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Petites Soeurs des Pauvres

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mardi 13 mai 2025

Sainte Agnès de Poitiers
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Saint François d'Assise

Né à Assise au foyer de Pierre Bernardone et de Dame Pica, François vit d’abord une jeunesse folle. Participant à la guerre entre Assise et Pérouse, il est fait prisonnier. Plus tard, parti pour une autre guerre, il entend une voix lui dire : « Pourquoi sers-tu le serviteur et non le maître ? » C’est pour lui le début d’une nouvelle existence. Rentré à Assise, « le roi de la jeunesse » se tourne vers les pauvres et les lépreux. Il a 24 ans. Dans la chapelle de Saint-Damien, il entend le grand crucifix lui dire : « Répare ma maison qui, tu le vois, tombe en ruines. » Le voilà transformé en maçon. Pour réparer la chapelle, il dépense l’argent de son père qui l’assigne devant l’évêque. Il se dépouille alors de tous ses vêtements en déclarant qu’il n’a d’autre père que celui qui est aux cieux. Un matin, il entend l’évangile de l’envoi en mission des disciples. Appliquant l’évangile à la lettre, il parcourt la campagne, pieds nus et une corde pour ceinture, en annonçant : « Que le Seigneur vous donne sa paix. » Des compagnons lui viennent et il leur rédige une Règle faite de passages d’Evangile. Quand ils seront douze, ils iront à Rome la faire approuver par le Pape Innocent III. Parallèlement, Claire Favarone devient la première clarisse. Pour les laïcs, il fonde un troisième Ordre, appelé aujourd’hui « la Fraternité séculière ». Il envoie ses frères de par le monde et lui-même rencontre le sultan à Damiette pour faire cesser la guerre entre chrétiens et musulmans. A son retour, il trouve l’Ordre en grandes difficultés d’unité. Il rédige une nouvelle Règle et se retire, épuisé, sur le mont Alverne, où il reçoit les stigmates du Christ en croix. Il connaît ainsi dans son coeur l’infini de l’amour du Christ donnant sa vie pour les hommes. En 1226, au milieu de très grandes souffrances, il compose son « Cantique des Cantiques » et, le 3 octobre, « nu, sur la terre nue », il accueille « notre soeur la mort corporelle ».

Quelle que soit la manière qui te semblera la meilleure de plaire au Seigneur Dieu et de suivre ses traces et sa pauvreté, adopte-la avec la bénédiction du Seigneur et ma permission.

(Saint François à frère Léon)

Dieu très haut et glorieux, viens éclairer les ténèbres de mon cœur. Donne-moi, Seigneur, la foi droite, l’espérance solide et la charité parfaite, ainsi que le sens pénétrant et la claire vue nécessaires pour accomplir ta volonté sainte qui ne saurait m’égarer. Amen.

(Prière devant le crucifix de saint Damien)

Sainte Fleur

ou Flor ou Flora. Fille d’un seigneur d’Auvergne, elle entra très jeune à l’hospice que les chevaliers de Saint Jean de Jérusalem avaient à Beaulieu dans le Quercy. On y recevait les malades et les pèlerins. Sainte Fleur les soignait avec tendresse. Toute sa vie fut marquée par des extases mystiques qui duraient parfois toute une matinée en action de grâce de la messe. Elle est devenue la patronne des Violette, des Pâquerette, des Hortense et des Pervenche, des Anne-Aymone et de toutes celles qui ont une fleur comme nom et qui, comme sainte Fleur, doivent répandre le parfum de leur vertu.

Si je réponds durement à ce poète, il se fâchera. Si je lui réponds doucement, il peut s’imaginer que les louanges me plaisent. Ce qui nous nuirait à tous deux. Je préfère me taire.

(Sainte Flore, importunée par un jongleur)

Saint Bruno

Il avait tout pour faire une belle carrière d’universitaire ecclésiastique, ce fils d’un riche marchand des bords du Rhin. Originaire de Cologne, il avait étudié dans sa ville natale et puis l’avait quittée, âgé d’une quinzaine d’années, pour aller se perfectionner à Reims. A 24 ans, le voilà devenu écolâtre, chargé d’étudiants. Sa réputation est si flatteuse qu’il devient chancelier de l’archevêque de Reims, Manassès de Gournay. Mais l’archevêque est indigne. Il a payé ses électeurs et Bruno le dénonce. On lui offre de lui succéder, Bruno refuse. Et c’est alors la rupture. Cette brillante carrière ne le comble pas, il ressent un vide dans son coeur, une soif le consume. Il n’est pas fait pour les « combines », il veut être à Dieu seul. A 52 ans, en 1084, il vend tout ce qu’il possède et, avec quelques amis qui partagent ses aspirations, il tente un premier essai de vie érémitique au prieuré de Sèchefontaine près de Reims. La forme de vie dont il rêve ne s’y trouve pas. Il lui faut la créer. Saint Hugues, évêque de Grenoble, met à la disposition de Bruno et de ses compagnons une « solitude » dans le massif alpin de la Grande Chartreuse. Bruno y élabore ce qui deviendra la Règle des Chartreux, faite de solitude en cellule, de liturgies communes et de travail manuel. Le pape Urbain II l’ayant appelé comme conseiller, il quitte à regret la Chartreuse pour Rome. Ne pouvant s’habituer à la vie « du siècle », il obtient de se retirer en Calabre où il fonde une nouvelle communauté cartusienne à La Torre. C’est là qu’il mourra dans une solitude bienheureuse : « L’air y est doux, les prés verdoyants, nous avons des fleurs et des fruits, nous sommes loin des hommes » écrivait-il à un vieil ami de Reims. « Comment dépeindre cette fête perpétuelle où déjà l’on savoure les fruits du ciel ? »

O Dieu, montre-nous ton visage qui n’est autre que ton Fils, puisque c’est par lui que tu te fais connaître, de même que l’homme tout entier est connu par son seul visage. Et par ce visage que tu nous auras montré, convertis-nous. Convertis les morts que nous sommes des ténèbres à la lumière. Convertis-nous des vices aux vertus, de l’ignorance à la parfaite connaissance de toi.

(Saint Bruno)

Saints Serge et Bacchus

Martyrs. On vénérait leur tombe à 200 kilomètres à l’est d’Alep en Syrie, dès la fin du 3ème ou au début du 4ème siècle. Serge aurait été un officier supérieur romain, commandant, avec son collègue Bacchus, une troupe d’élite composée de Barbares, appelée la Schola Gentilium. Ils furent tous deux dénoncés comme chrétiens et confessèrent courageusement leur foi. Bacchus meurt sous la flagellation ; Serge, après divers tourments dont il sort indemne, est finalement décapité. Il ne reste que quelques ruines de ce qui fut un centre de pèlerinage d’une richesse inouïe. Au 6ème siècle, on bâtit même une muraille de trois mètres d’épaisseur entourant un rectangle de 500 mètres sur 100 mètres pour protéger des voleurs les dons que faisaient les pèlerins.

Aurais-tu peur de la mort ? – Non, car la mort, c’est la vie qui s’ouvre enfin, en toute vérité, dans la lumière divine et pour toujours.

(Actes des martyrs)

Sainte Réparate

Martyrisée à 15 ans à Césarée de Palestine. Son corps serait arrivé à Nice dans une barque guidée par une colombe et fleurie de roses, de lys et de palmes. Nice s’en souvient et la vénère avec fidélité.

Point n’est besoin d’accomplir de grandes choses et de les faire connaître par de longs discours. Le vrai parfum d’une vie est comme celui d’une rose, toujours discret, si, malgré tant d’épines, elle est vécue dans l’humilité et dans la grâce de Dieu.

(Lectionnaire Emmaüs)

Saint Denis de Paris

Le patron de Paris et de la Seine-Saint-Denis fut sans doute le premier évêque de la capitale de la France. Il meurt martyr vers 250 ou 270 et est enseveli là où s’élève la basilique de Saint-Denis. C’est tout ce qu’on sait de lui avant le 9ème siècle. Le récit parle également de ses deux compagnons Eleuthère, le prêtre, et Rustique, le diacre, ainsi que du portement de tête du saint après sa décapitation depuis Montmartre jusqu’à St Denis. Les faits sont les suivants : Le nom de saint Denis apparaît vers 520 dans « La vie de sainte Geneviève » qui témoigne de la dévotion de la sainte envers l’évêque martyr, son père dans la foi. Elle obtint du clergé parisien l’érection d’une église sur sa tombe au « vicus Catulliacus » situé à huit kilomètres au nord de la Seine, l’actuelle basilique Saint-Denis. Elle se rendait également et souvent dans une église de la Cité dont il était le titulaire. Un demi-siècle plus tard, le martyrologe hiéronymien mentionne la déposition de saint Denis et de ses compagnons au 9 octobre et saint Venance Fortunat atteste la diffusion de son culte jusqu’à Bordeaux. Dans les mêmes années, l’historien Grégoire de Tours raconte que vers 250, le pape de Rome avait envoyé Denis en Gaule avec six autres évêques pour y porter l’Evangile. Celui-ci se fixa à Lutèce où il ne tarda pas à être mis à mort. On pense en effet qu’il subit le martyre sous la persécution de Dèce (250) ou de Dioclétien (258). Près de la basilique où reposait le premier évêque de Paris, une abbaye fut fondée au 7ème siècle et elle devint prestigieuse grâce aux largesses royales depuis Dagobert. Elle contribua au rayonnement de son saint patron en le dotant d’une merveilleuse légende. A partir de 835, Hilduin, abbé du monastère, se mit en effet à propager en Occident un récit selon lequel Denis de Paris ne ferait qu’un même personnage avec Denys l’Aréopagite, converti par saint Paul. Ce Denys l’Aréopagite serait lui-même l’auteur des célèbres ouvrages de théologie attribués à Denys le Mystique. L’obscur et courageux fondateur de l’Eglise de Paris devenait, ainsi et pour des siècles, un grand de la sainteté.

Lorsque des hommes sont dans la lumière, ce ne sont pas eux qui illuminent la lumière et la font resplendir, mais ils sont rendus resplendissants par elle : loin de lui apporter quoi que ce soit, ils bénéficient de la lumière et en sont illuminés. Ainsi en est-il de ceux qui sont au service de Dieu.

(Saint Irénée – Contre les hérésies)
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