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Petites Soeurs des Pauvres

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mercredi 14 mai 2025

Saint Matthias
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Saint Symphorien

Originaire d’Autun, il appartenait à l’une des rares familles chrétiennes de la ville. Arrêté, il fut condamné à mort pour sacrilège et désobéissance. Il est vrai qu’il ne respectait pas Cybèle, la déesse des moissons, et que même, il s’en moquait ouvertement. Allant au martyre, il entendit sa mère, montée sur les remparts, lui dire, en gaulois, pour affermir sa foi : « Tu vas naître, car tu as en toi le Dieu vivant. »

C’est déjà une merveille pour les saints de recevoir une grâce qui sanctifie leur âme. Mais la grâce que reçut l’âme de la Vierge fut une telle abondance qu’elle rejaillissait sur sa chair, afin que cette chair conçût le Fils de Dieu.

(Saint Thomas d’Aquin)

Sainte Rose de Lima

Première sainte du Nouveau Monde, elle fut canonisée en 1671. Rose de Flores était la dixième enfant d’une pauvre famille espagnole de Lima au Pérou. Très vite, elle manifeste pour le Christ un amour si violent qu’elle multiplie les austérités. A 4 ans et demi, elle reçoit la grâce de savoir lire sans avoir appris, l’ayant simplement demandé dans la prière. Elle en profitera pour se nourrir de la vie de sainte Catherine de Sienne qui deviendra son modèle. A 5 ans, elle se consacre à Dieu. A 20 ans, elle prend l’habit des tertiaires dominicaines. Les onze années qui lui restent à vivre, elle les passera, à demi recluse, dans un minuscule ermitage au fond du jardin de ses parents, dans la prière et une austérité effrayante. En échange, elle reçoit des grâces mystiques étonnantes. Dans le même temps, elle se dévoue au service des Indiens, des enfants abandonnés et des vieillards infirmes. Ses visions éveillent les soupçons de l’Inquisition. Elle devra subir des examens et la sûreté doctrinale de ses réponses impressionnera ses interrogateurs. A sa mort, le petit peuple de Lima se presse sur sa tombe pour en recueillir un peu de terre.

Sur l’ordre du Christ, en employant les paroles sorties de sa bouche, je vous en avertis : nous ne pouvons acquérir la grâce si nous ne souffrons pas d’afflictions ; il faut que les peines s’accumulent les unes sur les autres, pour obtenir de participer intimement à la nature divine, à la gloire des fils de Dieu, à la parfaite félicité de l’âme.

(Lettre de sainte Rose à son médecin)

Saint Barthélemy

Apôtre. Il ne méritait pas que son nom et sa fête soient surtout attachés dans la mémoire des Français au massacre des protestants par les souverains catholiques pour des raisons plus politiques que religieuses. Originaire de Cana en Galilée, il est aussi le Nathanaël, ami de saint Philippe, qui vint l’évangéliser. Il est, selon la parole du Seigneur, « un vrai fils d’Israël ». Que s’était-il passé sous le figuier ? Cela restera un secret entre le Christ et lui. La tradition veut qu’il ait évangélisé l’Inde.

Discerne quel est le propos du ciel. Ce ne sont pas des sages qu’il a mis à part pour cette mission, ni des riches, ni des nobles, mais des pécheurs et des publicains. Ainsi, nul ne peut prétendre que la prudence a converti celui-là, que la richesse a racheté cet autre, que le prestige de la naissance et du pouvoir a mené ceux-ci à la grâce.

(Saint Ambroise de Milan)

Saints Pontien et Hippolyte

Mémoire liturgique. Pape, et saint Hippolyte. La conjonction festive d’aujourd’hui ne manque pas de saveur : un pape et un antipape, réunis dans une même commémoration parce qu’ils ont retrouvé la communion par leur martyre dans les mines de Sardaigne. Hippolyte est prêtre de Rome et un théologien de renom. C’est un défenseur intransigeant des traditions liturgiques et disciplinaires. Grâce à cette passion, nous connaissons les anciens rites de l’Eglise romaine, conservés dans son recueil “la Tradition apostolique.” Il s’oppose violemment au pape saint Calixte qu’il dépeint comme un ancien escroc devenu pape par des intrigues. Il lui reproche surtout des innovations qu’il qualifie de “laxisme”. Calixte accepte en effet de réintégrer dans l’Eglise de grands pécheurs repentants. Le pape Pontien qui lui succède agit de même. Hippolyte, qui se juge seul détenteur de la vraie tradition, se proclame chef d’une communauté dissidente. On va vers un schisme qui peut durer. Les événements, signes divins, en marquent l’arrêt. En 235, l’empereur Maximin ordonne aux chrétiens de se soumettre au culte impérial. De concert, saint Hippolyte et saint Pontien refusent. La police impériale les déporte dans les mines de Sardaigne et c’est là que se produit la réconciliation. Dans la peine, Hippolyte fait sa soumission au pape et invite ses partisans à faire de même. Ils partageront le même martyre pour le Christ.

C’est dans la fidélité au Christ et jusqu’à lui donner sa vie, que l’Église trouve son unité fondamentale, par delà les dissensions, les divergences, les séparations. L’oecuménisme du martyre est le témoignage de l’unité.

(Lectionnaire Emmaüs)

Sainte Marietta Goretti

Elle avait douze ans quand elle préféra mourir pour le Christ, plutôt que de pécher. Marietta est née au village de Corinaldo en Italie, dans un univers frappé de plein fouet par la crise économique. Elle est l’aînée de six enfants et, de ce fait, reçoit très jeune de lourdes responsabilités. Elle les assume avec sérénité et piété afin de permettre à ses parents d’assurer la subsistance de la famille. Malgré l’exil dans une métairie des marais Pontins, la mort précoce du père et une promiscuité difficile, Marietta, à 12 ans, rayonne par sa vie intérieure. Toute à l’ardeur de sa première communion, elle subit le harcèlement du jeune Alessandro Serenelli qui vit sous le même toit et veut abuser d’elle. Elle résiste. Le garçon insiste. Le 5 juillet 1902, il s’est armé d’un couteau. Marietta ne cède pas : « C’est un péché, Alessandro ! ». Le garçon perd la tête. Frappée de quatorze coups de couteau, Marietta mourra le lendemain dans de grandes souffrances, en ayant pardonné à son meurtrier. Alessandro se convertira en prison. Quarante-cinq ans après la mort de Marietta, il assistera à son procès de béatification, avant de finir ses jours comme jardinier dans un monastère franciscain.

Assurément, nous ne sommes pas tous appelés à subir le martyre. Mais nous sommes tous appelés à posséder la vertu chrétienne. Notre activité persévérante ne devra jamais se relâcher jusqu’à la fin de notre vie. C’est pourquoi on peut parler aussi d’un martyre lent et prolongé.

(Pie XII, à la canonisation de sainte Marietta)

Saints Ralph et Roger

Ralph ou Raoul et saint Roger Dickenson, martyrs. Il restait à peine cent mille catholiques en Grande-Bretagne quand la reine Elisabeth, fille d’Henri VIII, créa « l’inquisition anglaise ». Les catholiques ne pouvaient ni sortir de leur village ni assister à une messe romaine sans payer une forte amende et, pour les prêtres, sans encourir la peine de mort. Ralph Milner était un laboureur illettré et Roger Dickenson un prêtre. Ralph, arrêté pour avoir entendu la messe, ne pouvait payer l’amende. Il fut jeté en prison et, comme il avait aidé le prêtre, ils furent tous deux pendus côte à côte.

Accorde-nous de donner aux mots leur véritable sens, prodigue la lumière à notre esprit, la beauté de l’expression à notre style et établis notre foi dans la vérité. Accorde-nous de dire ce que nous croyons, selon le devoir qui nous incombe.

(Saint Hilaire de Poitiers – Sur la Trinité)
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