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Petites Soeurs des Pauvres

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dimanche 11 mai 2025

Saint Mayeul
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Saint Antoine le Grand

Ermite en Egypte. C’était un jeune homme riche, propriétaire terrien en Haute-Egypte. Mais la question de son salut le tourmentait.
Préoccupé par ce qu’il avait lu dans les Actes des Apôtres qui décrit la première communauté chrétienne où tout était en commun, il entre dans une église.
Et c’est là qu’il entend l’Evangile du jeune homme riche. Il est saisi par la coïncidence : ce texte s’adresse à lui, pense-t-il, et aujourd’hui même. Il distribue sa fortune aux plus pauvres et se retire quelque temps après dans le désert de Nitrie, habitant un fort militaire abandonné. Là, pendant plus de vingt ans, il subira les attaques du démon qui prend l’apparence de bêtes féroces ou sensuelles. Ce sont les célèbres tentations de saint Antoine. Des disciples viennent le rejoindre et pour eux, il organise une vie monastique en même temps qu’érémitique. C’est pourquoi il est considéré comme « le père des moines ». Attentif à la vie contemporaine de l’Eglise, il se rend à Alexandrie pour soutenir les controverses contre les païens et les hérétiques ariens. Le père des moines s’éteint à 105 ans. Plus que les faits merveilleux de sa vie, retenons ses paroles et les enseignements qu’il donnait à ses disciples : « Efforçons-nous, leur disait-il, de ne rien posséder que ce que nous emporterons avec nous dans le tombeau, c’est-à-dire la charité, la douceur et la justice… Les épreuves nous sont, en fait, profitables. Supprimez la tentation et personne ne sera sauvé. »

Antoine interpella la vision : « Pourquoi n’as-tu pas paru dès le commencement pour faire cesser mes douleurs ? » – La voix se fit entendre : « J’étais là, Antoine, j’attendais pour te voir combattre. Puisque tu as tenu, que tu n’as pas été vaincu, je serai toujours ton secours et je te rendrai célèbre partout. »

(Dans « Vie des Pères du Désert »)

Ne cédons pas à la tristesse comme si nous périssions. Confiance et joie, nous sommes sauvés !

(Dans « Vie des Pères du Désert »)

Sainte Marguerite de Hongrie

Princesse hongroise et moniale dominicaine.
Fille du roi Béla IV de Hongrie et d’une princesse byzantine, elle entra d’abord au monastère de Veszprem, puis chez les Dominicaines, près de Budapest. Elle y prit le voile à l’âge de 19 ans et se distingua bientôt par l’intensité de sa vie spirituelle. Elle vivait le plus pauvrement possible et donnait aux pauvres tout l’argent que lui donnait son frère, le roi Etienne V. A l’intérieur du monastère, elle cherchait les tâches les plus rudes et les plus humbles. Eprise d’ascèse, elle affligeait son corps de toutes les façons, non par fidélité à la règle dominicaine qui n’en demandait pas tant, mais de sa propre initiative. Pour mieux s’associer à la Passion du Christ, elle se flagellait souvent, portait à même la peau des cordes qui lui provoquaient des plaies. En retour, elle fut couronnée de dons mystiques assez étonnants.

Réponds à notre prière, Dieu puissant. Que le Christ réconforte ton Eglise aujourd’hui en disant à son cœur : Sois sans crainte, continue de parler, ne te tais pas, car je suis avec toi. Qu’il envoie sur elle ton Esprit de force. Qu’il renouvelle tes enfants d’adoption et les confirme dans ta grâce.

(Prière pour l’ouverture de la Semaine pour l’Unité des chrétiens)

Saint Henri

D’origine anglaise, il accompagna Nicolas Breakspear, le futur pape Adrien IV, en Suède où il fut évêque d’Uppsala en 1152.
Soutenu par le roi saint Eric IX, il l’accompagna en Finlande où il fut tué à Abo-Turku, par un opposant à la réforme qu’il entreprenait dans cette Eglise. Il fut canonisé en 1158 par la voix populaire. Considéré comme un martyr, il est patron de la Finlande et son nom est inscrit au martyrologe romain.

Dans la mesure où l’on accueille l’amour de Dieu dans le fond de son âme, dans cette mesure on a l’amour de Dieu. C’est pourquoi désormais un tel homme vit dans une ardente passion pour l’illumination de la connaissance jusqu’à ce qu’il goûte une grande plénitude intérieure. Alors, il ne se connaît plus lui-même, il est entièrement transformé par l’amour de Dieu.

(Diadoque de Photicé – Au livre des heures de ce jour)

Saint Sébastien

Il est sans doute l’un des plus célèbres martyrs romains. Officier dans l’armée de Dioclétien, il était chrétien, et lors que cela fut découvert, il fut mis en demeure de sacrifier à l’empereur, sinon c’était un acte de rébellion. Lié à un arbre, il servit de cible aux tirs de ses propres soldats et enfin tué par bastonnade. Son culte date du 4ème siècle. Saint Ambroise en parle dans ses commentaires du psaume 118 et saint Damase lui fit construire une église au-dessus de sa tombe. Cette basilique est d’ailleurs l’une des sept principales églises de Rome. Malgré cela, les détails que rapportent les « actes » de son martyre n’ont été rédigés qu’au 5ème siècle.

Accorde-nous, Seigneur, l’esprit de force pour qu’à l’exemple de saint Sébastien nous préférions t’obéir, à Toi plutôt qu’aux hommes.

(Prière d’ouverture de la messe de ce jour)

Sainte Agnès

Il est certain qu’il y eut à Rome, vers cette date, une fillette de treize ans qui mourut volontairement pour la foi en Jésus Christ. La nouvelle s’en répandit très vite chez les chrétiens de l’Empire. On s’indigna de la cruauté des bourreaux, on s’apitoya sur la jeune victime, dont le nom se perdit au fur et mesure qu’on s’éloignait de Rome. Et comme on ne savait pas exactement son nom, elle est devenue « l’agneau » qui donne sa vie comme « l’agneau de Dieu », d’où son nom d’Agnès. Elle devint un personnage légendaire, chacun imaginant le comment de sa mort. En Occident, on transmit la tradition qu’elle eut la tête coupée ; en Orient, qu’elle aurait été enfermée dans un lupanar où personne n’osa la toucher, avant d’être brûlée vive. Quoi qu’il en soit des détails de son martyre, gardons présent à notre mémoire comme un exemple ce fait historique qu’une jeune Romaine de treize ans n’hésita pas à sacrifier la vie terrestre qui s’ouvrait à elle, pour se donner à la vie du Dieu qu’elle adorait. Saint Ambroise, évêque de Milan, dira d’elle qu’elle sut donner au Christ un double témoignage : celui de sa chasteté et celui de sa foi. (De virginitate II, 5 à 9).

A moi aussi, Dieu veuille m’accorder de ne condamner personne et de ne pas prétendre que je suis seul à être sauvé. Je préfère mourir plutôt que de sentir ma conscience tourmentée pour avoir trahi ma foi en Dieu, en quelque façon que ce soit.

(Saint Maxime le Confesseur, que les Eglises d’Orient fêtent aujourd’hui)

Saint Vincent

Diacre de Saragosse et martyr. La vie du patron des vignerons s’est tellement améliorée au cours des temps qu’il est difficile de démêler l’histoire de la légende. Trois faits sont historiques : il était diacre, il sut dominer les plus cruels supplices et, malgré ses souffrances, il chantait, riait et répondait avec humour aux humeurs de son tortionnaire.

Vincent devient « le vainqueur » en Celui qui triomphe du monde. Ce dernier opprime mais ne peut supprimer. Le monde peut combattre, mais il ne peut jamais abattre. Si en Vincent nous observons la ténacité virile, c’est incroyable. Si, au travers de cette ténacité, on discerne la puissance de Dieu, cela devient normal.

(Saint Augustin – Homélie sur saint Vincent)
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