L’Eglise universelle rappelle ainsi que c’est lui qui dirigea les travaux du bienheureux Fra Angelico qui, par ses fresques, ornait de prière méditative les cellules de ses frères au couvent Saint Marc de Florence, leur faisant ainsi partager sa vie spirituelle.
C’est dans la transparence de la béatitude des cœurs purs qu’ils s’enracinent dans une contemplation où rien ne voile en nous le Christ glorificateur du Père.