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Petites Soeurs des Pauvres

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mercredi 14 mai 2025

Saint Matthias
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Saint Médard

ou Mars. Disciple de saint Rémi, il devint évêque de Vermand, près de Saint-Quentin. Son siège épiscopal ayant été détruit par les invasions barbares, il le transféra à Noyon. En 531, il accueille la reine sainte Radegonde qu’il consacre à Dieu. Il évangélisa les Flandres. Tous les traits qu’on rapporte à son sujet sont des actes de bonté. Il donnait de larges aumônes à tous les indigents, y compris les paresseux. Il ne se décida jamais à punir les chapardeurs qui venaient voler le miel de ses ruches, les oeufs de ses poules et les fruits de son verger. En France, plus de 33 localités se rangent sous sa protection.

C’est le vrai Dieu qui appelle, mais l’homme doit lui répondre de telle manière qu’en dehors de tout motif humain, il s’attache tout entier au travail de l’Evangile. Cette réponse ne peut être donnée que si l’Esprit Saint y pousse et en donne la force.

(Concile Vatican II – Ad Gentes 4, 5)

Saint Ephrem

On appelait ce mystique « la harpe du Saint-Esprit ». Né à Nisibe (Nesaybin actuellement, en Turquie) dans la province romaine de Mésopotamie, il fut chassé de la maison par son père, païen intolérant, pour ses « fréquentations chrétiennes ». Accueilli par l’évêque du lieu dont il devint le fils spirituel selon l’historien saint Grégoire de Tours, il se convertit au christianisme à l’âge de 18 ans. Ordonné diacre, il voulut le rester par humilité. Il fonda à Nisibe une école théologique de grand rayonnement. Mais à cause de l’invasion perse dans cette région, il préféra franchir la frontière et s’installer, avec son école, à Edesse, dans l’empire romain. Il fut un grand défenseur de la doctrine christologique et trinitaire dans l’Eglise syrienne d’Antioche. Il composa de nombreux ouvrages, commenta toute la Bible, écrivit des poèmes qui remplacèrent les chants des fêtes populaires et répondaient aux chansons des hérétiques qui répandaient ainsi leurs thèses erronées. « Dimanche et fête, évoque un compatriote, il se tenait au milieu des vierges et les accompagnait de sa harpe. Toute la ville alors se réunissait autour de lui. » Ses hymnes inaugurèrent la pratique du chant liturgique. Il est d’ailleurs considéré comme l’un des plus grands poètes de langue syriaque.

La prière, Seigneur, est comme un miroir devant ta face. Que, par elle, soient réfléchies ta beauté et ta grandeur ! Que nos pensées n’envahissent pas notre prière ! Que s’y impriment les mouvements de ton visage ; que ce miroir reproduise ta beauté !

(Prière de saint Ephrem)

Saint Landry

Evêque de Paris et fondateur de l’Hôtel-Dieu. Avant son élection épiscopale, il fut peut-être fonctionnaire à la chancellerie du roi Clovis II, vers 640. Selon la tradition, il vendit ses meubles et même des vases sacrés en surnombre, pour secourir les pauvres lors d’une famine. Les Archives nationales de France conservent sa signature originale au bas de l’acte de confirmation royale d’un privilège qu’il avait accordé aux moines de Cluny. Son tombeau était un lieu de pèlerinage à Saint Germain l’Auxerrois.

Prêtez assistance au Christ, secourez le Christ, nourrissez le Christ, revêtez le Christ, accueillez le Christ, honorez le Christ. Présentons-lui notre compassion et notre miséricorde par les mains de ces malheureux que vous voyez prosternés à vos pieds, et le jour où nous quitterons ce monde, ils nous recevront dans les tentes éternelles.

(Saint Grégoire de Nazianze – De l’amour des pauvres)

Saint Barnabé

et chez les Orientaux, également saint Barthélémy. Joseph était, nous disent les Actes des Apôtres (4, 36-37), un lévite originaire de Chypre. Il se trouvait à Jérusalem au moment où se formait la première communauté chrétienne. Il possédait un champ qu’il vendit et dont il apporta le prix aux apôtres. Il avait compris l’appel du Christ au jeune homme riche. Les apôtres l’appelèrent « Barnabé », le fils de la consolation ou de l’encouragement. Intermédiaire secourable et efficace, c’est lui qui introduisit Paul auprès des apôtres. Il est ensuite envoyé en mission avec lui. Il prêche à Antioche, à Chypre, en Asie Mineure. Tous deux, le lévite et le pharisien, se voient accuser par les judéo-chrétiens d’Antioche, de mépriser les coutumes traditionnelles. Ils retournent consulter les apôtres à Jérusalem pour régler cette question. Au cours d’une mission à Lystres, le duo Barnabé et Paul apparaît aux habitants païens comme une incarnation des dieux mythologiques : Barnabé est Zeus à cause de sa barbe et de sa prestance, Paul est Hermès parce qu’il est celui qui parle. On a ainsi une idée imagée de l’allure qu’ils avaient. Brouillés à propos du jeune Marc (Actes 15, 36-40), ils créent deux équipes : Paul et Silas, Barnabé et Marc. On perd alors sa trace. La tradition veut que saint Barnabé ait été lapidé à Salamine, en sa Chypre natale, par des Juifs de Syrie.

Après avoir accompli toute la liturgie, il communia avec les frères à l’eucharistie des mystères. Après cela, prenant Marc à part, il lui dit : Aujourd’hui il faut que je sois consommé aux mains des juifs infidèles. Toi, tu sortiras de la ville vers l’ouest et tu trouveras mon corps. Ensevelis-le, quitte Chypre et va voir Paul. Reste avec lui jusqu’à ce que le Seigneur dispose de toi.

(Actes de saint Barnabé)

Bienheureux Guy de Cortone

Il était un seigneur de condition très modeste, mais très hospitalier. Les « Fioretti » de saint François racontent que le Poverello et ses compagnons furent reçus chez lui, leur lavant les pieds et leur offrant un excellent repas. Plusieurs jours plus tard, il vit saint François prier et c’est alors qu’il voulut devenir son disciple et vivre davantage encore la pauvreté. Devenu franciscain en 1211, il se retira dans une grotte près de Cortone et prêcha la pénitence aux populations voisines.

Sache-le, cher petit frère, la courtoisie est l’un des plus beaux attributs de Dieu. En effet n’est-ce pas par courtoisie que le Seigneur fait luire son soleil et pleuvoir sa pluie sur les méchants aussi bien que sur les bons ?

(Saint François d’Assise parlant de Guy de Cortone)

Saint Antoine de Padoue

Né à Lisbonne, ce contemporain de saint François d’Assise s’appelait en réalité Fernando. De famille noble aux traditions militaires, il entra tout jeune chez les Chanoines Réguliers de Saint Augustin à Coïmbra où il fut ordonné prêtre. En 1220, quand les restes des premiers martyrs franciscains furent ramenés du Maroc au Portugal, il entra chez les Frères Mineurs et prit le prénom d’Antoine. Il désirait lui aussi aller au Maroc afin d’y mourir martyr. Tombé malade pendant le voyage, il dut rentrer en Europe. En 1221, il est à Assise au chapitre de l’Ordre et ses frères découvrent alors ses talents de prédicateur et de théologien. Ayant remplacé au pied levé un prédicateur empêché, il étonne ses frères qui, désormais, l’envoient prêcher plutôt que de balayer. Avec la permission de saint François, il enseigne à Bologne, Toulouse, Montpellier et Limoges. A Brive-la-Gaillarde, on conserve même le souvenir des grottes où il se retira quelque temps dans la prière solitaire. C’est aussi dans cette ville qu’il retrouva miraculeusement un manuscrit dérobé, y gagnant du même coup sa spécialité posthume pour lui faire retrouver les objets perdus. En 1229, il est élu provincial de l’Italie du Nord. La fin de sa vie est dominée par la prédication où il excelle. Il se trouve à Padoue pour prêcher le Carême en 1231. C’est là qu’il meurt d’épuisement à 36 ans, dans cette ville qui le vénère et qui lui donne son deuxième nom, saint Antoine de Padoue. Il est « Docteur de l’Eglise », mais la piété populaire préfère voir en lui un intercesseur efficace.

Le buis qui ne monte pas en hauteur, ne porte pas de fruits comestibles. Mais il reste toujours vert et ressemble ainsi aux chrétiens qui gardent la foi comme perpétuelle verdure. En effet le mot vert s’applique à celui qui garde sa vertu.

(Sermon de saint Antoine)
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