province de Barcelone-Séville
      • Province de Madrid
      • Province de Rome
    • Amérique
      • Province de Baltimore-Brooklyn
      • Province de Chicago
      • Province de Colombie
      • Province de Chili-Argentine-Perou
    • Asie
      • Province de l’Inde
      • Province d’Extrême-Orient
    • Océanie
    • Afrique

Saint Pierre Claver

Il naît près de Barcelone dans une famille de paysans espagnols. Doué, il fait des études chez les jésuites avant d’entrer à 20 ans au noviciat de la Compagnie de Jésus à Tarragone. On l’envoie au couvent de Majorque où il se lie d’amitié avec le frère saint Alphonse Rodriguez, le frère portier, qui lui parle des Amériques. Alors grandit en lui le désir de partir en mission dans le Nouveau Monde. Au terme de son voyage, il parvient en 1610 en Colombie, à Carthagène, où il devient prêtre. Dans ce port arrivent par centaines les esclaves noirs, entassés dans les cales des navires des négriers. Leur souffrance et leur déchéance sont indescriptibles. Ils sont traités comme des animaux. Il les nourrit, les soigne, les habille, les console, les évangélise. Il se consacre aussi aux condamnés à mort et à tous les plus misérables, quarante ans de dévouement marqués de nombreuses conversions. Il meurt, épuisé physiquement et moralement.

Il me faut ne rien désirer ici-bas, hormis ce que Jésus désira. Je dois sanctifier les âmes, souffrir et mourir pour leur salut.

(Saint Pierre Claver)

Dès que je ne fais pas ce que fait l’âne, cela ne me réussit pas. Qu’on dise du mal de lui, qu’on ne lui donne pas à manger, qu’on le charge au point de tomber à terre, quoiqu’on le maltraite, toujours il se tait. Il est endurant, étant âne. C’est ainsi que doit être le serviteur de Dieu : « J’étais comme une bête devant toi. » (Psaume 72)

(Paroles de saint Pierre Claver)

Bienheureux Charles Spinola

et ses compagnons martyrs. Il vécut son enfance dans le palais de l’empereur Rodolphe. Il partit faire ses études en Italie à Nole où il se présenta au noviciat des Jésuites. Il étudia la théologie à Milan et les mathématiques à Rome. Il partit pour les Indes, mais en cours de navigation, les Anglais interceptèrent le navire et reconduisirent tous les passagers captifs à Londres. Deux ans après, en 1599, nous le retrouvons à Goa, puis à Macao, et enfin, en 1602, à Nagasaki. Il exerce d’abord son ministère au collège de Kyoto. C’est là qu’il fut arrêté lors de la grande persécution des shoguns. Il fut emprisonné durant quatre ans, avec d’autres chrétiens, dans une prison aux tortures raffinées. Elle se composait de cages exposées au vent et au soleil, à la chaleur de l’été et aux rigueurs de l’hiver. Les prisonniers, entassés les uns sur les autres, étaient livrés aux horreurs de la faim, de la nudité et de l’infection. Le bienheureux Charles vit ses compagnons mourir les uns après les autres, mais de nouveaux captifs arrivaient toujours. Ils furent ensuite amenés à Nagasaki, sur la colline des martyrs où d’autres chrétiens avaient déjà été crucifiés. Vingt-cinq pieux étaient disposés pour ceux qui allaient y être attachés en vue d’y être brûlés. Puis on amena des chrétiens japonais condamnés à être décapités dont des enfants de quatre, sept et douze ans. On plaça leurs têtes face à ceux qui allaient mourir par le feu. Les matières inflammables étaient disposées à deux mètres des poteaux pour que le supplice fût plus lent, les martyrs étant consumés par la chaleur.

Le dessein mystérieux de la Providence, à travers le succession du temps et les travaux des hommes, la plupart du temps contre toute attente, atteint sa fin et dispose tout avec sagesse pour le bien de l’Eglise, même les événements contraires.

(Jean XXIII)

Saint Jean-Gabriel Perboyre

Martyr en Chine. Fils d’un laboureur du Quercy, il entra chez les Pères Lazaristes en 1820. Après avoir été maître des novices à Paris, rue de Sèvres, il est envoyé en Chine. Il apprend les langues locales, adopte les coutumes chinoises et s’établit au coeur du Kiang-Si, une province montagneuse interdite aux Européens. Après quatre années de prédication, il est arrêté en vertu d’une loi de l’empereur Kien-Long qui interdit le christianisme. Fouetté, suspendu par les cheveux à un chevalet, brûlé au fer rouge, on lui grave sur le front : « Propagateur d’une secte abominable » . Ses tourments se prolongent plusieurs mois, lentement et avec raffinement. Sur vingt chrétiens arrêtés en même temps que lui, douze renièrent le Christ. Les bourreaux avaient reçu toute liberté : ils le chargèrent de chaînes, lui broyèrent les pieds dans un étau, lui firent boire du sang de chien, le tourmentèrent jusque dans sa pudeur la plus intime. Alors même qu’il agonisait, les membres écartelés sur une croix, ils lui donnaient encore des coups de pieds dans le ventre. Ils l’achevèrent en l’étranglant.

Martyr en Chine. Fils d’un laboureur du Quercy, il entra chez les Pères Lazaristes en 1820. Après avoir été maître des novices à Paris, rue de Sèvres, il est envoyé en Chine. Il apprend les langues locales, adopte les coutumes chinoises et s’établit au coeur du Kiang-Si, une province montagneuse interdite aux Européens. Après quatre années de prédication, il est arrêté en vertu d’une loi de l’empereur Kien-Long qui interdit le christianisme. Fouetté, suspendu par les cheveux à un chevalet, brûlé au fer rouge, on lui grave sur le front : « Propagateur d’une secte abominable ». Ses tourments se prolongent plusieurs mois, lentement et avec raffinement. Sur vingt chrétiens arrêtés en même temps que lui, douze renièrent le Christ. Les bourreaux avaient reçu toute liberté : ils le chargèrent de chaînes, lui broyèrent les pieds dans un étau, lui firent boire du sang de chien, le tourmentèrent jusque dans sa pudeur la plus intime. Alors même qu’il agonisait, les membres écartelés sur une croix, ils lui donnaient encore des coups de pieds dans le ventre. Ils l’achevèrent en l’étranglant.

(Lettres de Jean-Gabriel)

Saint Guy d'Anderlecht

Paysan pieux et bon, né vers 950 dans le Brabant, il est choisi comme sacristain de sa paroisse, Notre-Dame de Laeken. Mais un marchand de Bruxelles le persuade de s’associer à lui pour gagner de quoi faire davantage d’aumônes. Guy met tout ce qu’il a dans cette affaire. Les catastrophes s’accumulent, jusqu’au jour où Guy s’en repent. Comme pénitence, il part en pèlerinage à Rome et à Jérusalem. Rentré sept ans plus tard, vers 1012, il meurt épuisé à Anderlecht. Sa tombe devint un lieu de pèlerinage très fréquenté.

Dieu n’a besoin de rien mais l’homme a besoin de la communion de Dieu. Car la gloire de l’homme, c’est de persévérer dans le service de Dieu.

(Saint Irénée)

Saint Jean Chrysostome

Jean est né à Antioche. Son père meurt deux ans plus tard et sa mère sacrifiera tout pour donner à son fils une bonne éducation. C’est ainsi qu’il sera, dans sa ville natale, l’élève du grand sophiste Libanios. A 18 ans, il reçoit le baptême. Il étudie alors la théologie à l’école des grands exégètes antiochiens. Puis, alors qu’un brillant avenir s’offre à lui, il quitte la ville et va rejoindre les moines des déserts environnants, où il passe plusieurs années avant de revenir dans la grande ville : le salut de ses frères l’appelle. Il est ordonné diacre, puis prêtre. Il a environ 40 ans. Pendant douze ans, il assure la prédication à Antioche, où l’on se presse pour l’écouter : ne mérite-t-il pas le surnom de Bouche d’Or (Chrysostome) sous lequel la postérité le connaîtra ? Son style est à la fois direct et passionné, familier et lyrique. Il s’interrompt pour apostropher les fidèles et ces interruptions, soigneusement consignées par ses auditeurs, nous restituent l’atmosphère vivante de ses sermons. Il désire tellement que les fidèles vivent en vrais disciples du Christ ! En 398, il est élu évêque de Constantinople, bien malgré lui. Il entreprend alors dans la grande ville le même travail qu’à Antioche : il accueille les moines égyptiens accusés de suivre les erreurs d’Origène. Il réforme le clergé et prend résolument le parti des pauvres. Il s’attire ainsi l’hostilité de l’impératrice Eudoxie qui le fait déposer en 403. Rappelé, il recommence à dénoncer l’injustice. Cette fois, on l’exile au loin. Ballotté d’exil en exil, épuisé par les mauvais traitements, il meurt au pied du Caucase, et au bord de la Mer Noire, à Soukhoumi où son sarcophage rappelle ses souffrances.

Qu’est donc la grandeur humaine ? C’est le songe d’une nuit. Tout s’évanouit avec le jour. C’est comme fleurs printanières. Le printemps est passé et tout est fané.

(Saint Jean Chrysostome – Sermon sur la vanité)

De retour en nos demeures, dressons-y deux tables : l’une pour les mets du corps, l’autre pour ceux de l’Ecriture Sainte. Que chacun de vous fasse de sa maison, une église !

(Saint Jean Chrysostome – Homélie sur la Genèse)

La Croix glorieuse

Quand, à Jérusalem, la reine sainte Hélène, mère de l’empereur Constantin, fut convaincue d’avoir retrouvé sur le mont Calvaire la vraie croix du Christ, elle fit édifier en ce lieu, avec l’aide de son fils, une basilique englobant le Calvaire et le Saint Sépulcre. Cette basilique qui eut pour nom « Résurrection » fut consacrée un 14 septembre. Par la suite, ce jour fut choisi pour célébrer une fête qu’on appela « Exaltation de la précieuse et vivifiante Croix » parce que son rite principal consistait en une ostension solennelle d’une relique de la vraie croix. Ce geste manifestait devant tous que la Croix est glorieuse parce qu’en elle la mort est vaincue par la vie. La fête se répandit à Constantinople où elle connut un éclat nouveau à partir du 7ème siècle parce que les Perses infidèles s’étaient emparés de Jérusalem et avaient emporté dans leur pays la vraie Croix comme trophée de victoire. L’empereur Héraclius alla la reprendre et ramena triomphalement à Constantinople le symbole de la victoire du Christ sur la mort. Progressivement la fête fut célébrée dans toute l’Eglise et des parcelles de cette relique furent distribuées à travers le monde chrétien.

Heureuse croix où pèse la rançon du monde, par qui l’enfer a tremblé en son empire. Heureuse es-tu de porter ce fruit de vie et les peuples rassemblés applaudissent ton triomphe. Salut, sainte croix ! Salut notre unique espérance… La vie a enduré la mort et la mort a rendu la vie.

(Hymne liturgique « Vexilla Regis »)
  • « Aller à la page précédente
  • Page 1
  • Pages provisoires omises …
  • Page 20
  • Page 21
  • Page 22
  • Page 23
  • Page 24
  • Pages provisoires omises …
  • Page 63
  • Aller à la page suivante »
  • Qui sommes-nous ?
  • Nos valeurs
  • Sainte Jeanne Jugan
  • Une place pour vous
  • Où sommes-nous ?
  • © Copyright 2025
  • Petites Soeurs des pauvres
  • Mentions Légales
  • Contact