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Petites Soeurs des Pauvres

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vendredi 9 mai 2025

Saint Pacôme
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Les Saints Innocents

C’étaient de tout petits enfants, ils avaient à peine 2 ans pour les plus âgés : l’âge de la crèche, pas même de la maternelle. Pour leurs pères et leurs mères, ils étaient des merveilles, des enfançons qu’on élève encore contre sa joue et que l’on fait bénir par le premier prophète qui passe. Voulant atteindre le roi d’Israël, ce sont les petits qu’Hérode fait tuer, les premiers accueillis par le Dieu d’Amour qui vient sauver les hommes. Ils sont incapables de parler. Mais aux yeux du Christ, c’est l’existence et non l’âge qui offre la liberté d’entrer dans l’Eglise.

Nous ne devons pas nous troubler lorsque se produisent des événements étrangers aux divines promesses. Dieu réalise toujours ses plans par des moyens qui semblent paradoxaux. De la sorte, il manifeste sa puissance.

(Saint Jean Chrysostome – Homélie sur les Saints Innocents)

Saint Thomas Beckett (+ 1170)

Il était né à Londres d’une famille normande. Il fit de bonnes études à Londres et à Paris et le roi Henri II Plantagenêt choisit ce brillant sujet comme chancelier. Enchanté de son administration, il le fait nommer archevêque de Cantorbéry, pensant ainsi résoudre les difficultés qu’il connaît avec les évêques de son royaume. Thomas change du tout au tout. De fastueux, il devient ascétique ; de servile, il se trouve bientôt en conflit avec le roi, qui veut imposer sa loi par-dessus celle de l’Eglise romaine. Il invite les pauvres à sa table et prend l’habit de moine. La querelle s’envenime au point qu’il doit s’enfuir en France. Il rejoint alors l’abbaye cistercienne de Pontigny, en Bourgogne. Il regagne Cantorbéry en novembre 1170, et c’est là que, dans sa cathédrale, peu avant Noël, quatre familiers du roi vont l’abattre devant l’autel après qu’il eut refusé de lever les excommunications qu’il avait portées contre les évêques trop dociles à l’égard du roi.

N’est-ce pas dans la foi et la doctrine de Pierre que l’édifice de l’Eglise est fondé, jusqu’à ce que nous parvenions tous en Christ jusqu’à l’état de l’homme parfait, dans l’unité de la foi et la vraie connaissance du Fils de Dieu ?

(Saint Thomas Beckett à l’évêque Gilbert)

Saint Gédéon (+ 1818)

Né dans une famille pauvre d’un village près de Volos en Grèce, il fut placé par ses parents chez un de ses oncles qui tenait un bazar. C’est là qu’il fut enlevé par un musulman pour être employé dans son harem. Le jeune garçon devint musulman sous le nom d’Ibrahim. Torturé par les reproches de sa conscience, il s’enfuit, et ses parents le cachèrent en Crète d’où il s’embarqua trois ans plus tard pour la sainte montagne de l’Athos. Mais il voulut expier publiquement sa faute et il obtint de ses supérieurs de s’engager sur la voie du martyre volontaire. Il revint à la demeure de son ancien maître musulman et lui reprocha de l’avoir forcé à trahir sa foi. Arrêté, il fut pris pour un fou. Bastonné, il fut libéré et retourna à l’Athos. Un an plus tard, il revint en Thessalie et confessa encore le Christ. Arrêté, il fut condamné à avoir les membres tranchés à la hache. Il fut d’abord promené nu sur un âne dans un spectacle grotesque pour l’humilier. Puis étendu, on lui trancha, un à un, les quatre membres sans qu’il prononce un seul gémissement. Il resta ainsi jusqu’au soir, vivant encore, et fut jeté dans la fosse d’aisance du palais où il trouva la mort. Les chrétiens rachetèrent son corps pour le vénérer.

Au soir de la vie – même d’une vie d’infidélité – comme au matin, Jésus ne cesse pas de nous faire entendre ce même appel, impérieux et miséricordieux : « Suis-moi ! » … Seigneur, je ne peux pas dire que je t’ai suivi. Je t’ai souvent perdu de vue… Lève-toi encore. Recommence… Seigneur, tu me fais encore, peut-être pour la dernière fois, la grâce de m’appeler ? … Oui, mon enfant. Veux-tu venir ? … Seigneur je viens !

(Un moine de l’Eglise d’Orient – Jésus, simples regards sur le Sauveur)

Saint Silvestre (+ 335)

Il fut le premier pape de la paix constantinienne. Il est souvent accusé d’avoir été trop effacé dans ses interventions, ne venant ni au concile d’Arles (314), ni au concile de Nicée (325), mais il les confirma par ses légats. Ces réticences avaient peut-être pour raison qu’ils n’étaient pas convoqués par le Pape lui-même, mais par l’empereur Constantin. Il fut très respectueux de l’autonomie des Eglises orientales. Il entreprit de grands travaux dans la Rome impériale. C’est sous son pontificat que Constantin fait édifier la basilique Saint-Jean de Latran, la basilique de Sainte-Croix de Jérusalem, la basilique de Saint-Paul-hors-les-Murs, la basilique de Saint-Laurent. Saint Silvestre intervient pour le mobilier liturgique, les ornements. Il aménagea les catacombes. Il eut la tâche d’organiser l’Eglise dans une société enfin pacifiée. Il est un fait indéniable : il reste l’un des premiers confesseurs non martyrs dont le culte fut établi très tôt à Rome.

Quand se tourne la page d’une année de notre vie : « Lumière de sainteté, tu éclaires les fidèles par la lumière de ton enseignement. Tu fais adorer l’unité de nature en trois Personnes. Tu chasses les ténèbres de l’erreur. Tu apprends à confesser le Fils avec le Père et l’Esprit. Tu nous fais proclamer : Chantons au Seigneur, il a fait éclater sa Gloire ! »

(Liturgie byzantine pour la fête de saint Sylvestre)

Notre-Dame de Guadalupe (1531)

Juan Diego Cuauhtlatoazin n’était qu’un pauvre indien aztèque qui vivait à vingt kilomètres au nord de Tenochtitlan, actuellement Mexico. Il se convertit entre 0524 et 1525 et fut baptisé par le frère franciscain Toribia de Benaventé appelé par les indiens »Motolina »,  » le pauvre ». Juan perdit sa femme en 1529. Chaque samedi et chaque dimanche il se rendait avant l’aube à la messe et aux classes d’instruction religieuse et c’est au cours d’une de ces marches vers Tenochtitlan qu’il rencontre la Vierge Marie, au lieu-dit maintenant « Capilla del Cerrito ». La première eut lieu en décembre 1531. La Vierge lui adressa la parole dans sa langue. Il avait alors 57 ans et à partir de ce jour, il laissa tout pour vivre au lieu même des apparitions et propager sa dévotion à ses concitoyens. Il mourut le 30 mais 1548. Jan Paul II le déclara bienheureux le 6 mai 1990 dans la basilique de Guadalupe. Toute l’Amérique Latine, du Mexique en Argentine, l’honore et la prie comme leur protectrice.

Je ne suis rien, je suis une petite ficelle, une minuscule échelle, une feuille.

(Juan Diego en réponse à la présence de la Vierge Marie)
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