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Petites Soeurs des Pauvres

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vendredi 9 mai 2025

Saint Pacôme
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Saint Pacifique

Jeune martyr romain, fêté le 18 août à La Tour. 

Le corps d’un jeune martyr de quatorze ans avait été extrait le 21 mai 1819, par ordre de S.S. Pie VII, des Catacombes de Sainte Priscille, ainsi qu’un vase teinté de son sang. Le sarcophage portant seulement le mot « Pax », on le nomma St Pacifique. Ce corps saint fut donné au Père Joseph Sala, de l’Ordre des Camilliens, avec permission de le garder, de le donner, de le transporter, de l’exposer à la vénération des fidèles dans toute église, oratoire ou chapelle. il se trouvait à Rome, dans une maison religieuse, quand M. Féburier en fit la demande pour l’offrir aux Petites Sœurs des Pauvres; il l’obtint par l’entremise du R.P. Alfiéri, Prieur général de l’Ordre de St Jean de Dieu.

Un Indult du 11 mai 1865 accorda une messe votive solennelle dans la chapelle de La Tour St Joseph au jour anniversaire de la translation.

Sainte Lucie

Vierge et martyre à Syracuse, elle est victime de la persécution de Dioclétien en 304. Son nom même évoque la lumière, mais sa vie reste dans l’ombre. Elle fut très populaire et son culte remonte aux premiers siècles. Il s’étendit jusqu’en Scandinavie, en particulier en Suède où la fête païenne de la lumière et des mauvais esprits qui luttent contre elle a été remplacée par la fête de sainte Lucie. A cette date, ce sont les longues nuits de l’hiver nordique. Nous connaissons aussi de longues nuits dans les doutes de notre foi. La rédaction de sa « Passion » date du 5ème voire du 6ème siècle et beaucoup de détails y sont légendaires : enfermée dans un lieu de prostitution, elle sut résister à toute avance ; attelée à deux bœufs pour l’écarteler, ils ne purent bouger ; mise sur un bûcher, les flammes s’éloignèrent d’elle. Ses reliques, vénérées à Syracuse, ont été transportées d’abord à Constantinople et sont actuellement à Venise. Saint Thomas d’Aquin parle d’elle à deux reprises dans sa « Somme théologique ».

Le corps n’est souillé que si l’âme y consent.

(Sainte Lucie, d’après saint Thomas d’Aquin, dans la Somme théologique)

Si une personne supporte le viol avec foi, c’est un mérite et un martyre. Non pas qu’il y ait deux auréoles, mais double récompense : l’une pour la virginité conservée spirituellement, l’autre pour l’injure subie.

(Saint Thomas d’Aquin, dans la Somme théologique, en parlant de sainte Lucie)

Saint Jean de la Croix

Juan est né en Vieille-Castille dans une famille pauvre. Il est très jeune quand meurt son père. Sa mère doit se louer comme nourrice. Lui-même, pour payer ses études, travaille comme infirmier à l’hôpital de la ville. A 21 ans, il décide d’entrer chez les Pères Carmes et ses supérieurs l’envoient à l’université de Salamanque. Il aspire à retrouver la règle primitive de l’Ordre, faite d’austérité et de prière, mais il n’essuie que des refus. Devenu prêtre, il songe à changer d’ordre religieux, quand Dieu lui fait rencontrer sainte Thérèse d’Avila. Avec elle, il réalisera cette réforme dans une vie toute faite d’absolu. Il devient ainsi, auprès de ses frères, un signe de contradiction. On l’emprisonne neuf mois à Tolède, menottes aux mains, dans un cachot. Et, de son âme dépouillée de tout appui humain, jaillira le « Cantique spirituel ». Il finit par s’enfuir et il est recueilli par des carmélites déchaussées. Commence alors pour Jean de la Croix une période d’activité rayonnante, ouvrant à tous, carmes et carmélites, gens du peuple et universitaires, l’étroit sentier de la parfaite docilité à l’Esprit Saint. De retour en Castille, il exerce de lourdes responsabilités, tout en désirant la parfaite ressemblance d’amour avec son Seigneur crucifié. Démis de toute charge, malade, calomnié, enfin « se déchire la toile de cette vie » : il entre dans la vision de Dieu et va chanter matines au ciel.

A la fin du jour, c’est sur l’amour qu’on vous examinera.

(St Jean de la Croix – Maxime 80)

Ne pas voir les travers des autres, se tenir en silence et parler sans cesse avec Dieu. Voilà qui déracinera de l’âme de grandes imperfections et lui donnera de grandes vertus.

(Saint Jean de la Croix)

Bienheureuse Virginie Bracelli

Italienne originaire de Gênes, elle doit épouser un jeune vaurien, malgré son ardent désir de devenir religieuse. Veuve très tôt, elle se consacre aux enfants abandonnés, aux vieillards et aux malades. Une fois ses deux filles mariées, elle fonde l’Institut des Auxiliaires des Dames de la Miséricorde. Elle fut béatifiée en 1985.

Suivre Dieu où qu’il vous conduise, c’est là voir Dieu. En effet, son passage signifie qu’il conduit celui qui le suit. Car il n’est pas possible à celui qui ignore le chemin de voyager en sécurité s’il ne suit pas le guide. Le guide lui montre le chemin en le précédant.

(Saint Grégoire de Nysse)

Saint Modeste

Archevêque de Jérusalem. Il connut la destruction de la Ville Sainte par les Perses en 614. Soumise au pillage systématique pendant trois jours, la ville fut très grandement brûlée. Le patriarche Zacharie et des milliers de chrétiens furent envoyés en exil vers la Perse. La relique de la Vraie Croix fut également emportée. Saint Modeste put rester sur place. Il s’employa à ensevelir des milliers de morts, à restaurer les Lieux Saints, et, grâce à l’aide généreuse du patriarche d’Alexandrie, il put aider tout un peuple sans ressources. Le patriarche Zacharie revint après 15 années d’exil. Saint Modeste resta près de lui et lui succéda.

La tristesse qui nous tourne vers Dieu est salutaire. La tristesse qui lui est contraire nous est suggérée par le démon. Il faut donc la combattre par la prière, la lecture et au moyen de contacts et d’entretiens avec des hommes spirituels. Elle devient alors espérance et joie.

(Saint Nil Sorski – Testament)

Sainte Yolande

ou Yolende. Fille de Marguerite de Courtenay, elle refusa la situation à laquelle son rang lui donnait droit.
Lors d’un voyage à Luxembourg, elle entra dans le monastère des Dominicaines, contre le gré de sa mère qui s’efforça brutalement de la traîner hors de l’église. Yolande, s’étant échappée, s’enferma dans un caveau. Mais, revenant sur sa décision devant l’insistance maternelle, elle retourna chez elle, tout en gardant présente sa décision. Sa mère enfin l’accepta et Yolande put revenir au monastère de Marienthal où, élue prieure, elle fut pendant vingt-cinq ans le modèle de toute la communauté.

Il est dans l’âme une autre prière, intérieure celle-là, qui n’a pas de cesse. C’est le désir. Quoi qu’il t’arrive, quoi que tu fasses, si tu désires le sabbat éternel, tu ne cesses de prier. Si tu ne peux plus prier, ne cesse pas de désirer. Le refroidissement de la charité, c’est le mutisme du cœur. La flamme de la charité, c’est le cri du cœur.

(Saint Augustin – Homélies sur les psaumes)
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