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Petites Soeurs des Pauvres

Congrégation des petites soeurs

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mardi 13 mai 2025

Sainte Agnès de Poitiers
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Saint Augustin

Né à Thagaste en Afrique du Nord, le fils de sainte Monique connaît une jeunesse dissipée. Professeur de rhétorique à Carthage, il se met en ménage, à 18 ans, avec une femme qui lui donnera un fils, Adéodat. Il adhère alors aux thèse manichéennes qui enseignent l’existence de deux dieux antagonistes : le dieu bon, créateur des esprits, et le dieu mauvais, créateur de la matière. Cette doctrine d’origine orientale satisfait à peu près ses interrogations intellectuelles mais ne répondent absolument pas à la soif spirituelle qui continue de s’exprimer en lui. Lassé des lamentations de sa mère et pour y échapper, il quitte l’Afrique du Nord et s’embarque pour l’Italie. Exerçant son métier d’enseignant à Rome puis à Milan, il est frappé par la prédication de l’évêque Ambroise. Un soir d’été 386, dans son jardin de Milan, son esprit s’ouvre à la Révélation chrétienne. Il a rencontré celui qu’il cherchait. Son coeur inquiet trouve enfin le lieu de son repos. A la suite de cette conversion subite et radicale, il se fait baptiser par saint Ambroise. De retour en Afrique, il fonde une petite communauté contemplative mais se voit bientôt appelé comme prêtre puis comme évêque à Hippone. Sa vie devient un combat continuel contre les déviations de la foi (donatisme, pélagianisme) au milieu des raids barbares de cette fin de l’empire romain. Le sac de Rome en 410 lui inspire un de ses écrits les plus célèbres avec ses « Confessions » : « la Cité de Dieu ». Il meurt durant le siège de sa ville, Hippone, par les Vandales.

Aime et ce que tu veux, fais-le ! Si tu te tais, tais-toi par amour. Si tu parles, parle par amour. Si tu corriges, corrige par amour. Si tu pardonnes, pardonne par amour. Aie au fond du cœur la racine de l’amour, de cette racine ne peut naître que le Bien.

(Saint Augustin – Commentaires de saint Jean)

Décollation de saint Jean-Baptiste

Jean, le dernier Prophète, n’a jamais mâché ses mots, pas plus quand il traitait les pharisiens de « race de vipères » sur les bords du Jourdain, que lorsqu’il rappelait à Hérode Antipas qu’il n’avait pas le droit de vivre avec Hérodiade, la femme de son frère Philippe. A présent, il est en prison, car on n’a pas le droit de faire impunément des reproches publics aux grands de ce monde. Il sait qu’Hérodiade lui en veut à mort. Mais ce n’est pas ce qui le préoccupe. C’est Jésus. Est-il bien le Messie que lui, Jean, annonçait ? A-t-il eu raison de lui faire confiance, de lui donner ses propres disciples ? Sa conduite est si étrange. « Il tient dans sa main la pelle à vanner. » Pourquoi ne vanne-t-il pas avec gloire et majesté ? La réponse est venue. Aux disciples de Jean venus l’interroger, Jésus a répondu : « Allez annoncer à Jean ce que vous voyez et entendez : les aveugles voient, les boiteux marchent… » Jean n’a plus de doutes. Il peut à présent rendre le dernier témoignage. Il a bien rempli sa mission. C’est l’anniversaire d’Hérode. Salomé danse et envoûte le roi ivre :  » Demande-moi tout ce que tu voudras, fût-ce la moitié de mon royaume. » Ce sera la tête de Jean sur un plateau.

Lui qui avait annoncé la bonne nouvelle de la liberté d’une paix supérieure, est jeté en prison par des impies. Il est enfermé dans l’obscurité d’un cachot, lui qui était venu rendre témoignage à la lumière. Par son propre sang est baptisé celui à qui fut donné de baptiser le rédempteur du monde.

(Saint Bède le Vénérable – Homélie)

Sainte Jeanne Jugan

Fondatrice des Petites Soeurs des Pauvres. « Dieu me veut pour lui », répondit-elle à un jeune homme qui la demandait en mariage. Elle travaillait alors comme aide-cuisinière dans une maison à 6km de la maison natale. Elle avait perdu son père, disparu en mer à Cancale alors qu’elle n’avait que quatre ans. Ayant fait, dès son enfance, l’expérience de la pauvreté, elle fut confrontée à une misère plus grande encore lorsqu’elle vint travailler à Saint-Servan vers 1917. Durant l’hiver de 1839, elle accueillit chez elle, dans son petit logement, une femme âgée, aveugle et paralysée qui survivait seule dans un taudis. D’autres jeunes femmes s’associèrent à elle et, en 1842, elles s’appelèrent « les servantes des pauvres ». Pauvres elles-mêmes, la quête fut leur ressource essentielle et l’occasion de demander aux personnes aisées de partager leurs biens avec les pauvres que Jeanne appelait « les membres souffrants de Jésus-Christ ». La congrégation connut un grand développement en Europe et dans d’autres continents. A partir de 1852, son rôle de fondatrice fut effacé et elle fut soumise à une sorte de réclusion. « Je ne vois plus que le bon Dieu », disait-elle. La vérité historique fut rétablie après sa mort et sa sainteté reconnue par l’Eglise en 2009 par sa canonisation.

« C’est si beau d’être pauvre, de ne rien avoir, de tout attendre du Bon Dieu » Jeanne Jugan

Saint Raymond Nonnat

Religieux de l’Ordre de Notre-Dame de la Merci, il se livra lui-même en otage pour obtenir la libération d’un prisonnier à Tunis. Il se consacra à l’évangélisation de ses compagnons d’infortune. Pour cette raison ses geôliers lui mirent aux lèvres un cadenas qu’on n’ouvrait que pour les repas. Il fut libéré grâce à une rançon, et revint à Rome comme procureur de son Ordre. Il rencontra saint Louis, envoyé par le Pape pour décider le roi de France à partir en croisade. Quelques mois avant sa mort, il fut nommé cardinal et mourut à Barcelone.

Je tourne le dos à tout ce que j’ai cherché et suivi. Je rejette dans le passé tout ce qui ne peut s’intégrer au grand mystère de ta Pâque, où tu veux que j’accède. Voici, je monte avec toi à Jérusalem. Que toute chair fasse maintenant silence.

(Un moine de l’Eglise d’Orient – Regard sur le Sauveur)

Saint Gilles

D’origine grecque, il vécut en ermite dans les forêts près de Nîmes, dans le Gard, où il fonda une abbaye qui prit son nom : Saint-Gilles-du-Gard. Sa popularité lui vint de ce que le monastère, construit dès le 6ème siècle, se trouvait sur l’un des itinéraires de Rome à Compostelle. Les pèlerins s’y arrêtaient et chantaient les louanges de saint Gilles à leur retour dans leur pays.

Même si la route te paraît vide, longue et fastidieuse, elle t’entraîne à entrer en toi-même. Ne ferme pas cette porte. Tu y trouveras un jour ou l’autre Dieu qui est en toi, tu découvriras sa vérité. Il te donnera sa vie. Car il est le Chemin, la Vérité, la Vie.

(Guide du pèlerin de saint Gilles)

Bienheureux Martyrs des Carmes

Ils sont 191 : 3 évêques, 127 prêtres séculiers, 56 religieux et 5 laïcs qui furent arrêtés par les révolutionnaires comme ennemis de la Patrie et rebelles à la Constitution civile du clergé. On les entasse dans diverses maisons religieuses transformées en prisons improvisées : les Carmes, l’Abbaye, la Force. Le 2 septembre 1792, elles sont investies par des « sans-culottes » exaltés. Les assassinats qui inaugurent le carnage sont suivis d’un simulacre de jugement : « J’appartiens à l’Eglise catholique, apostolique et romaine. » A ce titre, exécution immédiate. Plus d’un millier d’entre ces prisonniers sont tombés en ces jours sous une fureur populaire incontrôlée. Pour 191 d’entre eux, on a pu établir qu’ils sont morts certainement à cause de leur foi, mais tous les autres partagèrent leurs souffrances et leur témoignage pour le Christ.

Nous voilà réfugiés dans l’oratoire. Voici les Marseillais ! Nous ne pouvons être mieux qu’au pied de la croix pour faire le sacrifice de nos vies.

(Abbé Desprez, l’un des martyrs)
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