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Petites Soeurs des Pauvres

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lundi 12 mai 2025

Saint Germain de Constantinople
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Saint Venceslas

Vratislas, duc de Bohème, laissait deux fils en mourant : Venceslas, l’héritier âgé de treize ans, et Boleslas, de deux années plus jeune. Drahomira, leur mère, exerça la régence, mais restait attachée à l’ancien culte comme Boleslas, alors que Venceslas était devenu chrétien. Durant les cinq années de sa régence, elle persécuta les chrétiens et Venceslas lui-même devait se cacher pour entendre la messe. A 18 ans, quand il monta sur le trône, il construisit des églises, ouvrit des monastères, rappela les prêtres exilés. Il gouvernait sagement et ses moeurs étaient pures. Il fut assassiné par son frère qui convoitait le trône et avait pris la tête du parti païen. Boleslas l’attaqua par surprise devant l’église où il se rendait à la messe. Venceslas ne tira pas son épée : « Je ne serai pas fratricide. Je te pardonne. » Il avait vingt-trois ans.

Pourquoi m’empêcheriez-vous d’apprendre la divine Loi de Jésus-Christ et d’obéir à ses commandements ? Si le Seigneur vous ennuie, pourquoi empêcher les autres de l’aimer ? Maintenant que me voilà débarrassé de vous, je veux servir Dieu de tout mon cœur.

(Saint Venceslas)

Les saints Archanges

Les anges, serviteurs et envoyés de Dieu, sont très présents dans la Bible, depuis celui qui réconforte Agar au désert (livre de la Genèse 16. 7) jusqu’à celui qui mesure la Jérusalem céleste (Apocalypse 21. 17). Parmi eux, trois sont particulièrement personnifiés. Ce sont des archanges, comme des chefs des anges, selon les termes de saint Paul (1ère Thessaloniciens 4. 16) et de Jude (Jude ch. 9). Michel, (« qui est comme Dieu ? ») est le prince des anges. Il joue un rôle décisif (Apocalypse 12. 7 à 9). Gabriel (« Force de Dieu ») est le messager par excellence (Luc 1. 19 et suivants). Raphaël (« Dieu a guéri ») accompagne le jeune Tobie et est la figure bienveillante de la Providence de Dieu. La littérature apocryphe a abondamment brodé sur ces trois personnages.

L’admiration que leur fidélité nous inspire rejaillit jusqu’à Toi. La splendeur de ces créatures spirituelles nous laisse entrevoir comme Tu es grand et combien Tu surpasses tous les êtres.

(Préface des saints anges)

Saint Jérôme

Docteur de l’Eglise. Jérôme est un étudiant romain plein d’allant. Il demande le baptême à 19 ans et son tempérament entier ne conçoit d’autre vie que consacrée à Dieu. Mais où et comment ? A la recherche de sa vocation, il se met à voyager. Il passe tout d’abord deux années dans le désert de Chalcis en Syrie : un petit stage d’érémitisme ascétique et contemplatif, dans la méditation amoureuse des Ecritures, est la meilleure formation pour le service du Seigneur. Mais Jérôme a besoin d’action. Il se rend alors à Antioche, fameuse pour son école exégétique. Il y apprend le grec et l’hébreu et y reçoit le sacerdoce. Passant par Constantinople, il découvre l’exégèse d’Origène et se met sous la direction de saint Grégoire de Nazianze. Mais toujours indécis sur ce qu’il doit devenir, il retourne à Rome. Là sa grande culture fait de lui le secrétaire du pape Damase. Il a aussi beaucoup de succès auprès des laïcs : un petit cercle de dames chrétiennes, des admiratrices inconditionnelles dont il est le père spirituel, se rassemble autour de lui. A la mort de saint Damase, il doit quitter Rome où son bouillant caractère lui a valu beaucoup d’ennemis. Ses « dames » le suivent jusqu’à Bethléem où il fonde pour elles un petit monastère. Il a trouvé le lieu de sa vocation. Il se consacre à l’étude de la Bible qu’il traduit en latin, « la Vulgate », sans négliger de se brouiller avec de nombreuses personnalités et de s’immiscer dans toutes les querelles de l’époque. Il passe, dans l’histoire, pour l’un des plus mauvais caractères de la communion des saints. Mais son affectivité exacerbée le rend très proche de nous. On le plaint d’avoir été irascible et vindicatif. On l’admire pour son amour du Christ et de la Parole de Dieu.

Priez-vous ? Vous parlez au Seigneur. Lisez-vous l’Ecriture sainte ? C’est Lui qui vous parle. – Ignorer les Ecritures, c’est ignorer le Christ. – On ne naît pas chrétien. On le devient. – Ce qui a de la valeur, c’est d’être chrétien et non de le paraître.

(Paroles de saint Jérôme)

Sainte Thérèse de l'enfant Jésus

Thérèse Martin est la cinquième et dernière fille d’une famille chrétienne où elle grandit « entourée d’amour ». Elle a 4 ans quand la mort de sa mère introduit une brisure dans sa vie. Le père et le quintette de ses filles s’installent alors à Lisieux pour se rapprocher d’une partie de sa famille. Deuxième drame qui ébranle Thérèse : sa soeur Pauline puis sa soeur Marie entrent au Carmel. La nuit de Noël, par une grâce puissante, elle retrouve le joyeux équilibre de son enfance et s’élance, dans « une course de géant », vers le Dieu-Amour qui l’a saisie. Non sans démarche, allant intrépidement jusqu’à Rome se jeter aux pieds du pape, elle obtient d’entrer au Carmel à quinze ans, le 9 avril 1888. Avec une fidélité héroïque, elle y poursuit sa route vers la sainteté. Le Seigneur lui découvre peu à peu sa « petite voie » d’abandon et de confiance audacieuse. Le 9 juin 1895, elle s’offre à l’amour miséricordieux de Dieu. Durant sa longue maladie, la tuberculose, elle est conformée au Christ, dans le mystère de son agonie, pour le salut des pécheurs qui n’ont pas la foi. Elle meurt à 24 ans, promettant de faire tomber sur la terre « une pluie de roses » et de passer son ciel à faire du bien sur la terre. Quelques années plus tard, le récit de sa vie, écrit par obéissance, connaît un succès populaire époustouflant, et de nombreux témoignages de grâces obtenues par son intercession affluent au monastère. Proclamée patronne des missions de l’Eglise universelle, elle est docteur de l’Eglise en 1997.

Je puis donc, malgré ma petitesse, aspirer à la sainteté. Me grandir, c’est impossible, mais je veux chercher le moyen d’aller au ciel par une petite voie bien droite, bien courte et toute nouvelle. Et j’ai lu : « Si quelqu’un est tout petit, qu’il vienne à moi. » Alors, je suis venue.

(Sainte Thérèse – Histoire d’une âme)

La perfection consiste à faire la volonté de Dieu, à être ce qu’il veut que nous soyons. L’amour de Notre Seigneur se révèle aussi bien dans l’âme la plus simple qui ne résiste en rien à la grâce que dans l’âme la plus sublime.

(Sainte Thérèse – Histoire d’une âme)

Les saints Anges gardiens

Saint Bernard avait une grande dévotion « pour ces princes du Royaume de Dieu qui sont assidûment autour de nous ». Le pape Paul V, en 1608, établira cette fête en leur honneur.

Nous leur devons beaucoup d’affection pour leur bienveillance et les faveurs que nous recevons de leur charité. Nous leur devons aussi beaucoup de docilité à mettre en pratique les avis qu’ils nous donnent.

(Saint Bernard – Sermon XI sur les psaumes)

Saint Gérard de Brogne

Il commença d’abord par la carrière des armes, mais quand son père mourut, il décida de se faire bénédictin, s’initia à la vie monastique à Saint-Denis, près de Paris, et fonda une abbaye sur son domaine familial. Pendant vingt ans, à la demande du comte de Flandre, il réforma de nombreuses abbayes qui étaient sous la juridiction du duc de Lotharingie ou Lorraine. On ne sait s’il y parvint, mais du moins s’endormit-il en paix en l’abbaye de Brogne, dans la province de Namur, à quelques kilomètres au nord-est de Maredsous. C’est au XVIIème siècle que la localité de Brogne prend le nom de Saint-Gérard : ce moine doux et conciliant avait été canonisé en 1131, lors du concile de Reims.

Ne soyez ni trop riches ni trop nombreux, mes fils. Souciez-vous de la qualité plus que du nombre ! Croyez-moi, la richesse et la prospérité attirent infailliblement la convoitise des princes.

(Saint Gérard à ses frères)

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